( Francis Ponge) Nos commentaires: L'huitre sur "Le parti pris des choses" L'orange sur "Le parti pris des choses" La Bougie sur "Le parti pris des choses" La jeune mère sur "Le parti pris des choses" Le cageot sur "Le parti pris des choses" Le gymnaste sur "Le parti pris des choses" Le mollusque sur "Le parti pris des choses" Le Pain sur "Le parti pris des choses" Le papillon sur "Le parti pris des choses" Les mûres sur "Le parti pris des choses" Vous ne trouvez pas l'analyse que vous cherchez? contactez-nous et commandez la! Le Parti pris des choses est un recueil de poèmes en prose. Le Parti pris des choses fut écrit par Francis Ponge et paru en 1942. Le parti pris des choses résumé par chapitre 2. Dans Le Parti pris des choses, Ponge présente les éléments du quotidien (« des choses »), qui semblent délibérément choisit pour leur apparente banalité: la bougie, le cageot, de l'eau, etc. En réalité, « Le Parti pris des choses » de Francis Ponge est la version moderne du « De Natura Rerum » de Lucrèce. Le Parti pris des choses a la particularité d'être à la fois poétique et scientifique et donc de s'inspirer de la leçon de choses et de la fable.
Dans ce cadre confortable, savamment pensé, chaque objet serait conçu pour faciliter la vie des occupants. Jérôme et Sylvie auraient ainsi l'impression que chaque élément du mobilier a été pensé pour leur seule jouissance, destiné à être là où il est sans qu'ils aient peiné pour l'acquérir. Le couple n'aurait donc aucune frustration. Ses moyens seraient en adéquation avec ses désirs. Entre ses besoins et leur satisfaction, il n'y aurait jamais d'attente car leurs revenus leur permettraient de les satisfaire immédiatement. Jérôme et Sylvie seraient comblés, convaincus d'avoir atteint le bonheur! -) Le temps de l'illusoire liberté et de la frénésie d'avoir La réalité est tout autre. Le parti pris des choses - Résumé complet et... - Francis Ponge - Livres - Furet du Nord. Jérôme et Sylvie ont abandonné leurs études et commencé à travailler pour accéder, rapidement et sans efforts croient-ils, à un plus grand confort. Leur travail précaire leur permet de satisfaire en partie leur besoin de jouissance. Toutefois, la recherche d'un salaire — donc l'obsession du gain dans leur mode de vie — crée de nouveaux besoins qui les portent vers de nouveaux objets qu'ils n'avaient encore jamais désirés.
L'objeu est la contraction des termes d'objet et de jeu qui fait du poème un objet de jeu avec les mots.