Pas un centime de la quête ne lui revient! Notre manière de donner de l'argent à l'Eglise engage son avenir. Voulons-nous vraiment encore des prêtres dans nos paroisses? On peut toujours râler: "pourquoi l'évêque n'envoie pas un autre curé pour aider? ", mais si nous ne sommes pas prêts à financer de quoi le loger et lui permettre de travailler???? En cette année 2020 où nous avons été privés de messes pendant plusieurs mois, la situation financière de votre paroisse n'est pas bonne. la prochaine fois que la panière passe devant vous, réfléchissez à ce que vous donnez! La quête à lieu pendant la messe au moment de l'offrande du pain et du vin pour l'eucharistie, pour bien montrer qu'il ne s'agit pas simplement de mendier un peu d'argent, mais qu'il s'agit vraiment de VOTRE OFFRANDE pour que vive l'Eglise! Répondre à cet article
Le porte-feuille des croyants est régulièrement sollicité par l'Église catholique. Alors, entre le Denier et la quête, quelle est la différence? On vous explique. Première chose à savoir, l'Église ne vit que de dons. Elle ne reçoit pas d'argent de l'Etat français, ni du Vatican. Elle ne peut compter que sur les dons faits par les personnes qui fréquentent les églises. Les dons constituent donc les seules ressources de l'Église catholique. Parmi ces ressources, on distingue notamment le Denier de l'Église et la Quête. Le Denier de l'Église Chaque année, les personnes qui fréquentent l'Église sont invitées à donner de l'argent pour la collecte du Denier. Ce Denier sert à rétribuer les prêtres et l'évêque (920€ / mois), mais aussi les religieux, les religieuses et laïcs en mission ecclésiale. Même si les donateurs précisent la paroisse à laquelle ils se rattachent, ce Denier est collecté au niveau diocésain. Pour donner, cliquez ici (site officiel et sécurisé) Le montant du don est laissé à l'appréciation de chacun.
L'Église propose comme repère de donner l'équivalent de 1 à 2% de son revenu annuel. Toute participation, même modeste, est précieuse. Face à ces temps troublés, en donnant au Denier, nous posons un acte de générosité pour le présent et de confiance vis-à-vis de l'avenir. Si vous êtes imposable, votre participation au Denier vous permet de bénéficier d'une déduction d'impôts égale à 66% du montant de votre don, dans la limite de 20% de votre revenu imposable. Afin de réduire au maximum les frais de gestion administrative, les reçus fiscaux sont établis une seule fois par an. Un reçu vous sera adressé au cours du premier trimestre (janvier-avril) de l'année civile suivant celle de votre don. La quête La quête a généralement lieu au moment de l'offertoire, au cours d'une messe. Mais elle peut être collectée lors d'autres célébrations et cérémonies diverses. La quête permet de financer les diverses charges de la paroisse (entretien, éclairage, chauffage…). En temps de confinement, vous pouvez participer à la quête de votre paroisse par deux moyens: Le site internet « Je donne à l'Église » (mais c'est bien pour la quête) qui permet, depuis votre ordinateur, de participer à la quête (pour la cathédrale Saint-Sauveur, il faut faire défiler la liste et descendre jusqu'à la lettre S pour Saint Sauveur).
Passer au contenu principal Surcoûts imprévus La paroisse fait la quête auprès de Gland pour son église La Commune a accordé un prêt de 250'000 francs à la paroisse catholique pour payer le solde des factures liées au nouvel édifice. Publié: 11. 05. 2022, 16h00 La nouvelle église catholique de Gland, en forme de cône tronqué. PATRICK MARTIN Les travaux de la nouvelle église catholique de Gland touchent à leur terme, et les messes y sont déjà célébrées. La dédicace de l'église a eu lieu le 13 février en présence de M gr Charles Morerod, évêque de Lausanne, Genève et Fribourg. Selon les dernières estimations, le coût total de la construction de l'édifice et de ses équipements s'élève à 4, 6 millions de francs. Comme il manquait 250'000 francs pour pouvoir honorer les dernières factures, la paroisse catholique de Nyon a sollicité la Municipalité de Gland pour un prêt, que le Conseil communal lui a accordé jeudi dernier. Les articles ABO sont réservés aux abonnés. S'abonner Se connecter
→ LIRE: Face à la violence, la force de l'Évangile « Parvenir à la paix se fait alors, en chacun de nos actes, au prix d'un examen de ces sources fondamentales de la guerre pour surmonter chacune de ces divisions. Le rapport à la paix ainsi conçu est en ce sens vraiment pratique et intégral », analyse Giulio De Ligio, spécialiste de Gaston Fessard. En quoi la non‑violence diffère-t-elle du pacifisme? « La non-violence est cette attitude, chrétienne ou autre, qui consiste à dire qu'il faut vraiment chercher des moyens autres que meurtriers pour résoudre les conflits, explicite Christian Mellon. Il ne s'agit pas de pacifisme, car lorsque les conditions d'une résistance non-violente efficace ne sont pas réunies, il faut se résoudre à prendre les armes. Dans le discours de l'Église, la guerre est parfois permise, nécessaire, mais il faut toujours chercher les conditions d'en sortir. » Dans Gaudium et spes (78, 5), le concile Vatican II encourage ainsi « ceux qui, renonçant à l'action violente pour la sauvegarde des droits, recourent à des moyens de défense qui, par ailleurs, sont à la portée même des plus faibles, pourvu que cela puisse se faire sans nuire aux droits et aux devoirs des autres ou de la communauté.
Cette initiative répond également à la demande du pape François, en visite au Mexique en février 2016, d'élaborer un « projet pastoral sérieux ».
« Le mot" juste" est une catégorie morale, au sens de ce qu'il est bon de faire, explique de son côté Christian Mellon. Mais aujourd'hui, ce mot est compris comme quelque chose de positif, alors que la guerre est toujours un mal. C'est pour ça que l'expression elle-même est récusée par le pape François, même si, dans les faits, elle était déjà abandonnée depuis longtemps par le magistère. » En revanche, souligne le jésuite, « l'enseignement de l'Église sur le droit de légitime défense, voire le devoir de légitime défense, n'a pas changé ».