Après des réflexions sur la mort, la grâce, la possibilité de s'évader, et même un cauchemar lors de son sommeil d'une heure sur le lit qu'il avait demandé, le narrateur apprend que sa fille est là pour le voir. Il en était très joyeux, mais cette rencontre était très triste pour lui car son enfant ne l'a pas reconnu. Quelques pages plus loin, le condamné décidera de raconter son histoire pour que sa fille la lise quand elle sera grande, mais cette histoire ne figurera pas dans le chapitre XLVII qui devrait la comporter. Le condamné reprend son écriture cette fois d'une chambre à l'hôtel de ville. Le dernier jour d un condamné résumé par chapitre viii protection du. Alors qu'on s'apprêtait à son exécution, il déclare qu'il a une dernière déclaration à faire. Pendant qu'on était allé chercher quelque procureur du roi, il raconte ce qu'il a vécu et comment il a été traité durant la dernière heure. Le narrateur demande à l'homme qui est venu sa grâce, mais il lui semble qu'on monte l'escalier. Il est quatre heures. Nous vous invitons à lire également:
Le pauvre ne reprendra ses sens qu'à l'infirmerie de la prison, où il entendra une voix de fille qui vient de l'extérieur chanter une chanson en argot. Le surlendemain à six heures du matin, le narrateur qui avait écrit pendant toute la nuit, d'après la gentillesse dont fait preuve le guichetier de garde, comprend que c'est aujourd'hui qu'il sera exécuté. Le directeur et l'huissier viennent aussi annoncer que le départ pour la conciergerie sera à sept heures et demie. Le condamné est maintenant à la conciergerie, d'où il raconte son voyage de Bicêtre jusqu'à ce lieu. il raconte aussi sa rencontre avec le friauche, ce nouveau condamné qui prendra son cachot. Le moyen d'écrire lui a été apporté suite à sa demande, comme il l'expliquera dans le chapitre XXV. Il s'adresse ensuite à sa fille et nous fait part de ses souffrances. Le prêtre vient consoler le narrateur, ce dernier aurait préféré plutôt un autre prêtre. On lui apporte de la nourriture mais il ne peut pas manger. Le dernier jour d un condamné résumé par chapitre dans. A une heure et quart, le condamné à mal partout dans son corps, il lui reste deux heures quarante-cinq minutes.
Chapitre XLV Il pense à ceux qui viendront assister à son exécution et à ceux qui emprunteront le même chemin que lui vers l'échafaud. Chapitre XLVI Sur quelques pages, le jeune homme cherche à se justifier et, pourquoi pas, obtenir le pardon de sa fille. Résumé chapitre par chapitre - AlloSchool. Chapitre XLVII Note de l'éditeur: des pages sont ici manquantes, perdues à moins qu'elles n'aient pu être rédigées. Chapitre XLVIII L'heure de l'exécution est imminente. On lui coupe les cheveux, on lui lie les mains et on le conduit vers la guillotine. Chapitre XLIX Le condamné demande encore cinq minutes: il attend toujours la grâce du roi... en vain.
Ses phrases sont d'ailleurs très courtes, ça prouve sa fait tout autant rappel au dernier extrait du chapitre, lorsque paul baumer tombe la tête en avant, comme si il dormais; avec une expression facial qui semble calme, paisible. à la fin il y a un contraste, un abandon total, il abandonne tout espoirs par rapport au début de l'extrait, il sent que mort ou vivant ça ne changera rien, que même si continue de vivre, son âme elle est resté auprès de ses coéquipiers mort, auprès de ces terres, de ses combats, de ce flux de sang etc qui sortiront jamais de sa tê la fin du récit, il semble très sensible quand il décrit le paysage, ce qui l'entoure. Sensible à un paysage qui est devenu de plus en plus brumeux pour petit paragraphe de fin écrit en gras est sa mort, seul passage du texte ou le narrateur n'est pas le personnage principal, Paul baumer. Le Dernier Jour d'un Condamné: résumé général de l'œuvre. c'est un soldat allemand qui prend la parole. c'est un sentiment assez étranger, cela nous procure comme un sentiment de Sensible à un paysage qui est devenu de plus en plus brumeux pour petit paragraphe de fin écrit en gras est sa mort, seul passage du texte ou le narrateur n'est pas le personnage principal, Paul baumer.
Chapitre VIII Les jours du prisonnier son comptés. Cinq semaines le séparent de son exécution. Chapitre IX Il entreprend de rédiger son testament et pense à sa famille, plus particulièrement à sa fille qu'il aurait aimé revoir une dernière fois. Chapitre X Le condamné décrit son cachot privé de fenêtres, le corridor, les cellules réservées aux bagnards, celles réservées aux condamnés à mort. Chapitre XI Une nuit, ne trouvant pas le sommeil, ildécrit les inscriptions des murs de sa cellule. Un dessin de la potence retient son attention. Chapitre XII Puis, il remarque les noms des prisonniers qui l'ont précédé dans ce cachot. Le dernier jour d'un condamné - 625 Mots | Etudier. Chapitre XIII Le jeune homme se remémore: il y a quelques jours, il a assisté au départ des bagnards pour le pénitencier de Toulon. Il se souvient de la visite médicale des forçats, du repas des geôliers et du ferrage des prisonniers. Il se souvient de s'être évanoui. Chapitre XIV C'est à l'infirmerie qu'il reprend connaissance. Là il observe le départ des bagnards, réalisant que la situation de condamné à mort est préférable à celui de forçat.
Le lecteur parvient à être touché parce qu'il ressent de la sympathie pour ce personnage-narrateur qui est seul. Il a une femme, une mère et un enfant. Il a eu ses joies d'écolier, le souvenir de Pepita (chapitre xxxII) qui évoque la pureté des pensées du narrateur et reflète une expérience commune qui rapproche ce condamné de tout lecteur est profondément ému quand la petite fille du condamné, Marie, ne peut reconnaître son père à l'heure de la mort de celui-ci, puisque, pour elle, il est déjà « mort». Grâce au sentiment de pitié qu'il éprouve à l'égard de ce condamné, le lecteur est appelé à rejeter la peine de mort. Il a maintenant ses regrets profonds, ses peines et ses terreurs. Le dernier jour d un condamné résumé par chapitre 2019. C'est pourquoi, parce que le lecteur s'est identifié à cet homme proche de lui, il rêve avec lui et frissonne à l'évocation de la guillotine. Il partage son mépris envers l'huissier (chap. XxIl), éprouve sa répulsion à l'égard de la friauche (chap. xxl). Ce condamné est avant tout montré comme un être humain, avec ses qualités et ses défauts: il peut donc représenter chaque individu de la société.
De plus, par le procédé de l'anonymat, le condamné devient le porte-parole de l'humanité souffrante. Victor Hugo continuera à porter ses idées abolitionnistes non seulement dans ses œuvres littéraires, mais aussi aussi dans ses discours politiques comme celui qu'il a délivré devant l'Assemblé constituante en septembre 1848 lors de l'avènement de la seconde République et défend l'idée de l'inviolabilité de la vie humaine notamment en affirmant: « Partout où la peine de mort est prodiguée, la barbarie domine; partout où la peine de mort est rare, la civilisation règne