Ainsi, les vins de Saint-Bris, dans l' Auxerrois, sont issus de sauvignon. Prix hectolitre vin bourgogne et. Toujours dans l'Auxerrois et à Irancy, le césar, un cépage tannique et structuré, peut venir en complément du pinot noir. Enfin, quelques producteurs utilisent le Sacy, un cépage blanc, qui peut entrer dans la composition du Crémant de Bourgogne et dans les Coteaux bourguignons, ainsi que le pinot Blanc ou pinot beurot. La rédaction vous conseille: » Bourgogne: Et le Château de Santenay devint le Domaine du Château Philippe Le Hardi » Aubert de Villaine, Domaine de la Romanée-Conti: «J'espère avoir réussi à faire vivre cet héritage»
"Les prix vont monter", avait prédit Hans Berchtold, un restaurateur suisse venu déguster les crus à la cuverie des Hospices. Cette année, ce professionnel de Bâle (Suisse) a renoncé à enchérir seul comme il le fait depuis huit ans, pour s'associer avec "deux ou trois copains" et passer par un courtier dans l'espoir d'acquérir un des lots, dans l'idéal, "un Volnay ou un Pommard". Mais les offres se sont envolées dès le début de la vente. Les premiers lots, traditionnellement des Beaune Premier Cru, Cuvée des Dames Hospitalières - du nom des religieuses qui s'occupèrent des malades dès la fondation des Hospices en 1443 - sont partis entre 17. 000 et 18. Pièce (tonneau) vin Bourgogne (Hospices de Beaune). 000 euros (hors frais), contre un prix moyen de 9. 680€ en 2020. - "C'est un carton" - "C'est un carton pour nous! ", commente un badaud au milieu de la foule massée devant l'écran géant installé près de la halle où ont afflué quelque 500 enchérisseurs, concurrencés par des clients à distance représentés par des courtiers accrochés à leur téléphone, parmi lesquels le président de Sotheby's France, Mario Tavella.
Alors, pour atténuer les pertes, les vignerons bourguignons envisagent d'augmenter les prix. Car le stock est passé de deux ans environ, à la veille des vendanges, à 18 mois en moyenne aujourd'hui. Et selon le Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne (BIVB), il s'écoule aujourd'hui au rythme de 1, 2 mois de stock par mois. A ce rythme-là, « en novembre 2023, tous les vins seront vendus », estime Frédéric Drouhin, son président. Pas de quoi paniquer encore, mais tout le monde croise les doigts pour que la récolte 2022 soit bonne, voire très bonne, et redresse la barre. « On va lisser les prix » La hausse pourrait atteindre 10 à 15%. C'est ce que découvrent en ce moment les fournisseurs chez les producteurs et négociants. Rendement de la vigne (hl/ha). « Nous ne sommes pas dans un contexte où les prix peuvent être maintenus, avec la hausse des prix du carton, des capsules, du transport et des salaires, et cette récolte 2021 qui a usé les hommes et le matériel et coûté cher à produire », plaide le président du BIVB.