Par Benjamin Ferret - Publié le 23/05/2022 à 11h48 Pour la corrida du dimanche 17 juillet, dans les arènes de Saint-Vincent-de-Tyrosse, Morenito de Aranda, José Garrido et Thomas Dufau combattront du bétail de Pagès-Mailhan Comme une évidence. Après avoir enchanté l'an dernier le public des arènes de Saint-Vincent-de-Tyrosse, des toros de l'élevage de Pagès-Mailhan y seront à nouveau combattus pour la corrida des fêtes du 17 juillet... Comme une évidence. Après avoir enchanté l'an dernier le public des arènes de Saint-Vincent-de-Tyrosse, des toros de l'élevage de Pagès-Mailhan y seront à nouveau combattus pour la corrida des fêtes du 17 juillet à venir. Corrida seville juillet 2019 date. « La demande a été unanime de la part des membres de la Commission taurine », relève Jean-François Pilès. Chargé de l'organisation de cette course du dimanche 17 juillet, à 18 heures, le trentenaire estime être « dans le devoir » de renouveler sa confiance à cet élevage, installé sur la route des Saintes-Maries-de-la-Mer. « Les aficionados français ont encore du mal à comprendre la qualité que l'on peut avoir en France.
Rattrapé par un Ricardo Gallardo ému, le petit Alarcon en tête, la cuadrilla et les éleveurs firent un tour sous la clameur d'une assistance séduite et bonne aficionada qui a su voir les grands gestes de Jorge Martinez et dAlvaro Alarcon, plus engagés plus profonds et moins dans la posture que Diosleguarde qui coupa cependant l'oreille du premier d'une noblesse infinie. Souhaitons aux Fuente Ymbro de demain de briller autant que les novillos de ce soir. Jean François Neviere
Quite de Pablo Aguado par chicuelinas et deux demi-véroniques en profitant de la querencia de toriles. Réplique de Roca Rey cape dans le dos, qui tarde à capter l'attention du toro, pour enfin donner des gaoneras faciles, appréciées du public. Durant le second tiers le toro est tardo et aquerenciado. Juan José Dominguez salue pour la brega et le quite à son compagnon aux banderilles. Brindis au public. Au tercio à genoux, le matador " cite " le bicho appuyé aux planches. Les muletazos sont propres, de face, et profitent de la charge longue du toro. Les spectacles du 11 juillet. Pamplona, Séville, Madrid. - ToroBravo. Debout, Roca Rey poursuit face à un opposant rajado et éteint. Malgré cela, la musique joue pour une faena sans relief. Le torero tire le toro en séries sur les deux cornes, dans un número maitrisé, de tremendismo et arrimón. Demi-lame, descabello et pétition sans trophée. Pablo Aguado touche un premier adversaire sardo et cornivuelto. Ses charges au ras du sol laissent espérer de grandes qualités dont le matador ne tire pas parti à la cape.
L'estocade entière, en arrière et basse valait, malgré tout, un trophée… Sébastien Castella voulait compléter son précédent succès avec le 4 ème, qu'il faisait piquer, caresser pourrait-on dire, trois fois. Il se décidait, après hésitation, à réaliser un double péndulo, entrecoupé de passes de poitrine et paraphé d'un remate par le bas. L'irrégularité de la charge du début se transformait en arrêts presque complets, l'expertise du torero en la matière faisait le reste, c'est-à-dire des passes isolées, «propres» mais sans intérêt. Une estocade entière, trasera, roulait le toro dont la dépouille recevait des sifflets. Saluts au tercio du matador. Cayetano Rivera ne gardera pas un excellent souvenir de son passage à Mont-de-Marsan. Séville 28 Septembre 2019 – Émouvante despedida de « El Cid » dans une triste Corrida Sévillane. | TOREO Y ARTE. Le joli sardo sorti en deuxième position ne montrait rien de bon aux capotazos de réception. Sans codicia, tant au quite par tafalleras et farol qu'aux banderilles, puis à la muleta – après brindis au public – il ne permettait pas à Cayetano de s'exprimer. Le public ne le gâtait guère pour le peu qu'il avait été possible de faire à cause de l'indigence du luis-algarra.