Sébastien Bruno, un "rêve" sur la rade Toulonnais pendant six saisons (même s'il n'a pu jouer la dernière à cause d'une blessure), Sébastien Bruno a vécu "un rêve" sur la rade. Champion de France et double champion d'Europe, le talonneur a fini sa carrière avec Toulon, avant de rejoindre Lyon en 2015, pour lancer celle d'entraîneur. Vendredi, la finale entre ses deux clubs aura donc forcément une saveur particulière pour l'ancien international.
Genre: Comédie Réalisé par Elie Semoun Avec Elie Semoun, Gabin Tomasino, Émilie Caen, Frédérique Bel, Loïc Legendre Lundi 11 juillet à 14h00
mes 3 loulous: Colis Mes Avant-Premières Lancôme | Micellaire, Demaquillage, Avant premiere
Et nous avons réussi ce défi. Pour revenir à la rencontre, qu'attendez-vous de cette finale entre vos deux anciens clubs? Par définition, une finale est imprévisible. Mais connaissant les deux équipes, ça va être très rugueux (sourire). Toulon est solide devant et ce sont des équipes qui se ressemblent. Je pense que ce sont les "joueurs de classe", comme Tuisova ou Etzebeth, qui vont faire la différence. Lyon voudra aller chercher son premier trophée majeur, s'inscrire dans le très haut niveau, alors que Toulon voudra confirmer son retour dans le gratin. Fusillade dans une école au Texas : qui est Salvador Ramos, l’auteur de l’attaque ? - Le Parisien. Avantage pour quelle équipe? Même s'ils n'ont pas disputé ce genre de rencontre et que la génération a évolué ces dernières saisons, peut-être que Toulon a plus l'habitude de ces rendez-vous... Comment fait-on pour gagner une finale? La clé, c'est de ne pas se mettre de pression. C'est un grand rendez-vous, et c'est souvent là que l'expérience fait la différence. Tu connais le cadre, la façon de te préparer, l'environnement, ta routine, le protocole et de fait, tu as moins de stress.
Pourquoi aviez-vous rejoint Toulon en 2009? Philippe Saint-André, qui était mon entraîneur à Sale, s'engageait avec Toulon. Nous avions un contact direct et quand il m'a proposé, ça a été simple de trancher. Toulon a toujours été et est encore un club craint, avec Mayol, cette ambiance... C'est une terre de rugby. Donc ça me plaisait de porter les couleurs de Toulon. C'était une fierté d'avoir l'opportunité de faire partie de ce club, avec une vraie culture rugby. Vous avez connu les années fastes, entre 2009 et 2015. Quel (s) souvenir (s) gardez-vous de vos six saisons toulonnaises? Tu ne peux pas sortir qu'un souvenir. Club mes avants premières impressions. C'était du régal. On avait un super groupe, que j'ai vu se construire au fil des années. Avec un mélange de nationalités, de cultures. Il y avait un respect entre les mecs, une communion avec les supporters, un engouement, on a vécu des phases finales, on ne peut rien enlever. Il y a eu des moments compliqués dans chaque saison, mais on arrivait toujours à sortir la tête de l'eau, grâce notamment à des grands joueurs.