Dis-moi pas qu'c'était pas vrai Le créateur du 'Jamel Comedy Club' a confirmé sur le plateau de 'C à vous' qu'il continuait sa carrière mais que, comme à son habitude, avait besoin de prendre son temps avant de revenir. Jamel Debbouze a cependant précisé que c'était la dernière fois qu'il montait sur scène pour son spectacle "Maintenant ou Jamel" pour lequel il lui reste 15 dates et qu'il allait "mettre quelques années à revenir comme à chaque fois". Selon lui, "il est indispensable de ne rien faire pour vivre des choses et avoir des choses à raconter", a-t-il dit àAnne-Élizabeth de son interview avec RTL, le créateur du "Jamel Comedy Club" avait dit: "Je sais que je ne remonterai pas sur scène avant des années, c'est certain. Parce qu'il va falloir que je me régénère d'une certaine manière. Le petit Padawan de Jamel Debbouze à l'école des Jedi - YouTube. " Des propos qui renforcent son envie de prendre son temps afin de mieux revenir. Lire la suite: Le HuffPost » Jamel Debbouze dément vouloir arrêter la scène Jamel Debbouze n'a pas prévu de prendre sa retraite ni d'arrêter la scène.
Par formation et par curiosités j'appartiens aux sciences humaines; j'aurais pu devenir ethnologue si les tourbillons de la vie et, en particulier, ceux de Mai 68 n'en avaient décidé autrement. Je suis devenu journaliste. Pleure pas petite sirene jamel debbouze lila. J'ai travaillé quelque temps au Nouvel Observateur et plus tard à Libération. Mais finalement j'ai quitté l'un et l'autre de ces journaux pour me consacrer à un même et interminable travail d'écriture, de réflexion et aussi d'apprentissage. J'ai assimilé ce que j'ai pu de la physique, des mathématiques, de l'astronomie, de la biologie, de l'histoire de la vie.. car, selon mon conviction le tissu du réel est d'une seule pièce, et l'étude de ce tissu, ou plus exactement de ces fragments dont nous avons pour l'instant connaissance, vaut bien mieux comme formation, si l'on veut philosopher, que l'étude des philosophes. Pendant de longues années lire, écrire, chercher à comprendre sans chercher à être publié a été à la fois une volupté, une ascèse et un privilège, autrement dit une névrose.
J'attendais de mieux faire. Aucune place ne me convenait et je n'étais pas sûr d'atteindre mon but. Maintenant que je suis vieux et que je sens la mort venir, je serais heureux de partager, à travers les reflets des événements courants, quelques-unes de ces façons de voir le monde qu'au fil du temps j'ai fini par fabriquer. Voir tous les articles par François Paul-Boncour Publié 7 mai 2015