Mais on entrevoit la mer à droite... au loin derrière les étangs. N'oubliez pas de faire quelques haltes pour oberver les oiseaux. Il y en a partout! Je vous renvoie à mon article sur les oiseaux, vous reconnaîtrez facilement celles qui ont été prises sur la Route de la Digue... Ouf! On approche du phare d'ailleurs car on commence déjà à le distinguer dans le lointain... Nous approchons du petit coup de zoom et le voilà! Le phare de la Gacholle a été construit en 1882 pour empêcher les bateaux de s'échouer sur la pointe de Beauduc et pour leur permettre de rejoindre sans problème Port Guardian, le port des Saintes. Le phare est entièrement automatisé depuis 1967. La lampe a une portée de 20 km et elle utilise uniquement l'énergie solaire. Les bâtiments de part et d'autre du phare ont été conçus pour abriter les gardiens et les ingénieurs. Suite à sa destruction partielle pendant la seconde guerre mondiale, il a été remis en état dès 1947. Aujourd'hui il ne peut se visiter que sur rendez-vous ou bien les dimanches et jours fériés uniquement.
Une petite balade à vélo sur la digue à la mer en passant par le Phare de la Gacholle, puis par la plage pour se baigner en toute tranquillité. On peut observer des flamants roses tout au long de la digue. Prendre des vélos tout chemin, qu'il est possible de louer sur place également. Marre des cartes trop encombrantes? Personnalisez les pdf de vos randonnées Personnalisez les pdf de vos randonnées selon vos envies: Partez avec une carte et des informations claires: choisissez le fond de carte, la couleur et l'épaisseur du tracé, l'échelle, les infos à afficher, et cadrez votre randonnée au plus juste. Testez GRATUITEMENT Fiche technique n°3495594 Un parcours Arles créée le dimanche 28 juin 2020 par xbocquet. MAJ: jeudi 06 janvier 2022 Description du parcours ( D/A) Sortir du Mas Saint-Bertrand en tournant à droite sur la D36C sur 1 km. ( 1) Tourner à gauche sur la D36B, direction "digue à la mer" puis rouler sur une route goudronnée et prolonger sur chemin de terre. Sur la droite et la gauche de la digue, il est possible d'observer des flamants roses.
Je leur ai aussitôt porté secours. J'ai réussi à agripper le trio et une forte vague nous a violemment ramenés à la côte. Les deux hommes ont pu regagner la terre ferme. La femme, elle, était toujours prisonnière des eaux ». « Je n'ai pas l'âme d'un héros » « Pendant une dizaine de minutes, j'ai tenté de ramener la femme, mais à force de l'agripper, ses vêtements se déchiraient et à chaque fois, elle repartait avec la force de la vague, poursuit le Lannilisien. La mer était si déchaînée que nous avions l'impression d'être à l'intérieur d'une machine à laver. J'ai finalement réussi à la ramener sur la plage, à la porter sur mon dos et la hisser sur la dune. Je pensais qu'elle avait péri noyée mais elle était encore en vie ». La mer est un terrain de jeu mais il ne faut pas trop jouer avec elle. À la suite de son geste de bravoure, le Breton a été distingué à plusieurs reprises (*). « Mais je n'ai pas l'âme d'un héros, tient à préciser Éric Roudaut. Il fallait faire ce que j'ai fait. Je n'ai pas eu le temps de réfléchir, car si j'avais réfléchi, je n'aurais rien fait ».