Sur un marché libre, on cherche naturellement le moins cher, c'est-à-dire le plus économique. Par le simple fait qu'ils restent prisés malgré la hausse des prix des carburants, les véhicules avec des moteurs à combustion interne sont considérés plus économiques que les véhicules électriques. S'il était moins cher de passer à ces derniers, les gens l'auraient déjà fait dans leur propre intérêt, en l'espace de dix ans. Le coût d'acheter et de conduire une voiture électrique constitue un point de basculement. Lorsque les carburants deviendront vraiment très chers - et l'essence l'est déjà à Rs 67, 40 le litre à la pompe -, alors la voiture électrique sera plus abordable, dans lequel cas les Mauriciens s'y intéresseront facilement. Mercedes-Benz veut implanter une usine de véhicules électriques en Egypte. Elle sera alors la meilleure option économique, sous réserve que les conditions de la concurrence soient égales entre les deux types de véhicules. Mais si la voiture électrique bénéficie de crédits d'impôt ou de subventions qui ne sont pas accordés aux voitures économes en carburant, son prix effectif sera artificiellement moindre.
Le MMM est convaincu qu'une hausse du prix de l'électricité est pour bientôt. C'est ce qu'a indiqué le leader du parti, Paul Bérenger à la presse, samedi matin. Il s'est aussi dit sceptique quant à la barge flottante que souhaite acquérir Maurice pour le stockage de gaz naturel liquéfié. Prise électrique seychelles des. Et a appelé à une solution dans le différend qui oppose Terragen Ltd au CEB et demande à ce que les petits planteurs n'en payent pas les conséquences. - Publicité - Après avoir pillé les réserves de plus de Rs 7 MD du Central Electricity Board "pou fer tou kalite kiksoz", étouffé la population avec la hausse des prix des produits de consommation et, plus récemment, du carburant, le gouvernement, dit Paul Bérenger, "est en train de préparer le terrain pour aller vers une augmentation du prix de l'électricité. " Le leader du MMM, qui a vivement critiqué le gouvernement pour la souffrance infligée à la population avec la flambée des prix, a tenu à rappeler que la première cause de l'inflation a été la dépréciation de la roupie.
Citant le rapport, Macky Sall a rappelé que les pays développés, ayant connu une augmentation de la dette et un ralentissement économique beaucoup plus important, ont largement échappé aux dégradations, non sans ajouter que cette notation renforce leur accès aux marchés financiers. Le document insiste ainsi sur l'importance de méthodologies transparentes afin de ne pas saper la confiance dans la notation. Ce rapport a été réalisé par une soixantaine d'institutions multilatérales dont le Fonds Monétaire International (FMI), la Banque Mondiale, le Comité de Bale sur la supervision bancaire, le Comité international des régulateurs de l'assurance et le Conseil de stabilité financière.