Il y a eu des réussites et il y a eu des replis et des échecs; toujours est-il que c'est en fonction de cet enracinement qu'il pourrait fortifier toujours plus la dynamique globale de la solidarité communiste dans la région et par-là même faire avancer la lutte anti-impérialiste/anticapitaliste et pour le communisme. À plusieurs reprises les principaux cadres dirigeants ont été décimés et le parti s'est relevé quand même, et a continué la lutte sous toutes ses formes. Il n'a jamais capitulé et jeté par terre le drapeau de la lutte communiste. Jubilé de la Reine Elizabeth II: Macron la félicite (et cite René Coty) - L'ABESTIT. Honneur à ces Hommes et ces Femmes qui, par leur détermination, leur dévouement et leur abnégation, se sont érigés en flambeaux de la lutte, guidant nos pas sur les divers chemins de la révolution vers la victoire du communisme. D'Ibrahim Kaypakkaya et Ali Haydar Yildiz, à Ahmet Cicek et Mehmet Demirdag, des centaines des cadres dirigeants et autres militants sont tombés l'arme à la main assumant ainsi le principal rôle des avant-gardes communistes sans hésiter ou tergiverser à aucun moment.
Le Credo demeure un acte de conviction, plein d'énergie et comme une avalanche de foi, il emporte tout sur son rebonds sonores sur les principes fondateurs du catholicisme sont amenés sans arrière-pensée. Le Sanctus est fait de longues attentes avec le retentissant Hosanna, opératique et flamboyant. Des ornements décorent cette fresque. Déclaration de Georges Abdallah pour le 50e anniversaire du TKP-ML - Palestine Solidarité. Le Benedictus est complètement en rupture avec le passage précédent et il se situe pleinement dans l'esprit baroque et le style galant du milieu salzbourgeois. Le plus surprenant et le sommet de la partition est l' Agnus Dei final, car au lieu du chœur traditionnel et conclusif que l'on attend à ce moment, celui s'efface encore à un long solo de soprano, haut moment de lyrisme et seule ouverture vers les souffrances intimes de ès vite le voile pudique du quatuor vocal et de l'ensemble de l'effectif recouvre ce moment d'abandon et dans la fanfare des cuivres l'œuvre se termine en apothéose, comme pour un réveil, un éveil en tout cas d'une nouvelle naissance après les épreuves.
Cette messe de Mozart est donc à recevoir non pas comme une fresque sonore imposante et allègre mais comme des pistes qu'elle trace vers une pure lumière. Gil Pressnitzer