Maîtresse Belinda PS: pour celles qui se disent soumise et se voient incapable d'envoyer la moindre photo, s'il vous plait aller jouer aux bisounours. Ou dites au mec derrière le clavier d'aller se faire un peu enc…. cela le soulagera certainement et m'évitera de perdre mon temps si précieux, surtout en ce moment. Je ne supporte plus tous ces faux profils.
Par ailleurs, l'idée d'une parentalité ou d'une éducation "positive" est une référence directe au courant de la "psychologie positive", née aux Etats-Unis en 1998 sous l'impulsion du chercheur en psychologie Martin Seligman. Comment éduque-t-on une personne à devenir soumise ? - Quora. Appliqué à l'éducation BDSM, ce principe invite à se détourner de la seule réprobation des transgressions pour aider la personne soumise à exprimer sa maîtrise jusque dans l'espace contraint des règles de la communauté BDSM. La bienveillance éducative trouve enfin une inspiration dans les techniques de communication "non-violente" développées notamment par le psychologue Marshall Rosenberg à partir des années 1960. Inspirée à la fois de Gandhi et du concept "d'écoute active" du psychologue américain Carl Rogers, la communication non-violente entend éviter de se servir des mots comme des armes, comme c'est souvent le cas pour manifester ses désaccords et désapprobations. La communication non-violente invite à se départir des jugements négatifs et sollicite plutôt l'empathie.
Mon éducation Vous parler de nous sur ce plan est relativement délicat. Chaque jour développe un peu plus ma réflexion sur beaucoup de points, surtout des points personnels au sujet de ma vie privée. Plus les mois passent et plus le travail d'apprentissage est minutieux et subtil. Dans nos débuts, j'ai d'abord dû apprendre le vouvoiement, le respect et la dévotion. Des thèmes sur lesquels je n'ai eu aucun mal à apprendre, j'avais en moi cette prédisposition, cette envie et mon caractère était déjà forgé ainsi. Etudiante soumise traitée comme un objet sexuel. Ce que j'ai appris de beaucoup plus noble c'est le sens et le poids de toutes ses choses. Le sens qu'avait ma soumission pour lui, en quoi je qualifiais ma relation, comment pourrais-je voir en lui l'homme qui dirige ma vie. Je dessinais en moi les fondements de notre relation, la beauté de notre lien, la force de ma dévotion. Avant je n'avais qu'une très vague idée de tout ça, je ne savais pas à quel point j'étais crédule et ignorante vis-à-vis du BDSM. J'étais une page totalement vierge et désireuse, j'étais Alice au pays des merveilles.