Selon nos investigations, Tchikou Nedjmeddine aurait amassé ce patrimoine impressionnant grâce à ses relations troublantes avec le président du Widad de Mostaganem, Sofiane Benamar, dit "Guenfouda". L'ancien gardien de parking est devenu ainsi le parrain des Walis, magistrats, procureurs ou hauts gradés des services de sécurité. De 2012 jusqu'à 2019, ce jeune homme âgé d'à peine 36 ans s'est métamorphosé en un véritable notable jouissant d'une influence redoutable. Musique rai cabaret frappé. Mais cette success story est en train de virer… au cauchemar. Et pour cause, les incartades de l'un des ses associés, et son cousin, un certain Benamar Faycal, risquent de lui coûter cher. Le jeudi 2 décembre, le fameux Guenfouda est « tombé » à la suite de son arrestation au niveau de l'aéroport d'Alger alors qu'il revenait d'un voyage de l'étranger pour être transféré vers Oran afin d'être placé en garde-à-vue au niveau de la sûreté de wilaya d'Oran pour les besoins d'une enquête menée par les éléments de la Police Judiciaire.
Ses projets sont nombreux et souvent, il s'associe à des partenaires pour les financer. C'est dans ce contexte que Guenfouda est devenu l'un des associés de Youssef Djebbari, le patron de la chaîne de télévision privée El Bahia TV et le quotidien régional oranais l'Echo d'Oran. Avec Youssef Djebbari, Sofiane Benamar dit Guenfouda devient actionnaire de l'un des plus célèbres clubs de Football en Algérie le MCO, à savoir le Mouloudia Club d'Oran. Ensuite, il réussira un coup de maître en se hissant jusqu'au rang du patron du club de football Widad Mostagnem. De gardien de Parking jusqu'au Roi des Cabarets : l'incroyable destin de "Guenfouda", le symbole de la réussite à l'algérienne" - Algérie Part. Avec le football, l'homme va étendre son influence sur les habitants de l'Oranie et deviendra un incontournable notable aux yeux des autorités politiques et sécuritaires. Il s'est lié d'amitié avec de nombreux hauts responsables dont des Walis, des magistrats, des dirigeants militaires ou des hauts gradés des services de sécurité. A Oran comme à Mostaganem, tout le gratin politique pensait que « Guenfouda » est un « intouchable » de la République.
Même le rap en arrive à intégrer des sons orientaux ( Tonton du bled, par le groupe 113). 1 2 3 4 5 … pour nos abonnés, l'article se compose de 3 pages Afficher les 2 médias de l'article Écrit par:: compositeur, auteur, musicologue et designer sonore Classification Musiques Musiques par continents et par pays Musiques d'Afrique du Nord Musiques Musiques contemporaines Musiques populaires contemporaines Autres références « RAÏ, musique » est également traité dans: IDIR (1949-2020) Écrit par Patrick LABESSE • 974 mots Le chanteur et musicien kabyle Idir fut, dans les années 1970, le compositeur et interprète de « A Vava Inouva », le premier succès international maghrébin. Il a traversé les générations et au-delà de la communauté kabyle, rallié autour de lui un public arabophone et français. Culture. [Vidéo + diaporama] Mulhouse : le raï fait tomber les frontières au festival Vagamondes. Le sociologue Pierre Bourdieu disait à son propos: « Ce n'est pas un chanteur comme les autres. C'est un membre de chaqu […] Lire la suite Nouar, RIMITTI (Cheikha) Écrit par Eugène LLEDO • 614 mots Cheikha Rimitti, née le 8 mai 1923, à Tessala, près de Sidi Bel Abbes, en Algérie, est une des figures les plus importantes de la musique populaire algérienne.
Il n'est qu'à écouter la chanson de « Charak Gatâa** » (Déchire, coupe) de Cheikha Remitti pour en avoir un aperçu. « Coupe! Déchire! Embrasse-moi comme hier sur le matelas L'amour, ô l'amour, l'amour, l'amour*** Étreinte, étreinte, étreinte, j'offre à mon amant ce qu'il désire L'amour, l'amour, l'amour, l'amour*** » L'année de la consécration En infraction perpétuelle avec les codes religieux repris par l'Algérie officielle, le raï est donc tenu à bonne distance des médias publics. Mais il séduit une telle frange de la jeunesse que l'État ne peut l'ignorer et finit par lui consacrer son premier festival officiel à Oran en 1985. Une véritable consécration! Un an plus tard, le genre a même son festival à Bobigny en France. Le début de son épopée vers le succès international. L'anthologie Il était une fois le raï, l'âge d'or 1985-1995 revient justement sur ces années fastes et met à l'honneur dix artistes qui ont marqué cette période. Musique rai cabaret online. On ouvre le bal avec la doyenne du rai au féminin, la sulfureuse Cheika Remitti qui signe « Ghir el baroud » (Seule la poudre du canon), puis une sélection de six morceaux de Cheb Khaled dont « Koubou koubou » (Encore une tournée) qui sera réenregistré plus tard pour l'album N'ssi N'ssi, ou encore « Ya Taleb » (Toi, le marabout).
Celui que j'apprecie et qui a sorti de bons albums c'est cheb redouane, avec des chansons à succés, en partie grace au maestro "taj eddine" disparu trop tot (allah y rahmo) et qui a presque inventé le nouveau rai à succés avec sa musique. #19 oui c celle là! le problème c'est qu'elle un bon beat! #20 Une vidéo qui a fait scandale en Algérie. Musique rai cabaret gratuit. La chaîne nationale a été submergée par les contestations et les expressions d'indignation. Ce qui est marrant, c'est qu' à l'époque, la chanson avait eu bcp de succés et a même été reprise par des chanteurs orientaux! YouTube - CHEBA DJENET Y'a la fille à la 1:07 minute qui fait me geste de "mselmine mketfine" #21 Mon père est de Constantine mais ces ancêtres sont de ce qui est du raî c'est triste que cette musique soit devenue la musique emblématique de l'Algerie, moi je ne me reconais pas du tout dans cette musique des bas fonds qui a progréssé en même temps que l'inculture en suis plutôt malouf et chaabi, et pour la fête le staïfi et beaucoup mieux que le rai.
Néanmoins d'un point de vue marketing, la revendication du raï dans le rap entretient un sentiment d'appartenance, mais nourrit aussi une soif d'exotisme qui fait danser. Tu feras pas long feu comme le raï'n'b Niro – Virage Des sonorités néanmoins méprisées Et pourtant, au-delà d'une simple influence le raï – notamment mis à jour par la « raï'n'b fever », se ressent de manière bien plus profonde malgré un mépris persistant. En effet, considéré comme moins conscient, comme de la « zumba », le rap associé et/ou influencé par des sonorités raï ou bien caribéennes se voit décrédibilisé. Annuaire Artistes concert. Le raï ou encore l'afrobeat par exemple ont été et sont encore des musicalités méprisées et négligées dans leurs enjeux culturels et politiques ainsi que leurs impacts globaux dans l'histoire culturelle de la musique en France. Triplego – PPP © Arnaud Deroudilhe A priori si l'on se fie aux articles sur la question, le raï se retrouverait dans le rap français par des sons plus chantés et autotunés. Lartiste tranche à la radio Générations: « On a toujours eu dans le raï des artistes qui utilisaient l'auto-tune.