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Synopsis Casting Année de production: 2015 Pays: Etats-Unis Genre: Documentaire - Photographie Durée: 52 min. Synopsis Figure marquante de la photographie de la seconde moitié du XXe siècle, l'Américano-Suisse Robert Frank se livre avec générosité et humour sur sa passion et son parcours, sur les pas de son aîné Walker Evans. L'aventure commence avec «Les Américains», son premier livre. Publié à la fin des années 1950, l'ouvrage réunit 83 clichés, savamment choisis parmi les plus de 20 000 qu'il a collectés au cours de son périple à travers les États-Unis Casting de Robert Frank, l'Amérique dans le viseur
Informations Genre: Documentaire - Photographie Année: 2015 Résumé de Robert Frank, l'Amérique dans le viseur Encouragé par son aîné Walker Evans, l'Américano-Suisse Robert Frank laissera sa trace dans l'histoire de la photographie. Pour lui, tout commence avec «Les Américains», son premier livre. Publié à la fin des années 1950, l'ouvrage réunit 83 clichés, savamment choisis parmi les plus de 20 000 qu'il a collectés au fil des trente étapes d'un long périple à travers les États-Unis. «Les visages sont plus intéressants que les paysages, alors je me suis concentré pour me rapprocher des gens», précise le photographe, lorsqu'il raconte la genèse de son deuxième road trip, effectué après plusieurs mois passés au Pérou
Parfois, des problèmes avec la police, qui, à l'époque, pense qu'un type venu de New York pour prendre des photos du côté de Detroit est forcément un communiste. « Agir vite, au plus près » Finalement, Frank sélectionnera 83 clichés, tous remarquables. Mais, à la sortie du livre, il s'attirera plutôt de féroces critiques: « Un poème triste pour pervers », « Flou absurde, livre sale », « L'Amérique vue par un type sans joie qui la déteste! » En se rappelant cet accueil violent, Frank sourit: « Ce voyage m'a appris à aimer l'Amérique. Cela a mis au moins dix ans avant que le livre ait du succès. Pour faire une bonne photo, il faut agir vite, au plus près. Je prenais les gens avant qu'ils ne remarquent l'appareil. Souvent, la première photo est la meilleure… » Son père était un bon photographe amateur. Et le tout premier cliché du très jeune Robert Frank aura pour modèle une église zurichoise. Mais c'est le grand Walker Evans (1903-1975) qui encouragera Robert Frank a en faire son métier.
Et garde presque tout. « Les gens qui vivent en marge de la société m'ont toujours intéressé », confie-t-il. Archives, interviews, extraits de films, le documentaire de Laura Israel tente, avec succès, de capter les émotions de l'artiste, qui, d'une phrase, résume une existence: « Je crois au travail. C'est comme cela que l'on fait face au destin. » Robert Frank, l'Amérique dans le viseur, de Laura Israel (EU, 2015, 50 min). Alain Constant Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s'affichera sur l'autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu'une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette). Comment ne plus voir ce message? En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici? Ce message s'affichera sur l'autre appareil.
Source à ne rater sous aucun prétexte: Robert Franck sur Arte disponible jusqu'au 26 février "L'Amérique dans le viseur" Figure marquante de la photographie de la seconde moitié du XXe siècle, Robert Frank a fait de l'image le matériau premier de sa créativité. Compagnon de route du mouvement beatnik, auteur de l'ouvrage culte "Les Américains", il se livre avec générosité et humour dans ce portrait passionnan…
« Après-guerre, l'Amérique était un pays fantastique pour nous qui arrivions d'Europe. Tout était possible, il n'y avait qu'à essayer », lance-t-il, sourire en coin. Des premières piges dans le magazine féminin Harper's Bazaar à la consécration artistique, sa vie sera faite de prises de risque, de panache, d'amitiés solides, de drames familiaux et d'envies toujours renouvelées de travailler l'image, fixe ou animée. Porté par une formidable bande-son (Tom Waits, Patti Smith, Lou Reed, John Cale, Charlie Mingus…), le documentaire propose notamment de nombreux extraits de films signés Robert Frank. Expérimentaux, étranges, mettant en scène William S. Burroughs ou Mick Jagger, des amis ou des inconnus, ils n'ont pas rencontré le même succès que ses photos. Mais, durant un demi-siècle, entre 1959 et 2009, Frank n'a pas cessé de tourner. Evoquant pêle-mêle ses amitiés notamment avec Jack Kerouac, Allen Ginsberg et le mouvement beatnik, son travail, sa jeunesse en Suisse, ses deux enfants tragiquement disparus, sa famille, sa vision de l'Amérique et du monde, son bonheur de partager désormais sa vie entre New York et sa maison refuge de Mabou, en Nouvelle-Ecosse (Canada), Robert Frank n'oublie rien.