Par exemple: problèmes liés au quotidien, à l'organisation de l'entreprise, etc. Dans cette analyse fonctionnelle de la situation, le consultant doit tenir compte des aspects psychologiques et de la personnalité des membres de l'équipe. Team building: Quels outils? La cohésion d'équipe peut-être amélioré par différent outils. Ces outils alternent afin de conserver un aspect ludique à l'approche. Des actions collectives s'appuient donc sur des exercices se déroulant à l'intérieur de la salle ou à l'extérieur. Ces exercices sont conçus spécifiquement pour mettre en lumière des aspects de dysfonctionnements identifiés au préalable. Des discussions et débriefings collectifs suivent ces exercices, pendant lesquels il est important que chacun puisse s'exprimer librement. Il est alors mis en place, des ateliers en petits groupes de travail. Cela permet donc aux membres de l'équipe de réfléchir à des plans d'action. Au cours d'une restitution finale, l'équipe et le consultant font le point sur les enseignements tirés de l'expérience collective.
Par exemple, si la personne A partage la même opinion que la personne B, alors la personne A aura le sentiment d'avoir raison même si ce n'est pas le cas. Cependant, il est important de noter que la similarité d'intérêt ou d'opinion n'est pas le seul facteur qui favorise la cohésion de l'équipe. Dans certains cas, la tâche principale à accomplir permet de maintenir l'unité des membres du groupe. Par exemple, lorsqu'une unité militaire est envoyée en mission, l'accomplissement de la tâche à accomplir devient le facteur de cohésion. Que les soldats aient ou non des attitudes et des valeurs similaires n'a pas beaucoup d'importance. Taille du groupe Les petits groupes ont tendance à être plus cohérents que les grands groupes pour les raisons suivantes: les membres ont plus de contacts en face à face. Cela signifie qu'il y a un degré élevé d'interaction et de communication, ce qui aide les membres à rester unis. Mais avec les grands groupes, la possibilité d'interaction diminue. Plus un groupe est grand, plus il est difficile de se mettre d'accord sur des questions différentes.
Valoriser la contribution de chacun Une fois qu'un chef a choisi les bons membres pour son équipe, l'étape suivante consiste à s'assurer que tout le monde participe. Les équipes connaissent un plus grand succès en tirant parti de l'expertise de chaque membre de l'équipe. Si certains employés font de bons experts techniques, d'autres sont compétents dans les fonctions administratives et financières. Pour qu'un groupe atteigne son plein potentiel, chaque membre doit participer activement. Le responsable, quant à lui, doit valoriser la contribution de chaque membre. Responsabiliser les membres de l'équipe La délégation de pouvoirs à certains membres de l'équipe contribue également à renforcer la cohésion. Les membres du groupe sont plus susceptibles de travailler de manière cohérente lorsqu'ils ont le sentiment de s'approprier les questions et les activités proposées. Résoudre les conflits au sein du groupe Les conflits constructifs qui se développent entre les membres de l'équipe sont le signe d'un groupe en bonne santé.
L'attrait d'un but collectif qui développe la motivation et l'initiative personnelle. Le développement d'affinités personnelles avec d'autres membres de l'équipe. Les difficultés au sein d'une équipe ne peuvent être dépassées que grâce à un certain degré de cohésion. Pour créer cette cohésion relationnelle, il s'agit de développer l'esprit de coopération. La rivalité et la méfiance étant les pires ennemis de la coopération, il est indispensable de créer la confiance pour générer l'« esprit d'équipe ». Cette confiance s'établit progressivement au fil du temps et est le fruit d'un processus, c'est-à-dire du passage à travers plusieurs étapes distinctes: Le groupe informel Lorsque des personnes se rencontrent et se réunissent pour la première fois dans un lieu, elles ne sont pas immédiatement opérationnelles. Elles le deviennent au fur et à mesure que l'organisation, les objectifs et les rôles de chacun se clarifient. Une majorité de personnes sont intérieurement inquiètes, voire anxieuses durant cette phase.
La notion de cohésion peut se targuer d'être l'un des thèmes centraux de l'approche lewinienne et dynamique des groupes. Elle ne se conçoit théoriquement que référée à un groupe saisi comme un ensemble, c'est-à-dire comme un phénomène de groupe. Intuitivement, elle permet de répondre avec une apparente évidence aux questions intrigantes que les gens formulent à propos des groupes: pourquoi certains groupes se désagrègent-ils face à l'adversité, alors que d'autres en ressortent plus forts? Pourquoi dans certains groupes, mais pas dans tous, l'intérêt du groupe passe-t-il avant l'intérêt personnel? Comment un groupe moyennement doté réussit-il mieux qu'un autre supérieur en ressources, talents, expérience? Pourquoi la confiance se développe-t-elle dans certains groupes et pas dans d'autres? De même pour la coopération? Pour évoquer cette alchimie mystérieuse propre aux groupes, porteuse aussi bien d'enthousiasme et de fierté que de désarroi et de rancunes, d'union que de désunion, l'homme de la rue, comme les scientifiques, parlent spontanément de cohésion ou d'absence de cohésion.
Les modalités de participation: rôles attribués à chacun, évolution de ces rôles. L'organisation matérielle. Le style de leadership. La situation d'être en groupe pose ainsi « le problème de l'humain » à savoir celui de l'expression de la sensibilité humaine et de ses difficultés relatives au degré de fragilité et de maturité de chacun face à autrui.