Circulaire adressée à iViV. SS. lesEvêques, relativement à l'inspection des écoles de filles dirigées par des communautés religieuses. Monseigneur, La loi du 15 mars 1850 a décidé que «tout ce qui se rapporte à l'examen des institutrices, à la surveillance et à l'inspection des écoles de filles serait l'objet d'un règlement délibéré en conseil supérieur (art. 50). ECCLÉSIASTIQUE CHARGÉ DE L'INSPECTION DES ÉCOLES D'UN DIOCÈSE - 8 Lettres - Mots-Croisés & Mots-Fléchés et Synonymes. » Quoique l'ordonnance de 1836, qui régissait les écoles de filles, ne fût point abrogée par cette disposition, et que les règles établies fussent par conséquent toujours en vigueur, l'inspection des écoles tenues par des communautés religieuses a donné lieu, sur quelques points du territoire, à des difficultés dont la solution ire
L' inspection ecclésiastique est une circonscription régionale des Églises luthériennes en France. L' Église protestante de la Confession d'Augsbourg d'Alsace et de Lorraine (EPCAAL) en compte sept et l' Église protestante unie de France (EPUdF) en a deux, pour huit régions réformées. À la tête du corps pastoral de chaque inspection est placé un inspecteur ecclésiastique, qui est, mutatis mutandis, l'équivalent d'un évêque dans d'autres églises. Historique [ modifier | modifier le code] Les inspections ecclésiastiques ont été créées par la loi du 18 germinal An X ( 8 avril 1802), au nombre de huit initialement, dont six en Alsace, une à Paris et une au pays de Montbéliard. Ecclésiastique chargé de l'instruction religieuse - Codycross. Elles coiffaient environ cinq consistoires et étaient placées sous la responsabilité d'un inspecteur ecclésiastique et de deux inspecteurs laïques, élus à vie par une assemblée d'inspection. Après le traité de Francfort de 1871, les inspections de Paris et de Montbéliard demeurées françaises, se sont retrouvées coupées de Strasbourg et des inspections alsaciennes.
Appellation donnée aux pasteurs chargés par les princes et les consistoires de veiller à l'introduction de la Réforme, vérifier l'activité, les mœurs et la doctrine des pasteurs et des paroissiens des nouvelles paroisses réformées. Au XVI e siècle, à Strasbourg, l'appellation d' Inspektor est réservée à l'inspecteur des deux collèges d'étudiants ( Prediger et Wilhelmiter), où sont formés les futurs pasteurs (Marbach). Le terme de visitator, visitatores, visitationes, (inspecteurs, inspections), est plus fréquemment employé dans le vocabulaire juridique strasbourgeois pour désigner les agents du contrôle ecclésiastique ou scolaire ( Kirchenordnungen). Le terme Inspecktor est employé comme synonyme des Surintendants des églises du Hanau-Lichtenberg (Bouxwiller), du Wurtemberg et des Deux-Ponts (Traubach). Il remplace celui de senior ministerii au XVIII e siècle à La Petite Pierre (Adam, p. Ecclésiastique chargé de l inspection des écoles film. 182). Le Président du Convent ou les Surintendants ou Inspecteurs sont astreints à des visitations annuelles; ils descendent chez le pasteur, s'entretiennent avec lui sur l'état de leur paroisse et de leur église, puis réunissent les paroissiens pour leur demander s'ils sont contents de leur pasteur.
Les instituteurs suppléants seraient chargés de remplacer les insti¬ tuteurs communaux dans tous les cas de vacances momentanées ou définitives. Une partie d'entre eux pourrait être appelée par les rec¬ teurs des académies à diriger les écoles publiques dans les communes dont la population n'excède pas cinq cents âmes, et dans lesquelles* par conséquent, il n'y a qu'un petit nombre d'élèves. 5. Organisations et institutions scolaires - Persée. Ils recevraient le traitement fixe de 200 fr. déterminé par la loi du 15 mars 1850; et si ce traitement, réuni à la rétribution scolaire, n'assurait pas aux instituteurs suppléants un revenu suffisant, ce revenu serait élevé aux frais de l'Etat à /|00 fr. ou 500 fr., suivant les cas.
Les rapports de cette inspection, classés par département, sont aux Archives nationales. Ceux relatifs au département du Nord ont malheureusement disparu. 2. — A. Prost, L'enseignement en France, 1800-1967, Paris, Armand Colin, 1968. REVUE DU NORD, TOME LXXXI - N° 330, AVRIL-JUIN 1999, P. 283-303