Pour Aristote en effet, le blanc est tout simplement l'une des couleurs dites de bas. Il fait donc partie des couleurs primaires antiques avec le noir et le rouge. Selon ce dernier, toutes les autres couleurs à l'exception du rouge sont tout simplement un mélange entre le blanc et le noir. Il faut d'ailleurs noter que dans la conception antique, le noir est tout simplement une absence de blanc. L'historienne de l'art Liz James soutient d'ailleurs que les anciens n'accordent pas beaucoup plus l'importance à la couleur, mais plutôt à l'aspect brillant ou mât, ou encore le reflet. Ce qui veut donc dire que lorsque ces derniers parlent du cheval blanc d'Henri IV, ils s'intéressent plutôt à sa pureté, à son pouvoir et à son innocence. Vous allez avoir l'occasion de comprendre cela plus bas. Le blanc est donc tout simplement une opposition au rouge qui est symbole de la guerre. Certes ces deux couleurs (blanc et rouge) représentent le pouvoir, mais pas de la même manière. Le rouge va plutôt impliquer un pouvoir militariste.
(…) les prêtres choisissent systématiquement les chevaux blancs pour accompagner les cérémonies de bénédiction de la terre et de récoltes. Qui avait un cheval blanc? Monture des dieux et des prophètes Article détaillé: Kanthaka. Kanthaka est le cheval blanc servant loyalement le prince Siddhartha, qui en fit son favori avant d'atteindre l'état de Bouddha. Quelle était la taille de Napoléon? Wagram trépignait à l'arrivée de son maître, lorsque ce dernier foulait l'entrée des écuries. Il ne s'apaisait qu'après avoir été caressé et embrassé par Napoléon. De cette manière, cela explique pourquoi ce cheval fit partie du voyage pour Elbe.