Tour Saint-Laurent. Rouen, Laurens, 1928. Catherine Vaudour, Musée Le Secq des Tournelles. Rouen. Guide du visiteur, Rouen, 1978 ( ISBN 2-907701-27-4). Marie Pessiot, Enseignes, heurtoirs, serrures: trésors des collections du musée de la Ferronnerie Le Secq des Tournelles, Somogy, 2001 ( ISBN 2-85056-437-0). Yvon Pailhès, Rouen: du passé toujours présent… au passé perdu: les églises, les monuments, rues et places, Luneray, Bertout, 2004, 230 p. Exposition antarctica musée des confluences in lyon. ( ISBN 2-86743-539-0), p. 106-107. François Farin, Histoire de la ville de Rouen, Volume 2, Rouen, Louis du Souillet, 1731, p. 123-131. Marie Pouméroulie, La paroisse Saint-Laurent de Rouen d'après ses comptes: évolution financière et sociale, Les chrétiens dans la ville, Mont-Saint-Aignan, Publications des Universités de Rouen et du Havre, 2006. Relevé des mariages de la paroisse de Saint Laurent de Rouen (1700-1791), Cercle généalogique de Rouen et de Seine-Maritime. André Durand, Notice sur la conservation de l'ancienne église Saint-Laurent à Rouen, Paris, 1860.
Musée des Confluences, Lyon Jusqu'au 5 mars 2023 À la simple évocation du mot « magie », les images surgissent par dizaines, indissociables de certains films ou récits de notre enfance. En un coup de baguette magique, nous voici plongés dans un véritable conte de fées, pratiquant un mystérieux sortilège dans une épaisse forêt peuplée de créatures fantastiques, tandis que les plus jeunes d'entre nous s'imaginent davantage à l'école des sorciers munis de leurs balais volants. Arts Lyon - Musée des Confluences - Antarctica : hallucinations polaires par Jean-Emmanuel Denave Petit Bulletin Lyon. Conscient du pouvoir naturel de la sorcellerie sur l'inconscient collectif, le musée des Confluences nous invite à un envoûtant tour du monde de la magie. Une leçon d'Histoire ensorcelante dispensée par l'institution lyonnaise qui permet de rendre compte des pratiques occultes communes à l'ensemble de l'Humanité. Potions, rituels, superstitions, talismans… À travers une scénographie immersive et olfactive, l'exposition présente plus de 450 objets, spécimens de sciences naturelles et autres pièces archéologiques, qui, regroupés, témoignent du caractère universel de la magie dans nos sociétés anciennes et contemporaines.
C'est un regard enchanté que ces images nous invitent à porter sur les infinies étendues blanches de l'Antarctique. Alors que débute l'été austral, et que fond la banquise, les silhouettes noires et blanches des manchots empereur et Adélie sillonnent le paysage. Ils s'affairent en surface comme les phoques de Weddel le font sous l'eau pour nourrir leurs petits, pendant que se chamaillent les pétrels dans le ciel brillant. En cette saison, les lieux ne connaissent presque pas de nuit. Pendant ce temps, l'équipe de l'expédition Antarctica (Wild Touch) prend ses marques autour de la base française Dumont d'Urville, en cette lointaine Terre Adélie qu'elle a rejointe après onze jours de traversée, à bord du brise-glace L'Astrolabe. Exposition antarctica musée des confluences lyon france. Onze jours de tempête non-stop. Les hommes luttent contre le froid, les animaux contre le réchauffement climatique Parmi l'équipage, deux hommes ont une mission particulière. Les photographes Vincent Munier et Laurent Ballesta capturent avec leur objectif la poésie de ces territoires restés miraculeusement presque immaculés.
Le défi est de taille sous ce climat rude. En surface, il faut veiller et rester immobiles presque 24h/24 dans les vents catabatiques à 300 km/h et sous l'eau, lutter contre cette eau liquide mais gelée, oscillant entre -1, 8°C et -2°C. C'est pourtant une moisson d'images splendides que rapportent photographes et caméramans. Antarctica (Musée Confluences) - Les Fées Spéciales. Lueurs verdâtres se faufilant dans la mer entre les icebergs, manchots qui semblent surgir de nuées de petites bulles avant de fuser hors de portée, et bien sûr la palette de couleurs magique des couchers de soleil qui font contraster les glaces rosées sur le fond bleuté de l'horizon. Les fonds marins antarctiques explorés pour la première fois L'esthétique se marie ici avec une quête scientifique: pour la première fois, des plongeurs dévoilent les fonds marins de l'Antarctique, dépassant, caméra à la main, les 70 mètres de profondeur, voire plus. Une étendue foisonnante de vie, aussi riche que celle des mers tropicales, s'offre alors à eux, et aux yeux des spectateurs.
Les écrans, plus grands, montre les espèces se préparant ou effectuant leur plongée, l'homme devant subir une préparation de 6 heures pour seulement 2h30 de plongée maximum. Salle 3: immersion La troisième salle ne comporte qu'un unique grand écran mural, devant lequel chacun peut s'asseoir, profitant ainsi des bruit de l'océan, découvrant les premiers mouvements des plongeurs sous l'eau. La banquise y est parfois présentée comme un mur, de teneur plus ou moins consistante, certaines images donnant l'impression d'évoluer dans de la glace pilée. L’exposition Antarctica prolongée au musée des Confluences. Une expérience pouvant provoquer de petites sensations de claustrophobie. Salle 4: le monde sous-marin La quatrième salle revêt un aspect plus biscornu, à l'image du courant circumpolaire dont on nous explique en entrant l'importance. Elle offre au final d'un dédale constitué de différents sous-espaces dotés de sortes de hublots positionnés à diverses hauteurs, au travers desquels adultes comme enfants peuvent admirer la vie sous-marine. Après les phoques qui tentent de se frayer un chemin entre les blocs de glaces, on découvre d'incroyables invertébrés ainsi que des fonds marins tapissés d'espèces surprenantes.