Car, aimer sa femme, c'est une façon de s'aimer soi-même ( Ephésiens 5. 28). Il va plus loin en indiquant que l'amour dont le mari aime sa femme doit être à l'image de l'amour dont Christ aime l'Assemblée ( v. 25). Une première déviation de cet amour dont on doit s'aimer soi-même consiste à négliger son corps, et à lui infliger de mauvais traitements, bien souvent dans un but de «purification». Il s'agit de commandements et d'enseignements d'hommes, qui ont bien " une apparence de sagesse en dévotion volontaire et en humilité du fait qu'ils n'épargnent pas le corp s". En réalité, ils n'ont aucune valeur, car ils ont pour but de satisfaire des aspirations tout humaines (voir Colossiens 2. 20-23). À l'inverse, une autre déviation consiste à concentrer tous ses soins et toute son attention sur soi-même, en exagérant sa propre valeur ou sa propre dignité. On exige de l'autre une reconnaissance à la hauteur de l'estime que l'on a de soi-même. Là encore l'apôtre nous met en garde contre ce penchant de notre cœur naturel: " Je dis à chacun… de ne pas avoir une haute opinion de lui-même, au-dessus de ce qu'il faut, mais de penser de manière à avoir de saines pensées " ( Romains 12.
Depuis ma jeunesse, j'ai entendu à plusieurs reprises des chrétiens affirmer la chose suivante: « pour pouvoir bien aimer son prochain, il faut apprendre à s'aimer soi-même. » Après tout, Jésus dit que le deuxième plus grand commandement est d'aimer son prochain comme soi-même (Marc 12. 31, Matthieu 22. 39 et Luc 10. 27). Comment peut-on aimer son prochain comme soi-même si on ne s'aime pas d'abord? Pendant un bon bout de temps, c'était ma compréhension de ce verset. Mais est-elle juste? Vous connaissez peut-être le dicton: un texte pris hors contexte est un prétexte. Il me semble que, si on veut bien comprendre ces paroles de Jésus, la meilleure façon de procéder est de les lire dans leur contexte. C'est ce que je propose de faire avec le passage de Matthieu 22. 39, en regardant de plus près trois contextes différents: le contexte immédiat, le contexte d'où est tiré la citation de Jésus dans le verset, et le contexte plus large de l'Évangile de Matthieu. Pourquoi ne pas faire ensuite le même exercice vous-même avec Luc 10.
3). En réalité, quand nous disons que nous ne nous aimons pas nous-mêmes, nous manifestons, sans vouloir le reconnaître, que nous ne nous acceptons pas nous-mêmes, tels que nous sommes. Nous souhaiterions être plus grands, plus forts, plus éloquents, etc. Mais oserions-nous contester avec Dieu et lui reprocher de ne pas nous avoir pourvus de tous les dons que nous aurions souhaités? " L'argile dira-t-elle à celui qui la forme: Que fais-tu? " ( Esaïe 45. 9). Acceptons-nous tels que nous avons été créés. C'est sûrement dans cette disposition d'esprit, en nous oubliant nous-mêmes, que nous pourrons aimer les autres, comme le Seigneur Jésus nous a aimés. P. a. S Si tu veux réagir ou poser une question, clique sur l'enveloppe. Cet article, publié dans Plaire au Seigneur, est tagué amour, Dieu, faire, humains, respect. Ajoutez ce permalien à vos favoris.
Leur action, comme toutesactions humaines, devrait être soumise, selon Kant, à la loi fondamentale de la raison pratique: « Agis de telle sorte que la maxime de ta volonté puisse toujours valoir en même temps comme principe d'une législation universelle. »(Kant, Critique de la Raison Pure) Si tout le monde était un tueur, l'espèce humaine serait bientôt éteinte, ceux qui tuent, agissent donc contre leBien en soi de l'humanité. Cette maxime leur permet de connaître leur devoir. Ils sont libres et choisissent de faire lemal, ils doivent être punis en retour (prison etc. ) Et plus, ils doivent eux-mêmes et intérieurement s'exclurent decette communauté et ressentir le poids de leur culpabilité, jusque dans la perception qu'ils ont d'eux même. Pourtant, bien souvent ça n'est pas le cas. Ils le doivent, mais peuvent s'en sentir exempté. De même ceux qui sedénigrent « sans raison », ne le devraient pas et pourtant ils le peuvent, et le font d'ailleurs. Transition: Mais alors, si l'on peut, se sentir désolidariser de soi, étranger dans sa propre demeure, et ce, sans raison, est-ce à dire que l'on peut ne pas s'aimer soi-même et surtout pourquoi?
»(Kant, Critique de la Raison Pure) Si tout le monde était un tueur, l'espèce humaine serait bientôt éteinte, ceux qui tuent, agissent donc contre leBien en soi de l'humanité. Cette maxime leur permet de connaître leur devoir. Ils sont libres et choisissent de faire lemal, ils doivent être punis en retour (prison etc. ) Et plus, ils doivent eux-mêmes et intérieurement s'exclurent decette communauté et ressentir le poids de leur culpabilité, jusque dans la perception qu'ils ont d'eux même. Pourtant, bien souvent ça n'est pas le cas. Ils le doivent, mais peuvent s'en sentir exempté. De même ceux qui sedénigrent « sans raison », ne le devraient pas et pourtant ils le peuvent, et le font d'ailleurs. Transition: Mais alors, si l'on peut, se sentir désolidariser de soi, étranger dans sa propre demeure, et ce, sans raison, est-ce à dire que l'on peut ne pas s'aimer soi-même et surtout pourquoi? 2. « Aime ton prochain « comme » toi-même. » Bible a) Ce commandement religieux, fut la première formulation d'un impératif moral d'amour: amour des chrétiens entreeux comme de chaque chrétien, pour lui-même.
8) Nous souvenir de nos péchés n'est utile que dans la mesure où cela nous rappelle le pardon de Dieu et nous aide à pardonner aux autres (Matthieu 18. 21-35). Il y a malheureusement des personnes qui ne se pardonnent pas elles-mêmes, qui parviennent pas à avancer parce qu'elles demeurent captives de leurs péchés du passé. Certains restent attachés à l'arrière-goût du plaisir de leurs péchés passés en se les remémorisant sans cesse, une habitude qui est également péché et doit être confessée et abandonnée. « Tout homme qui regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son cœur. » (Matthieu 5. 28) De même, chaque fois que nous revivons notre péché en pensée, c'est comme si nous le commettions encore et encore. Dans la vie d'un chrétien, ce modèle de comportement ininterrompu de péché et de culpabilité peut devenir un cercle vicieux destructeur. Se souvenir que nos péchés sont pardonnés doit nous aider à pardonner aux autres (Matthieu 7. 1-5, 1 Timothée 1. 15).
b) Selon rousseau il y a une relation directe entre, l'implication croissante des enfants au sein de la société pendant leur croissance et la progression de leur dénaturation: la société leur crée des besoins de plus en plus sophistiquéset de moins en moins naturels. Rousseau dit: « Ne pouvant vivre toujours seuls, ils vivront difficilement toujours bons: cette difficulté mêmeaugmentera nécessairement avec leurs relations, et c'est en ceci surtout que les dangers de la sociéténous rendent les soins plus indispensables pour prévenir dans le coeur humain la dépravation qui naît deses nouveaux besoins. » c) Sa solution est donc dans la « désocialisation » de l'éducation, afin que parvienne dans la vie sociale, non plus un »