Plus on est en forme, moins on a de risques Deux facteurs principaux influencent la forme cardiorespiratoire: la génétique et l'exercice. Nous ne pouvons pas changer notre génétique, mais nous pouvons améliorer notre aptitude cardiorespiratoire grâce à un programme d'exercice raisonnable. Cette étude démontre également qu'il n'est pas nécessaire de devenir marathonien pour réduire les risques. Même de petites augmentations de la forme cardiorespiratoire peuvent aider! La corrélation entre l'augmentation de la condition physique et la diminution du risque de démence est très nette. C'est une association très convaincante. De plus, il existe de nombreuses autres études qui ont examiné de manière prospective pour affirmer ce lien entre la condition physique et le risque de démence et confirmer que l'exercice régulier et recommandé peut réduire le risque d'une personne] de développer une démence. Ainsi, des études comme l'étude mondiale FINGER, menée en Finlande, où l'on étudie de manière prospective les populations au fil du temps, il y a tout simplement de plus en plus de preuves que si vous voulez réduire votre risque de démence et conserver un cerveau sain, vous devriez faire de l'exercice régulièrement et pratiquer d'autres activités pour améliorer votre condition cardiorespiratoire.
Il s'agit d'une étude épidémiologique importante. De telles études ne prouvent pas la cause et l'effet. Cependant, la force des études épidémiologiques réside dans le nombre de sujets étudiés. Le grand nombre de sujets de cette étude et les ajustements faits pour les comorbidités renforcent ces conclusions. Source Cette étude sera présentée lors du 74ème metting annuel de l'American Academy of Neurology, à Seattle. * Presse Santé s' efforce de transmettre la connaissance santé dans un langage accessible à tous. En AUCUN CAS, les informations données ne peuvent remplacer l' avis d'un proffesionel de santé. Vous aimez nos contenus? Recevez chaque jour nos dernières publications gratuitement et directement dans votre boite mail Tags activité physique Alzheimer
Une étude américaine souligne l'importance de l'activité physique pour les performances cognitives. Faire de l'exercice régulièrement pourrait améliorer la mémoire des personnes à risque de développer une démence, et ainsi retarder ou éviter la survenue de la maladie d'Alzheimer. Istock Et si la bonne santé de votre cerveau était liée à votre condition physique? Une étude américaine menée par l'UT Southwestern, et publiée dans le Journal of Alzheimer's Disease, montre que l'exercice physique pourrait améliorer la mémoire, et explique les mécanismes en œuvre dans le cerveau, qui permettent de déclencher ces bienfaits. 47% d'amélioration aux tests de mémoire après un an d'activité physique Les scientifiques ont cartographié les changements cérébraux dans les zones liées à la mémoire à long terme, ainsi que le débit sanguin cérébral de 30 participants âgés de 60 ans ou plus et souffrant de problèmes de mémoire. Pendant un an, la moitié d'entre eux a suivi un entraînement aérobie, tandis que le second groupe n'a pratiqué que des étirements.
– Les capacités émotionnelles en livrant une interprétation personnelle de la chorégraphie et en exprimant ses émotions. Le jardinage D'après plusieurs chercheurs, le jardinage permettrait aussi à une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer: – D'améliorer les capacités d'attention, de concentration et de mémorisation – D'améliorer la motricité – De stimuler la parole et le vocabulaire – De réduire les troubles de l'humeur et l' anxiété – De retrouver le sourire – D'apaiser les douleurs – De diminuer la prise de certain médicament psychotrope. – D'éveiller le toucher, l'odorat, mais aussi la vue NB: il existe des clubs de jardinage adaptés aux personnes souffrant de troubles cognitifs