REMANIEMENT MINISTÉREL D'OCTOBRE: Qui sont les partants? Déjà c'est le branle-bas dans le rang des ministres. C'est la ruée vers les charlatans. Rien n'arrêtera ATT dans l'épuration qu'il veut faire au sein du gouvernement. Nombreux sont les ministres qui feront leurs valises. Qui sont... ATT-cratie: L'échec d'un homme et d'un système Le livre qui vient juste de paraître aux éditions l'Harmattant (« ATT-cratie: la promotion d'un homme et de son clan ») conforte pour une large part les prises de position du Quotidien des sans voix, prises de position prémonitoires... PREOCCUPATIONS ESSENTIELLES: Pourquoi divertir le peuple? Depuis la vague de démocratisation qui a déferlé sur de nombreux pays du continent, on peut dire que dans l'ensemble ça bouge. Plusieurs pays africains dont le Mali sont en train de chercher leur chemin. LE SIÈGE FRANÇAIS DE MCKINSEY PERQUISITIONNÉ. Dans... 1... 3 517 3 518 3 519... 3 524 Page 3 518 sur 3 524
Polémique politique Les révélations de la commission d'enquête avaient suscité pendant la campagne présidentielle de vives polémiques sur l'utilisation des fonds publics. L'opposition avait réclamé de manière répétée l'ouverture d'une enquête sur ce qu'elle considère comme du favoritisme dont la majorité présidentielle ferait preuve au profit de ce cabinet, dont certains membres ont pu œuvrer en faveur d'Emmanuel Macron et de son cercle, notamment lors de la présidentielle 2017. Fraude fiscale au mali les. Interrogé fin mars sur ce dossier, Emmanuel Macron avait estimé que le non-paiement de l'impôt sur les sociétés par McKinsey s'expliquait par les règles fiscales en vigueur. « S'il y a des preuves de manipulation, que ça aille au pénal », avait-il rétorqué à ceux qui lui reprochaient ces nombreux contrats. L'ouverture d'une enquête avait été annoncée le 6 avril, quatre jours avant le premier tour de l'élection présidentielle, qui a vu la réélection d'Emmanuel Macron.
"Il était temps": comme la cheffe de file LR Valérie Pécresse, de nombreux candidats à l'élection présidentielle - Eric Zemmour, Fabien Roussel ou Nicolas Dupont-Aignan - avaient alors salué l'ouverture de l'enquête. bur-aco-mk-cdu/jbo/sp
Olivier Dussopt et Amélie de Montchalin, alors ministres des comptes publics et de la fonction publique, avaient même mené une conférence de presse le 30 mars pour justifier les dépenses de l'Etat.