«Ici, c'est un de nos petits chouchous de l'exposition. C'est un extincteur qu'on a utilisé au Palais de Tokyo. "Réclamer la terre" au Palais de Tokyo, les contradictions du monde de l'art face à l'écologie Article réservé aux abonnés 2 minutes à lire Solange Pessoa, Cathedral (1990-2003), cheveux, cuir, tissu. L usage des formes palais de tokyo incense. Courtesy de l'artiste & Mendes Wood DM (Bruxelles, New York, São Paulo), photo: Aurélien Mole Dans l'exposition du Palais de Tokyo, à Paris, il est question d'équilibre, de communion, de respect, de sacré… mais aussi de politique. Les négociations à gauche pourraient jouer les prolongations «Ça avance», a pour sa part sobrement commenté Manuel Bompard, négociateur en chef pour LFI La volonté de conclure un accord paraissait samedi réelle entre LFI et EELV PARIS: C'est, en principe, le weekend de la dernière chance: Jean-Luc Mélenchon et les Insoumis appellent les gauches à sortir de la "culture de la défaite" alors que s'écoulent les dernières heures prévues pour leurs négociations en vue des législatives, même si le scénario d'une prolongation à la semaine prochaine se fait jour.
Tout commence par une œuvre, une pièce de Felipe Pantone qui impose sa structure comme plan. "L'idée de départ est de trouver une de mes peintures sur Google Earth ou Google Maps. Donc, si vous connaissez mon travail et que vous voyez la maison d'en haut, vous pourrez certainement faire le lien. L usage des formes palais de tokyo anticorps. ", explique l'artiste. Partant d'un concept structurel 100% artistique, Pablo Limón et Felipe Pantone investissent un espace architectural auquel ils donnent fonction et sens. Les créations qu'ils conçoivent, lampes, chaises, peinture, tapis, sculptures et même une piscine, sont la symbiose de leur deux univers. Dans cette Casa Variable on retrouve la signature visuelle de Pantone, le rythme de ses couleurs, sa palette sans cesse en mouve ment, et la rigueur des formes géométriques, tout en découvrant un panel de supports totalement nouveau grâce à la maitrise de l'objet et de la forme de Pablo Limón. Pablo Limón, designer à l'inspiration brutaliste, réussit à donner corps et fonction à l'art de Felipe Pantone.
Leur complicité intime et artistique leur a permis de surmonter ensemble les tragédies du XXe siècle. L'exposition suit, de manière chronologique, les différentes étapes de leur destin, du Bauhaus à Weimar, Dessau et Berlin, jusqu'à leur exil aux États Unis en 1933 sous la pression des nazis et leurs créations américaines au Black Mountain College avec John Cage, Merce Cunningham et Robert Rauschenberg. Comme le disait Anni Albers: « Les œuvres d'art nous apprennent ce qu'est le courage. Pergola au Palais de Tokyo (jusqu'en Mai 2010) - IDEOZ Voyages. Nous devons aller là où personne ne s'est aventuré avant nous. » Derniers avis Avis publié par Marie le 28 novembre 2021 Belle découverte de ce couple passé par le Bauhaus avant d'émigrer aux États-Unis. Les résonances de l'un à l'autre sont étonnantes. Avis publié par Justine le 17 novembre 2021 La complicité de ce couple transparaît tout le long de leur vie… la vidéo où ils enseignent est très intéressante à suivre! Un bon moment! Avis publié par Martin le 4 novembre 2021 Le point fort de cette exposition est de transmettre une émotion: celle de toute la vie d'un couple consacrée à la création artistique et à son enseignement.
Leur parcours depuis le Bauhaus et leurs perceptions des matières, des formes et des couleurs est magnifiquement mis en scène avec une grande richesse d'œuvres et de documents. Moderne et émouvant, j'ai aimé. L usage des formes palais de tokyo exceptionnellement. Avis publié par Claire le 12 octobre 2021 Belle découverte que ce couple d'artistes! L'expo est très agréable, on suit le fil et les 2 artistes avec plaisir. Avis publié par Jean Daniel le 22 septembre 2021 Bien sûr, c'est un art très construit, très réfléchi, au détriment de l'émotion immédiate, même si Anni, en raison du média textile qu'elle utilise, a une approche plus artisane et instinctive qu'Albers. Pourtant, au fil de la visite, articulée sobrement et sans inutile sophistication, s'imposent la double et parallèle démarche de ce couple d'exception pour qui l'apprentissage et la pédagogie du "voir" comptent presque autant que le résultat. C'est donc, avec eux deux, une plongée sensible plus que sensuelle qui s'opère, ouvrant plein d'autres portes dans l'appréhension du 20e siècle plastique.
Ainsi que six essais inédits: - Un texte de l'équipe curatoriale de l'exposition (Franck Balland, Daria de Beauvais, Adélaïde Blanc, Claire Moulène et Marilou Thiébault) en présente les enjeux et en propose un parcours. - « Un artiste est toujours plus qu'un artiste » par Laurent Jeanpierre, propose une étude, d'un point de vue socioéconomique, des vies d'artiste et des façons d'être artiste en France aujourd'hui. Exposition Jean Painlevé : le Jeu de Paume présente le monde aquatique de l'artiste - Arts in the City. Il analyse leur impact sur la façon dont l'art se fait, s'expose et se comprend. - « Robinson et les fugitifs » par Éric Mangion, s'interroge sur la façon dont une jeune génération d'artistes effectue un pas de côté et s'oriente vers des voies de traverse pour inventer des façons de faire de l'art et le partager. - « Bacchus et l'électricité » par Jill Gasparina, esquisse une histoire des rapports à la fois conflictuels et fertiles entre sciences, technologies et art en France. Elle met en lumière la manière dont un imaginaire technologique « à la française » nourrit la création artistique contemporaine.