Mes enfants ont été placés en famille d'accueil le temps que je sorte. » Quelques mois après, Marine change de logement. Puis, deux ans plus tard, elle apprend que sa demande de divorce a été rejetée. « Je pensais m'être débarrassée de ce poids, et voilà qu'il faut tout reprendre de zéro », déplore-t-elle. Soutien juridique et psychologique C'est suite à ce rejet que Marine a choisi de se tourner vers une association d'aide. « J'ai d'abord contacté l'association Du côté des femmes, mais comme je résidais en Essonne, on m'a réorientée vers l'association Léa », détaille la jeune femme. « Comme notre association, Du côté des femmes est affiliée à la fédération nationale solidarité femmes, qui regroupe 67 organismes d'accompagnement et d'aide aux femmes victimes de violences », complète Patricia Rouff. Associations pour la trisomie : soutien et accompagnement. Depuis quelques années, « on constate que des femmes de plus en plus jeunes font la démarche de nous contacter. Ce qui signifie que la parole se libère plus tôt de nos jours », explique la fondatrice de Léa.
Aujourd'hui, un enfant de onze ans à une maturité d'un adolescent de seize ans et à seize ans, on devient responsable de ses actes. L'enfant qui subit le harcèlement peut se culpabiliser au point de se renfermer sur lui-même et d'accepter sa situation de victime. On ira même parfois chercher chez lui parfois ce qui ne va pas. L'enfant ne peut se sortir de cet engrenage qu'est le harcèlement s'il n'est pas compris. Association dans les yeux de lea photo. La victime n'est pas responsable de ce qui lui arrive, elle ne doit pas se sentir punie, il faut au contraire l'entendre. Nous avons créé l'Association "Dans les yeux de Léa" car Léa, alors âgée de dix ans et demi et scolarisée en classe de CM2, a été victime de harcèlement pendant près de trois ans. Le harcèlement qu'elle a subit a aboutit à son agression très violente, par cinq enfants de sa classe, en plein milieu de la cour, le 25 Novembre 2013 (à 10h15), à l'école élémentaire d'Orgerus (violences ayant entraîné un ITT supérieure à huit jours commises en réunion). Léa a cru vivre les derniers instants de sa vie.
Durant sa maladie, Margo avait collecté elle-même des fonds pour la recherche. Elle avait laissé un message fort qu'aujourd'hui tout le monde tente de transmettre au sein de l'association: « Go, fight, win », en Français « Vas‑y, bats-toi, gagne ». « Nous avons créé l'association il y a 10 ans maintenant pour principalement aider la recherche, mettre en place de nouveaux traitements plus spécifiques, plus efficaces, pour à la fois guérir plus d'enfants mais aussi les guérir mieux. Aujourd'hui, 80% des enfants vont guérir, mais certains vont avoir des séquelles graves de leur maladie. Surtout 1 enfant sur 5 qui décède c'est juste inacceptable, donc on se mobilise pour que les choses changent. REPORTAGE. Rallye du Coeur : un évènement qui met des étoiles dans les yeux des enfants. À la fois en collectant des fonds, mais aussi en mobilisant autour de nous les différents acteurs. Dans une journée comme celle-ci, on a à cœur d'aider les enfants et leurs familles. On veut leur apporter du bien-être dans leur quotidien et leur faire changer les idées par rapport à l'hôpital où ils restent de longs mois.