Un hymne peut être un chant religieux à la gloire de dieu, un poème lyrique ou encore un chant représentant une nation, un groupe. Ce film est l'empreinte d'une fraîcheur, d'un dynamisme et d'un humour spontané, enfantin, presque naïf et jamais convenu (sauf, peut-être, la scène où le père L'Aztec fait boire Tigibus). La "Guerre des boutons" se confine à un univers strictement masculin. Lebrac n'est pas autant mis en avant que Tigibus ("Si j'avais su j'aurais pas venu"), et c'est donc la jeunesse qui constitue le véritable héros du film. La guerre, la vraie, est représentée ici de manière non violente, à travers des querelles enfantines. Les enfants sont l'âme du film, la chanson phare du filme représente exactement un hymne à l'enfance. Cercle Gallimard de l'enseignement. D'une part à travers cette forme de non-violence, les enfants ne représentent pas la violence. D'autre part les adultes sont dénigrés « aussi bête que les grands ».... Uniquement disponible sur
2. L'auteur Louis Pergaud est né le 22 janvier 1882 à Belmont comme fils d'Elie et Noémie Pergaud. [1] En février 1889, Elie Pergaud, instituteur de la nouvelle Ecole Laïque, est muté et toute la famille doit aller à Nans-sous-Sainte-Anne. Bien que la famille y ait du mal à s'adapter, Louis trouve des camarades. Les garçons commencent à se battre avec les enfants du village voisin, ce que Pergaud décrit plus tard dans son livre "La guerre des boutons". Le fait que Pergaud doit quitter sa maison pour aller à l'école, le marque profondément. Ses parents, son frère Lucien et ses amis lui manquent ainsi que sa liberté et la vie en pleine nature. TICs en FLE: La guerre des boutons : le roman , audios , films , BD. Mais il suit ses études avec succès et en juillet 1898, à l'âge de 16 ans, il commence à apprendre le métier de son père. Après la mort de ses parents en février et mars 1900, Pergaud vit avec son frère chez un oncle où il reste cependant seulement un an. A son école, il fait la connaissance d'une collègue qui lui donne toute la tendresse dont il a besoin et en 1903 ils se marient.
II. De l'argent « L'argent est le nerf de la guerre », disait Bismarck. Ces propos sont compris par les soldats de Longeverne. Les sous sont nécessaires au bon fonctionnement de l'armée. [... ] [... ] Des boissons accompagnent les mets, parmi elles se trouvent deux bouteilles de vin. Des casseroles, un arrosoir et même un balai sont chipés ici et là. La fête est une réussite. Les affrontements sont reportés. Au sein de l'armée, une querelle éclate. Camus et Bucaillé en sont venus aux mains, ils sont séparés de force par le Père Simon. Toute la classe prend parti pour Camus, Bucaillé est raillé et devient l'objet de méprises. Le suivant affrontement est marqué par la capture de Tintin. Fiche de lecture la guerre des boutons. ] Le malheureux est dépecé des boutons de ses vêtements. C'est un triomphe pour nos héros. Un nouvel affrontement a lieu cinq jours plus tard. Lebrac est capturé. Pas un bouton de son accoutrement n'échappe à la vigilance de ses ennemis. Le chef des Longeverne est dépouillé et fessé, c'est un revers. Les malheurs de Lebrac continuent lorsqu'il rejoint son domicile.