Ref: FD00001382 Muller (Paris); 2013; 1 vol., 499 p. (165 x 250 mm); Code à barres commercial: EAN 9791090947122. couv. ill. en coul. Broché, dos carré collé, couverture souple. Un coin abîmé. Bon état. ; Le 11 octobre 1962 s'ouvrait le deuxième concile du Vatican, moins d'un siècle après l'interruption brutale du premier et la chute de Rome aux mains de Garibaldi. Nous croyons tout savoir de l'histoire de Vatican II. Et, pourtant, cette histoire chaotique reste encore à écrire et, plus encore, à comprendre. L'abondance de sources de première main, mémoires des acteurs ou commentaires journalistiques, si elle est évidemment un atout pour l'historien, constitue aussi, pour lui, une gageure, tant il est difficile de classer les informations. Et, dans ce domaine, les compétences historiques ne suffisent pas, il faut encore comprendre les enjeux théologiques des différentes thèses en présence pour percevoir précisément le sens des documents officiels promulgués par les Pères ncile du Vatican (02; 1962 / 1965) -- Histoire Concile du Vatican (02; 1962 / 1965) -- Histoire; EAN:9791090947122 (5A5) Prix: €25.
Roberto de Mattei dispose des compétences historiques et des connaissances théologiques nécessaires pour mener à bien ce travail. Ce livre est un élément indispensable de l''historiographie du Concile. Salle Montgolfier, Hôtel de Ville, 4 avenue de Paris, Versailles Gare: Versailles-rive gauche ou Versailles-Chantiers Libre participation aux frais Librairie. Le conférencier dédicacera ses ouvrages dont le dernier, "Vatican II. Une histoire à écrire". Renseignements: 01 42 04 93 20 - iCalendar hCalendar
Ce qui contribue à faire de ce livre une véritable révolution dans l'historiographie contemporaine. Vatican II: une histoire à écrire constitue ainsi un livre indispensable du débat théologique et historique. Biographie Roberto de Mattei, né en 1948, est spécialiste d'histoire moderne, religieuse et politique. Ancien vice-président du Conseil italien de la recherche scientifique (CNR), il est aujourd'hui professeur à l'Université européenne de Rome. Il préside, par ailleurs, la Fondation Lépante.
Mais la lutte antimoderniste disparait. -Le grand nombre d'évêques qui participa aux commissions préconciliaires donnent une image très classique; le concile, pour arriver au résultat contraire (modéré) a donc été pris en main par une minorité qui est devenue majorité par la suite -Les représentants orthodoxes russes ne furent autorisés à se rendre à Rome que si le communisme ne serait pas condamné. Le pape s'est engagé, le card. Tisserand le confirme. -Les progressites ont concentré leur attention sur le point le plus mou d'abord, la commission préparatoire liturgique. -Mgrs Suenens et Camara étaient très liés et l'uni de louvain a une influence déterminante; Congar écrit que c'est le 1er concile de Louvain, tenu à Rome. -Paul vi était très marqué progressiste et un évêque brésilien dit que son élection serait la fin de tout -les jacobins, autour de kung et Rahner, voulaient le rejet des schémas préparatoires (influencés par la curie); les girondins, surtout francais, comme Congar, voulaient les remodeler dans les sessions du concile.