Car même durant cette période si difficile pour elle, certains n'hésitent pas à remettre en cause sa tristesse. Lou Pernaut pas assez triste? Sa mère la défend! Cela semble improbable mais c'est une réalité. Plusieurs internautes ont reproché à la jeune femme de ne pas apparaître assez triste lors de l'enterrement de son père. Plusieurs chaînes télévisées étaient au rendez-vous pour rendre hommage au journaliste. Des séquences montrant sa femme, Nathalie Marquay, et ses deux enfants ont donc été diffusées. Lou Pernaut, la fille de JPP au plus mal, les fans sont morts d'inquiétude ! - Il était une pub. Croyez-le ou non, mais des personnes qui ne connaissent visiblement à rien au deuil l'ont attaqué pour avoir souri, pour ne pas avoir suffisamment pleuré… Bref, pour ne pas apparaître assez triste. Presque obligée de défendre sa fille, Nathalie Marquay s'est exprimée à ce sujet dans les colonnes de Télé Ciné Revue: « Elle a une façon très différente de réagir à la mort de son père que mon fils, qui est plus réservé. Mais croyez-moi, quand elle est dans sa chambre, elle pleure énormément.
Une abonnée qui l'a vu au restaurant quelques jours plus tôt a décidé de lui écrire des mots repostés en story par la principale intéressée: « Coucou Lou. J'espère que tu vas mieux. Je faisais partie du groupe de filles au restaurant….. à Châtelet mardi, situé à côté de vous. Nous avons pris la fondue au chocolat. Nous sommes actuellement aussi toutes les quatre malades. Nous avons eu comme symptômes des vomissements et un mal de ventre intense. Je pense que nous avons eu une intoxication alimentaire. Repose toi bien «. La jeune femme comprend alors pourquoi elle se sent si mal. « Mince, on a toutes la même chose «, indique-t-elle. Maintenant qu'elle a sait à quoi correspondent les symptômes qui sont les siens, sans doute pourra-t-elle mieux se soigner. On lui souhaite en tout cas de se remettre et de revenir en forme. Britanie, 16 ans, où l'errance cruelle de l'autisme. Elle peut remercier cette fan qui lui a permis d'élucider le mystère de sa maladie.
Britanie a alors 10 ans. « L'adolescence, madame, c'est normal! » Pourtant suivie par un CMP (centre médico-psychologique), ma fille manifeste de plus en plus de difficultés dans les interactions sociales et de gros soucis dans la gestion de ses émotions. Je tire la sonnette d'alarme. Toujours la même réponse: « Tout va bien, c'est normal! ». La situation s'aggravant de jour en jour, et parce qu'on me répète de me remettre en question, je décide de faire appel à une AEMO (action éducative en milieu ouvert). Après plusieurs mois, le professionnel conclut: « Il n'y a pas de soucis d'éducation mais un problème de santé ». Lequel? A son entrée au collège, en 2017, le comportement de Britanie devient réellement problématique. Un Embourien de 52 ans viole sa nièce de 12 ans: il évoque une «démarche éducative» - Édition digitale de Luxembourg. Elle néglige son hygiène, fait des crises de panique, manifeste une hypersexualisation, fugue, se scarifie, écrit sur son visage des insultes... Là encore, on me répond: « L'adolescence, Madame, c'est normal! » ou encore « La scarification est à la mode, pourquoi faut-il absolument une raison médicale?
Se retrouver à l'âge de 11 ans avec sa mère et sa sœur sans papa, ça pousse à l'indépendance et peut-être aussi à l'excellence. Elle est mère d'un fils qui a terminé récemment une thèse de droit, a-t-elle confié l'an dernier au Journal des femmes, a divorcé, elle a été boursière. Ancienne fumeuse, elle s'est fait reprendre en tétant sa cigarette électronique à l'Assemblée nationale. Pour s'endormir, elle lit des romans. Elle aime marcher dans le désert, s'accorde une heure de jogging le dimanche matin, le reste du temps: elle bosse. A lire aussi « Elisabeth Borne? Il faut aimer se faire engueuler » Dans Les Echos, Libération ou Le Figaro, on peut lire quelques indiscrétions sur celle que les journaux surnomment « Borne Out ». Une référence au burn out qui saisit ceux qui bossent trop, c'est ce qu'on peut lire dans Les Echos ou Le Parisien avec ce commentaire du responsable d'une lettre d'information sur les transports dont Borne a été la ministre: « elle est très dure, jusqu'à lessiver ses équipes, elle s'attend à ce que tout le monde autour d'elle suive le même rythme ».
Mais s'il n'est pas un débutant, Sayyid El Alami est en revanche un autodidacte. Dans un entretien accordé au Parisien, l'acteur d'origine marocaine en dit plus sur son parcours et révèle que sa vocation c'est sans doute un peu à sa mère qu'il la doit. « On regardait beaucoup de films ensemble. (... ) Elle me parlait de Gabin, Adjani, adorait les émissions avec des interviews d'acteurs, se remémore Sayyid El Alami. Inconsciemment, cela a dû m'imprégner. Ma mère vient d'une famille très pauvre, n'a pas fait d'études et elle a quitté le Maroc sans parler le français qu'elle maîtrise désormais parfaitement. Le cinéma a été une fenêtre sur le monde pour elle qui n'avait rien. Il m'a rattrapé alors que j'ai longtemps voulu faire du sport. » "Rien ne vient seul dans ce métier " C'est à 13 ans que le benjamin d'une fratrie de cinq enfants finit par sauter le pas pour passer des castings, il n'a pourtant pas pris de cours « Sauf à la MJC de mon quartier, une fois par mois, quand j'étais en 3e », se souvient-il amusé.