Les marques étrangères doivent s'adapter afin de proposer des produits en adéquation avec ces nouvelles normes. Pour répondre à la législation du permis A2, Yamaha présente au Salon de Paris en octobre 1980, une XT400 dérivée de la XT500. Homologuée par le service des Mines en décembre de la même année, elle arrive en concession en mars 1981. Cette nouvelle XT n'est différente de son auguste aînée sur le plan moteur que par la course de son piston, plus petite, et par son arbre à cames. La démultiplication finale est changée pour un rapport plus court, perte de puissance oblige. L'année suivante, Yamaha met en vente une autre XT400, mais qui n'a plus rien à voir avec celle-ci. Moto collection occasion :: sommaire > Belles Bécanes > Motos vendues > Années 70. Dérivée de la nouvelle XT550 présentée fin 1981, la XT400 deuxième version est disponible en 1982. Yamaha propose aussi une XS400C avec moteur bicylindre en ligne, proche de celui de la XS500 ainsi qu'une variante custom (XS400SE) et la XJ400. En 1980, les utilisateurs anticipent cette réforme du permis, ce dont profite le marché avec une hausse de 8, 45%.
Mais l'époque a changé et la 125 commence à devenir une alternative à l'automobile en milieu urbain. Sa clientèle se réduit et vieillit. Finis les temps aventureux… Yamaha DT 125, le trail sur les rails En osant inventer une moto dont la nature et la fonction sont largement déconnectées, Yamaha a visé juste. SUPERBIKE 80'S, le site des motos des années 80-90. L'AT1 (1969) porte sur les fonts baptismaux le concept de « trail » qui connaîtra lors de la décennie suivante un énorme succès. Cette moto, initialement destinée à crapahuter aux Etats-Unis hors des chemins battus, va se découvrir une vocation urbaine. Appréciée des people, dont Brigitte Bardot, elle connaît un succès d'estime jusqu'à 1973 mais la sortie de la DT et surtout de la DTMX vont faire exploser les ventes; près de 100 000 pour le seul marché français. Ce monocylindre deux-temps doté d'un graissage séparé – plus la peine d'aller se ravitailler à la même pompe que les Mobylettes – et de la fameuse suspension à cantilever (un mono amortisseur) s'adresse à une population décalée par rapport à la culture motarde voire un tantinet rebelle.
Bien conçue, la Kawasaki 125 KMX ne sera que peu remaniée, si ce n'est au niveau de ses colories, tout au long de sa carrière qui s'arrête au début des années 2000. Robuste, agile, péchue, ce Trail fera le bonheur des urbains et péri-urbains qui souhaitaient sortir des routes goudronnées. Développant 13 Cv, en version libre la Kawasaki KMX 125 en offre 24, lui permettant d'aller taquiner le bout du compteur autours de 140 Km/h. Prendre le guidon d'une KMX 125 de chez Kawasak i, vous coûtera un peu plus de 1 000 € pour un bel exemplaire des années 86/87 comme ici, ou un très bel exemplaire plus récent comme ici. Moto 125 année 80 ft. Yamaha 125 DTLC C'est au début des années 80 qu'apparait la Yamaha 125 DT LC, modèle qui sera remanié dès 1984 pour affronter la concurrence, et notamment la Honda MTX 125. Avec un look résolument Trail, la Yamaha 125 DT LC sera l'un des Trails les plus polyvalent. Preuve en est son bloc compteur plus "classieux" que ses concurrentes, avec la présence d'un compte-tours, d'un totalisateur kilométrique (général et journalier) ou encore la températeure du liquide de refroidissement.
Depuis le 1er 2012, cette formation est passée à 7 heures et concerne aussi la conduite des 3 roues de catégorie L5e, qui peuvent être conduit à partir de 21 ans avec le permis auto de plus de 2 ans et la formtion 7 heures. Si l'on conduit déjà un 125 assuré dans les 5 dernières années, la formation n'est pas obligatoire. Voir le dossier