Le fond des culasses recevait les sièges des soupapes d'admission et d'échappement, les logements des bougies et les têtes des cylindres qui étaient vissés par leur partie supérieure. Ces cylindres en acier étaient nitrurés (traitement thermochimique destiné à augmenter la dureté superficielle) intérieurement et renforcés extérieurement par quatre nervures circulaires, l'étanchéité étant assurée en partie haute, par un joint en acier et en partie basse par des anneaux en caoutchouc formant garniture d'un presse-étoupe. Les culasses comprenaient également les conduits de refroidissement et les passages pour l'admission et l'échappement, ce dernier étant de type caractéristique 1-2-2-1 du fait du couplage des conduits d'admission. Moteur hispano suiza 123 savoie. Les arbres à cames entraînés par engrenages depuis l'arrière du moteur commandaient directement les soupapes alignées et munies d'un plateau de réglage pour ajuster leur jeu, la soupape d'échappement étant refroidie au sodium. Le vilebrequin à huit paliers n'était pas équilibré et comprenait six manetons.
472 et assemblée à trois exemplaires. Toutefois les Américains voyaient d'un mauvais œil cet avion que les Français mettaient au point alors même que la guerre n'était pas finie et que les industriels des Etats-Unis comptaient bien placer leurs avions auprès des militaires français. Par rapport au MS. 470, les MS. 472 se distinguaient par leur nouveau moteur en étoile SNECMA 14M délivrant une puissance de 700 chevaux. Les trois avions de présérie réalisèrent leur campagne d'essais et de réception entre le 12 décembre 1945 et juillet 1946. Au mois de décembre de la même le premier MS. 472 de série entrait en service dans l'Armée de l'Air. Le MS. 472 fut construit à 230 exemplaires qui furent tous utilisés par l'Armée de l'Air. L'Aéronautique Navale, elle aussi soucieuse de se reconstruire au plus vite, passa commande pour une version sensiblement modifiée du M. 472, le MS. 474. Cmk kit d'amelioration 7412 Hispano-Suiza 12Y moteur français de la seconde guerre mondiale 1/72 - Oupsmodel. Celui ci s'en différenciait par sa crosse d'appontage. Un Morane-Saulnier MS. 474 fut d'ailleurs le premier aéronef de conception française à se poser sur le pont du porte-avions Arromanches en décembre 1947.
Fondamentalement, il a été un moteur de la structure traditionnelle: V12 avec déplacement égal à 36 l, refroidissement liquide. Les cylindres sont disposés en deux bancs de cylindres que, entre eux formant un angle de 60 degrés. L'une des particularités du moteur a été formé par examiné: Made alliage d'aluminium, Ils ont été fusionnés en une seule pièce et chaque six cylindres couverts. Les bases des ogives ont été équipés avec des indentations pour fixer le capot supérieur. Les cylindres étaient acier nitruration et les parois en contact avec le liquide de refroidissement ont été protégés contre ' oxydation par une couche de cadmium [1]. L ' vilebrequin Il était en acier nickel-chrome et dans sa partie avant a été fixé le pignon du réducteur. Morane-Saulnier MS.470 Vanneau - avionslegendaires.net. Les pistons ont été forgées en alliage d'aluminium et crayons Elles ont été réalisées de telle sorte que les têtes étaient connectés par paires de deux (une pour chaque banque) sur le vilebrequin [1]. Chaque cylindre avait deux vannes (Bien au moment où il était déjà quatre soupapes par cylindre assez courant), un aspiration et échappement.