Des bactéries qui produisent de l'électricité en se nourrissant sur la racine de plantes vertes ou même en dépolluant des eaux usées: c'est le principe des piles microbiennes, sur lesquelles des chercheurs rennais travaillent. Pas encore de quoi éclairer une ville entière, mais un jour, peut-être... Les piles microbiennes qui fonctionnent en symbiose avec les plantes font partie du programme de recherche PlantPower. © PlantPower Cela vous intéressera aussi Produire de l'électricité grâce à des bactéries tout en dépolluant les eaux usées, c'est ce qu'une équipe de recherche de l' université de Rennes est parvenue à faire, pour l'instant à petite échelle. L'idée, déjà connue, est celle de la pile à combustible bactérienne (MFC, pour Microbial Fuel Cell). L eau à la pile rose. Une pile à combustible est un générateur d'électricité dans lequel un élément réducteur (l' hydrogène) est oxydé sur l'une des électrodes, tandis qu'un oxydant - l'oxygène en général - est réduit sur l'autre électrode. La réaction d' oxydoréduction est catalysée grâce à du platine, le plus couramment.
Veuillez vérifier dans les annonces les informations concernant la collecte des articles et les frais de retour de la marchandise afin de savoir qui prend en charge les frais de retour. Que faire si votre article est livré par erreur, défectueux ou endommagé? Si vous pensez que l'article que vous avez acheté a été livré par erreur, est défectueux ou endommagé, veuillez nous contacter afin que nous trouvions ensemble une solution. Si vous payez votre article avec PayPal, vous pouvez également obtenir des informations sur le programme de protection des acheteurs eBay. L eau à la pile de. Cette politique de retour ne modifie pas vos droits légaux, par exemple ceux relatifs à des articles défectueux ou mal décrits. Pour plus d'information, y compris vos droits en vertu du Règlement sur les contrats de consommation, veuillez consulter la section Connaissez vos droits.
Sa présence engendre un déplacement des électrons entre la cathode et l'anode se met à rouiller. Les matériaux retenus sont le fer pour l'anode alors que la cathode fait appel au graphite. L’eau « à la pile ». Pour l'équipe, ce point est d'importance car l'île de Madagascar dispose de réserves importantes de ce minerai. Désireux de déposer un brevet, les chercheurs estiment qu'ils pourrait électrifier de nombreux lieux de l'île et créer une filière de production intégrée localement. Mathieu Brisou Pour en savoir plus: Un article détaillé sur cette invention Sélectionné pour vous