[…] Je ne pourrais jamais plus tolérer le racisme sous quelque forme que ce soit. » La transition entre les souvenirs heureux et malheureux se fait par la phrase: « Le vent violent de l'histoire allait disperser à vau-l'eau, notre jeunesse dérisoire changeait nos rires en sanglots ». La disparition de son père, est une blessure écrasante qui a bouleversé la vie de l'artiste ardéchois. Tout de même, le chanteur ne voulait pas se plier aux aléas de la vie, et il a tenté de renaître de ses cendres comme un phénix: « L'image d'un père évanouie, qui disparut avec la guerre, renaît d'une force inouïe ». L'enfance sinistre de cet homme, marquée par une guerre sanglante via l'oppression et cruauté nazies, et la disparition de son père, a fait de lui un chanteur engagé. Nul ne guerit de son enfance jean ferret paroles et. Il a soutenu depuis ses débuts, le Parti communiste français. Il a chanté les atrocités de l'Allemagne nazie « Nuit et Brouillard », et ses chansons ont depuis longtemps été censurées de la radio et de la télévision française. Jean Ferrat n'avait pas guéri de son enfance.
Jean Ferrat | Durée: 04:20 Auteur: Jean Ferrat Compositeur: Jean Ferrat
On fait un signe à la fenêtre sans savoir que c'est un adieu Chacun de nous a son histoire et dans notre cœur à l'affût Le va-et-vient de la mémoire ouvre et déchire ce qu'il fût vers 5 Belle cruelle et tendre enfance, aujourd'hui c'est à tes genoux Que j'en retrouve l'innocence au fil du temps qui se dénoue Ouvre tes bras, ouvre ton âme, que j'en savoure en toi le goût Mon amour frais, mon amour femme Le bonheur d'être et le temps doux chœur Pour me guérir de mon enfance, de mon enfance Pour me guérir de mon enfance, de mon enfance.
Il y a encore actuellement de la Chanson Française (Patrick Fiori, Arthur H., Cali, Vincent Delerm, Raphaël... ) mais elle n'a pas la faveur des médias, sans être pour autant interdite d'antenne comme le furent certaines chansons de (Potemkine, Nuit et Brouillard et même La Femme est l'avenir de l'Homme) Et pourtant comme le chantait Jean Ferrat: " Le poète a toujours raison Qui voit plus loin que la raison... "
laissez-moi chanter Potier Il y a cent ans commun commune Comme une étoile au firmament Ils s'éteignaient pour la Commune Écoute bien chanter Clément. Les internautes qui ont aimé "La commune" aiment aussi: