L'envoyé du Makhzen Fouad Ali El-Himma chez Mohamed Ben Salmane. D. Le Pakistan voit une perspective "très limitée" de dialogue avec l'Inde - rtbf.be. R. Par Kamel M. – «Encore fois, une publication patronnée par les services d'un pays voisin vient de plonger dans son élément naturel, la mythomanie, à propos d'un ordre du jour fantaisiste qu'elle cherche insidieuse à accoler aux entretiens que le ministre saoudien des Affaires étrangères a eus avec les officiels algériens, dans une tentative désespérée visant à prendre en otage les relations bilatérales algéro-saoudiennes», a affirmé une source diplomatique algérienne à Algeriepatriotique. «En soutenant crânement que des efforts de médiation saoudiens ont fait l'objet de discussions entre les deux parties, cette publication, qui n'est rien d'autre qu'un incubateur de fake news, prend les désirs de ses commanditaires pour la réalité. Non seulement, les relations entre l'Algérie et le Maroc n'ont pas été évoquées au cours desdits entretiens mais, plus encore, la position officielle algérienne est on ne peut plus claire à propos de toute initiative de médiation, quelle qu'en soit la nature», a ajouté notre source.
Le tout pour la somme de 1 770, 15 euros dépensés sur les 5 373 euros d'argent public versés par mois, censés servir aux dépenses liées à l'activité parlementaire. Contactée par France 3, la députée a indiqué ne pas exclure de porter plainte contre Mediapart. Julien Aubert, LR, condamné pour le licenciement d'une collaboratrice Député sortant et réinvesti dans la 5 e circonscription du Vaucluse, Julien Aubert avait été définitivement condamné par la cour d'appel de Nîmes en mai 2021, pour le licenciement d'une collaboratrice ayant travaillé quatre ans pour lui. Le vocabulaire de la communication - EspaceFrancais.com. La cour avait requalifié le contrat de travail de la salariée (de temps partiel à temps plein), reconnue travailleuse handicapée, et lui avait aussi accordé 11 000 euros au titre du préjudice moral, professionnel et économique. Le député a estimé auprès de Mediapart que cette « affaire est un peu particulière », le licenciement de sa collaboratrice ayant d'abord été accepté par cette dernière, avant de revenir dessus. La suite après la publicité Echange vif à l'Assemblée entre Barbara Pompili et Julien Aubert, récidiviste du « madame le » Eric Ciotti, LR, visé par une enquête pour « détournement de fonds publics » Député sortant et réinvesti dans la 1 re circonscription des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti est visé par une enquête du parquet de Nice pour « détournement de fonds publics », à la suite du signalement déposé par la branche locale de l'association Anticor, en septembre 2019.
«Les raisons qui ont présidé à la décision de rupture des relations avec le Maroc n'ont pas changé et la position de l'Algérie, à cet égard, ne changera pas non plus. De ce fait, aucune initiative n'est sujette à discussion car il s'agit d'une décision souveraine fondée et justifiée par la responsabilité pleine et entière du Maroc dans la détérioration de nos relations bilatérales», explique la source diplomatique, en soulignant, au sujet des entretiens fructueux menés avec le ministre saoudien, que «le spectre est large compte tenu du dialogue stratégique ambitieux qui existe entre les deux pays qui ont, tous deux, un poids significatif dans la région et au sein des instances arabe, islamique et des Non-Alignés». «Autre cadre de coopération et de consultation, l'OPEP constitue un volet important de la relation globale qui lie l'Algérie au royaume d'Arabie Saoudite», poursuit notre source.
" Je relève que, notamment en ce moment, compte tenu de ce comportement agressif et hostile (de l'Inde), l'espace pratique pour que cela se produise est très limité ", a-t-il déclaré. Dialogue entre deux personnes qui se dispute les. Fin avril, l'Inde avait exclu d'entrer en pourparlers formels avec le Pakistan à moins que ce pays doté d'un tout nouveau gouvernement ne mette fin au " terrorisme transfrontalier ". Les relations entre les deux pays, conflictuelles depuis des décennies, ont connu un regain de tension après la décision de New Delhi en 2019 de révoquer le statut d'autonomie partielle du Jammu-et-Cachemire, territoire à majorité musulmane administré par l'Inde. Bilawal Bhutto Zardari s'est également plaint de la récente modification de circonscriptions électorales en Inde qui, selon les critiques, dilue le vote des musulmans dans le territoire himalayen partiellement contrôlé par le Pakistan. Lors de sa visite à l'ONU, le nouveau ministre pakistanais, âgé de 33 ans, fils de l'ex-Première ministre Benazir Bhutto et de l'ancien président Asif Ali Zardari, a eu des entretiens notamment avec son homologue américain Antony Blinken et le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres.