Ceux-ci, Diane, et Modibo, comptent aujourd'hui porter plainte contre les médecins auteurs de ce mauvais diagnostic. Une série de ratés C'est au domicile familial de Franconville, dans le Val-d'Oise, que Diane a d'ailleurs reçu nos caméras. Plus précisément dans la chambre de sa défunte fille, où elle passe désormais ses nuits depuis que Shiloh s'est éteinte. "Je dors là tous les soirs. Enfin, 'je dors', je descends en enfer toutes les nuits", explique-t-elle. Variole du singe: une étude britannique soulève l'espoir d'un traitement antiviral efficace. Le drame commence en mars 2021, lorsque l'adolescente fait part de ses premières douleurs, concomitantes de l'apparition de boutons sur son sein gauche. Diane l'emmène aussitôt consulter une radiologue. Elle raconte l'entretien: "Je lui dis: 'Je suis inquiète. Pour moi, il y a tous les symptômes d'un cancer du sein. Elle me répond: 'Madame, le cancer du sein n'existe pas chez les enfants'. " Premier rendez-vous manqué d'une longue série. D'autant que l'échographie réalisée dans la foulée ne détecte pas de cellule cancéreuse. On se contente donc de prescrire des antibiotiques à la jeune patiente - dont l'état s'aggrave bientôt.
La valorisation de leurs titres réduisait d'autant l'enveloppe qu'Elon Musk devait mettre sur la table. Mercredi, le fondateur de SpaceX a annoncé avoir reçu de nouveaux engagements directs, qui lui ont permis de réduire de 6, 25 milliards supplémentaires le montant des prêts souscrits pour l'acquisition. Il n'a pas précisé si ce montant provenait, pour tout ou partie, de son patrimoine personnel, ou si d'autres investisseurs l'avaient rejoint. Coup de "poker" Mais il a indiqué être en discussion avec plusieurs personnes, dont le co-fondateur et ancien directeur général Jack Dorsey, en vue de les rallier au projet et d'obtenir leur contribution, soit en numéraire, soit en actions Twitter, ce qui pourrait encore réduire la somme empruntée. Marseille: un homme blessé au couteau lors d'une rixe près de la gare Saint-Charles. "Elon Musk change simplement la structure du financement. C'est une avancée, cela réduit en partie la pression du côté de la dette", a commenté l'expert Dan Ives, du cabinet Wedbush, sur Twitter. "La partie de poker à gros enjeux continue. Les chances que la transaction aboutisse sont à 50/50 désormais, au lieu de 40/60, à notre avis", a-t-il ajouté.