"Les gens ne peuvent pas continuer à souffrir comme ça alors que l'État congolais avait déjà déboursé des moyens destinés à leur assistance". Une année après, le volcan Nyiragongo et tous les autres situés sur la chaîne de montagne de Virunga restent sous haute surveillance, rassure Kasereka Mahinda Célestin, le directeur scientifique de l'observatoire volcanologique de Goma. "Il n'y a aucune inquiétude en ce moment puisque le volcan est dans son activité normale, l'extérieur n'est pas menacé, explique-t-il. "Je peux rassurer la population, elle peut vaquer librement à ses occupations. Éruption du Nyiragongo en 2021: où est passée l'aide promise aux sinistrés ?. Ce que nous avons vécu, je pense que nous ne le vivrons plus si jamais nos équipements sont bien gardés". "Je ne dis pas qu'il n'y aura plus d'éruption, car avec ou sans nous elle finira par arriver", précise-t-il. " Mais à ce moment, avec les techniques dont nous disposons, nous pourrons cette fois-ci informer la population". L'éruption du volcan Nyiragongo l'an dernier avait causé d'énormes dégâts matériels et humains, notamment la mort de plus de 30 personnes et le déplacement des milliers d'autres.
Un policier, affirmant avoir agi en état de légitime défense, a tiré avec un fusil d'assaut, dimanche soir, dans le centre de Paris sur une voiture soupçonnée d'avoir forcé un contrôle, tuant deux occupants et en blessant un troisième. • À lire aussi: Un policier tire avec un fusil d'assaut sur une voiture à Paris: deux morts Il a été arrêté lundi après-midi à l'Inspection générale de la police (IGPN, police des polices), «du chef de violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner», en raison «de la gravité des conséquences» de ses tirs «et afin de vérifier avec précision les conditions d'usage de son arme», a indiqué le bureau du procureur de Paris. Le policier qui a tiré sur une voiture en fuite à Paris arrêté | JDQ. D'après le compte rendu d'intervention de la police consulté par l'AFP, dimanche peu avant minuit, une patrouille de cinq policiers s'est dirigée vers une voiture garée en contresens, feux de détresse allumés, sur un quai de l'île de la Cité, afin de le contrôler. Alors que les policiers s'approchaient, la voiture a démarré et «foncé vers un des fonctionnaires qui s'est écarté pour l'éviter», selon ce rapport.
Cela permettra de porter le budget à 1, 54% du PIB. « Mais dans notre esprit, il a toujours été nécessaire de faire un pas de plus, pour améliorer notre situation. Les besoins sont nombreux », a déclaré M. Hofman. « Si vous voulez devenir un partenaire crédible au sein de l'OTAN, et c'est plus nécessaire que jamais, vous devez vous assurer que vous disposez d'un appareil opérationnel prêt à être déployé dans toutes sortes de domaines », a déclaré M. « Il ne s'agit pas seulement d'être un bon élève, mais d'être capable d'assurer la sécurité avec nos partenaires. Le chef d'état-major Hofman soutient De Croo au sujet du budget de la défense, tandis que l'Open Vld et le MR font le forcing à la Chambre - Business AM - Infos économiques et financières. Il en va de la crédibilité de notre pays, au sein de cette organisation. » Porter le budget de la défense à 2% pourrait coûter plus d'une dizaine de milliards d'euros. Dans une précédente déclaration au journal Le Soir, Hofman avait déjà fait part de sa volonté d'accroitre ce budget: « Si nous voulons vraiment être prêts à tout, dans tous les domaines, nous n'avons pas besoin de 2%, mais de 4% pour notre armée. »
Samedi 28 mai 2022 07:31... 1 Le dictateur Yayah Jammeh lors d'un bain de foule en 2016 en Gambie. © AFP L'ex-dictateur gambien, qui a tyrannisé ce petit pays de 2, 4 millions d'habitants de 1994 à 2017, sera poursuivi pour ses crimes, a promis le gouvernement de Banjul. Reste à savoir quand… Yahya Jammeh et ses escadrons de la mort – les « junglers » – paieront-ils un jour pour leurs crimes? Néron africain Le dictateur, qui a tyrannisé de 1994 à 2017 la Gambie, petit pays de 2, 4 millions d'habitants enclavé dans le Sénégal, connaîtra son procès, et avec lui soixante-dix complices d'« une myriade de crimes », a garanti le ministère gambien de la Justice mercredi, jour du 57 e anniversaire de ce Néron africain. Se disait de l armee a cheval de troie. Promis aux familles et aux victimes, le procès s'appuierait sur les conclusions d'une commission d'enquête, qui a pu attribuer la mort de 240 à 250 personnes à l'État gambien et ses agents sous le règne ubuesque du « Bâtisseur ». Parmi ces morts, celle du correspondant de l' AFP Deyda Hydara, assassiné en 2004.