Prénommé Lombric, Par les scientifiques, Je suis un ver de terre, Et j'ai plein de frères. Notre travail est nécessaire, Nous fertilisons la terre, Nous l'avalons sans répit, En creusant nos galeries. Nous aérons la terre, Pour la rendre prospère, Les légumes, mes amis, Poussent sans soucis. Pourvus de soies ventrales, Pour creuser c'est idéal. Vert de Mer. Par la peau nous respirons, L'humidité nous aimons. Hermaphrodite je suis, Facilement je me reproduis, Je ponds des œufs mignons, Dans un bien joli cocon. Notre vie est menacée, Par l'hyper productivité, L'engrais chimique sature Notre bonne mère nature. Par ces mauvais produits, Disparaît toute sorte de vie, Pitié pour les petits lombrics! Préférez l'engrais organique.
Courage! L' oeuvre est bon que ton onde accomplit. » Mais quoi! ne renverser qu'un môle ou qu'un barrage? Ce n'est pas pour si peu qu'elle sort de son lit. Ses flots, en s' élançant par-dessus toute cime, N' obéissent, hélas! qu'à d' aveugles instincts. D' ailleurs, sachez-le bien, ces enfants de l' abîme, Pour venir de plus bas, n'en sont que plus hautains. Rien ne satisfera leur convoitise immense. Dire: « Abattez ceci, mais respectez cela, » N' amènerait en eux qu'un surcroît de démence; On ne fait point sa part à cet Océan-là. Ce qu'il lui faut, c'est tout. Ecole élémentaire de Hambach - Poésie : Vert de mer. Le même coup de houle Balaiera sous les yeux de l' homme épouvanté Le phare qui s' élève et le temple qui croule, Ce qui voilait le jour ou donnait la clarté, L' obscure sacristie et le laboratoire, Le droit nouveau, le droit divin et ses décrets, Le souterrain profond et le haut promontoire D'où nous avions déjà salué le Progrès. Tout cela ne fera qu'une ruine unique. Avenir et passé s'y vont amonceler. Oui, nous le proclamons, ton Déluge est inique: Il ne renversera qu'afin de niveler.
« Pour ce jour qui va naître encore (extrait), de Dominique Sorrente | Page d'accueil | Les pigments blancs » 25/01/2011 Mer, d'Alain Bosquet La mer écrit un poisson bleu, efface un poisson gris. La mer écrit un croiseur qui prend feu, efface un croiseur mal écrit. Poète plus que les poètes, musicienne plus que les musiciennes, elle est mon interprète, la mer ancienne, la mer future, porteuse de pétales, porteuse de fourrure. Vert de mer poésie de. Elle s'installe au fond de moi La mer écrit un soleil vert, efface un soleil mauve. La mer écrit un soleil entrouvert sur mille requins qui se sauvent. Tableau d'Eugène Boudin
22 octobre 2010 5 22 / 10 / octobre / 2010 00:00 Une bouteille à la mer contenait un méssage. La bouteille avait le mal de mer. - Voilà des mois que je navigue, soupirait-elle, moi qui n'ai pas l'ai marin. Ah! retrouver la terre ferme! Ah! qui me délivera de ce message! Mais les bateaux n'avaient pas le temps et les poissons méfiants, ne voulaient pas se compromettre. - un message? Comme c'est amusant! dit une sirène qui prenait le frais sur un rocher. Vert de mer poésie des. Elle prit le message, s'en fit un éventail et rejeta la bouteille à la mer. Nouveaux trésors pour la poésie pour enfants Anthologie de Georges Jean Published by Rabussier Sophie - dans poème enfant
Abonnez-vous au blog! Indiquez votre adresse email pour recevoir une notification à chaque nouvelle publication. Et n'hésitez pas à me laisser des commentaires à la suite d'un article ou dans le livre d'or! Adresse e-mail (valide) Suivre le blog Qui suis-je? Poème Vert de mer - vert de mer. J'ai commencé ma carrière en cycle 3 à Paris, pendant 10 ans. Je suis actuellement remplaçante dans la Nièvre. Vous trouverez sur ce blog des ressources pour tous les niveaux. Recherche sur le site Search Vous aimerez surement… Odyssée poétique – Le mois de mai et le muguet Exploitation d'album – Le Noël du hérisson Un panier de Pâques en origami [Concours] offre des comptes aux écoles Un chant de Noël, de Charles Dickens (adaptation) Chez Enge
A de beaux yeux verts par Théophile GAUTIER Vous avez un regard singulier et charmant; Comme la lune au fond du lac qui la reflète, Votre prunelle, où brille une humide paillette, Au coin de vos doux yeux roule languissamment; Ils semblent avoir pris ses feux au diamant; Ils sont de plus belle eau qu'une perle parfaite, Et vos grands cils émus, de leur aile inquiète, Ne voilent qu'à demi leur vif rayonnement. Mille petits amours, à leur miroir de flamme, Se viennent regarder et s'y trouvent plus beaux, Et les désirs y vont rallumer leurs flambeaux. Vert de mer poésie d'amour. Ils sont si transparents, qu'ils laissent voir votre âme, Comme une fleur céleste au calice idéal Que l'on apercevrait à travers un cristal. Recueil La Comédie de la mort Poème posté le 27/12/09 par Rickways Poète