Le train de pauvre bûcheronne, désigné comme convoi 49 par la bureaucratie de la mort, parti de Bobigny-Gare, près de Drancy-Seine, le 2 mars 1943, arriva le 5 mars au matin au cœur de l'enfer, son terminus. […] C'est ainsi que Dinah, dite Diane sur ses papiers provisoires, et son tout nouveau livret de famille, et son enfant, Henri, frère jumeau de Rose, s'affranchirent de toute pesanteur en gagnant les limbes du paradis promis aux innocents. L histoire du pauvre bucheron 200. Le papa, malheureux rescapé survivant à Dinah et Rouhrele, ira tondre « les milliers de crânes livrés par des trains de marchandises venant de tous les pays occupés par les bourreaux dévoreurs d'étoilés. » Vivre, survivre pourtant, en dépit de tout: la petite graine de l'espoir et de la vie continuera à pousser en lui, « malgré le passé, malgré le souvenir de l'acte insensé qui lui avait valu que sa chère et tendre ne lui jette plus un regard, sans qu'il ait même pu tenir serré contre sa poitrine son jumeau restant avant qu'ils ne se quittent pour toujours et à jamais.
Qui est Jean de la Fontaine? Rappelons en quelques mots, si vous le permettez, qui était cet écrivain, nommé Jean de la Fontaine. Il est né à château-Thierry le 8 juillet 1621 et s'est évanoui le 13 avril 1695 dans cette belle ville qu'est Paris. C'est l'un des poètes français les plus réputés, principalement connu pour sa pléthore de fable mettant en scène des animaux. L histoire du pauvre boucheron 1. Il est très important de comprendre ce qu'est une fable avant de se lancer dans l'analyse de l'une d'elles, comme il est tout aussi essentiel que de savoir ce qu'est l'alphabet afin d'écrire sa plus belle poésie. Qu'est ce qu'une fable? Une fable est une courte histoire teintée d'humour, le plus souvent écrite en vers. Elle a pour but de distraire le lecteur tout en l'instruisant: c'est pourquoi, elle se conclut sur une leçon que l'on appelle la morale. Jean de la Fontaine vivait donc sous Louis XIV, à cette époque la liberté créatrice n'était pas sensiblement la même que celle d'aujourd'hui, si par ses écrits un artiste désirait émettre une critique, il valait mieux se montrer malin et la dissimuler.
Pauvre bûcheron n'apprécie pas. Il se serait bien débarrassé de ce fardeau. Pour lui l'enfant fait partie de ces « sans-cœur » dont ses compagnons de travail disent avec envie qu'ils sont « baladés gratos en trains spéciaux ». Mais il doit constater que ces sans-cœurs ont un cœur, que sa femme est heureuse de dormir avec l'enfant près d'elle, et lui s'endort enfin comme son épouse du « sommeil du presque juste », ayant senti et compris que l'enfant était aussi « sa petite marchandise à lui. » Pendant ce temps-là, le père de la fillette qui l'a jetée de la lucarne arrive au camp: « Sans ciseaux, armé d'une simple tondeuse, le père des jumeaux, le mari de Dinah, notre héros, après avoir vomi son cœur et ravalé ses larmes, se mit à tondre et à tondre des milliers de crânes, livrés par des trains de marchandises venant de tous les pays occupés par les bourreaux dévoreurs d'étoilés. La Mort et le Bûcheron • Fable de Jean de La Fontaine. » Il le fera jusqu'au bout, tant que les vert –de – gris, têtes de mort seront là. Et puis les Rouges arriveront, lui sauveront la vie, et il pourra « se reconstruire, comme on ne le disait pas encore à l'époque ».
» Le frère se rendit chez le bûcheron. « Donne-moi la marmite que tu possèdes pour que je nourrisse mes hôtes. — Je ne te la donnerai pas, car c'est elle qui fait vivre mes enfants. — Si tu ne me la donnes pas, je te tue. » Le bûcheron eut peur. Il donna la marmite à son frère et se mit à pleurer. « Demeurez en paix, dit-il à ses enfants; puisque je ne peux subvenir à vos besoins, je m'en vais errer dans le pays. » Le pauvre homme partit, resta absent pendant trois mois sans revenir à la ville. Lorsque le jour de fête arriva de nouveau, il se rendit à l'endroit où se trouvait le jujubier sauvage qu'il frappa de sa hache tranchante. Une femme en sortit, le salua et dit: « Pourquoi n'es-tu pas rassasié? IL ÉTAIT UNE FOIS LA SHOAH RACONTÉE PAR JEAN-CLAUDE GRUMBERG. — La marmite que tu m'as donnée m'a été prise par mon frère; je n'ai pas pu l'en empêcher. — Attends-moi ici », dit-elle. Puis elle rentra dans l'arbre et apporta un grand bâton. « Quand tu seras près de la ville, tu t'arrêteras jusqu'à ce que les gens soient dans la mosquée; alors lâche ton bâton et dis-lui: "Prends mon droit à ceux qui m'ont lésé. "
Alors que le premier garde sa gloriole, le second est souvent vu d'un mauvais œil. La plus précieuse des marchandises, de Jean-Claude Grumberg. La montée du mouvement environnementaliste vers la fin des années 1960 met en branle des débats très émotionnellement chargés sur l'exploitation forestière qui diabolisent les bûcherons. Les Canadiens, tout comme les étrangers, ont commencé à haïr l'industrie que les bûcherons représentent, même s'ils continuent à tirer profit de leur travail. Cette opinion persiste encore, malgré les progrès remarquables faits en matière de gérance des richesses forestières.