Lors de la dernière séance plénière du parlement wallon, le ministre wallon de la Mobilité, Philippe Henry (Écolo), a expliqué qu'une concertation était déjà pré ne s'est toutefois pas déclaré opposé au projet, pas plus qu'il ne l'aurait soutenu. Deux jours plus tard, le ministre-président bruxellois affirmait, au parlement bruxellois, que la Région bruxelloise avait avancé dans le dossier du réaménagement de la zone entourant le viaduc Herrmann-Debroux en respectant les règles, notamment en informant les Régions voisines. Mais, ajoutait Rudi Vervoort, la Région wallonne n'en avait pas profité pour formuler de remarque lorsque le projet avait démarré. Le ministre wallon Willy Borsus a réagi à ses propos, les jugeant "scandaleux" (lire ci-dessous). Cela étant dit, dans leur proposition de résolution, les six élus LE mentionnent d'autres "décisions unilatérales en matière de mobilité" prise par la Région bruxelloise sans se soucier des conséquences immédiates sur les navetteurs wallons. "Ce fut le cas pour la fermeture du Bois de la Cambre ou la taxation au kilomètre", rappelle André Antoine qui a souvent qualifié ce dernier projet de hold-up: "Je rappelle que la Région bruxelloise bénéficie d'une dotation "navetteurs" afin de faire face aux coûts que peuvent engendrer les travailleurs wallons qui travaillent sur son territoire. "
Réunis en séance plénière de ce mercredi 11 mai 2022, les membres du CNT ont fixé la durée de la transition à 36 mois, soit 3 ans, a suivi, à travers son équipe de reporters. Le chronogramme présenté par le Conseil national du rassemblement pour le développement (CNRD) a été débattu, apprécié et adopté par les membres du CNT avec une durée légèrement revue à la baisse. Pour y arriver, par une résolution, le CNT propose de dérouler le chronogramme de la transition en 36 mois. Une durée nécessaire pour préparer le pays au retour à l'ordre constitutionnel, soutiennent les membres du CNT. Le document formalisé par une commission Ad hoc est a été soumis à l'examen des sept commissions permanentes et la commission spéciale qui l'ont adopté à leur tour, selon leurs différents porte-paroles qui se sont relayés au parloir. Au cours des débats, seules trois voix se sont élevées contre cette résolution. Il s'agit des Conseillers Sayon Mara du RPG arc-en-ciel, Fadja Baldé de l'UFDG et Tidjane Sylla de l'UFR, les trois partis qui ont dominé la dernière décennie politique du pays.
Entre le Rhône et le Parc de la Tête d'Or, la Cité internationale offre aux regards sa silhouette originale et élégante. Lumineuse, transparente et fonctionnelle, cette « ville dans la ville » dont les bâtiments suivent la courbe du fleuve, propose une toute nouvelle conception de l'aménagement urbain au service de l'environnement et du développement économique. La Cité internationale est la concrétisation d'un des projets les plus ambitieux de la Ville de Lyon où la qualité de l'architecture mais aussi et surtout celle des espaces publics occupent une place essentielle. Le choix d'un des plus grands architectes contemporains, Renzo piano et du paysagiste Michel Corajoud pour réaliser ce site représente un gage de qualité indéniable. La Cité internationale offre tous les aspects d'une ville moderne en phase avec son environnement. De nombreux secteurs d'activité y sont représentés: Hôtels, restaurants, le Musée d'Art Contemporain, l'UGC Ciné Cité, le Casino Pharaon, 3 parkings et le Centre de Congrès dont fait partie la dernière née des salles de spectacle à Lyon (juin 2006): l'Amphithéâtre.
Mais une chose est sûre, c'est que ce groupe est désormais lié, par cette montée en Nationale 2, mais surtout par ce maillot, cet hymne… Car hier après-midi, pour leur sortie à François-Sarrat, Nicolas Gabarre et David Dasté ont écrit un bout de leur histoire, mais aussi de celle du CAL. Et ces moments-là, on ne leur enlèvera jamais…
La salle de contrôle d'Euronext, société qui gère la Bourse de Paris, à La Défense ( AFP / ERIC PIERMONT) La Bourse de Paris restait sur sa lancée de la semaine vendredi, restant dans le rouge (-0, 90%) au lendemain d'une séance difficile à Wall Street et face aux perspectives économiques mondiales qui inquiètent de plus en plus. L'indice vedette CAC 40 était en recul de 57, 50 points à 6. 310, 80 points à 10H10, après un recul de 0, 43% la veille. Jeudi, Wall Street a enregistré la troisième plus importante perte de points de son histoire, après les deux séances plombées des 12 et 16 mars 2020, au début de la pandémie de coronavirus. Le Nasdaq, indice à forte tonalité technologique, a dévissé de 4, 99%, tandis que le Dow Jones a abandonné 3, 12% et l'indice élargi S&P 500 3, 56%. Après s'être enthousiasmé, mercredi, pour les commentaires du président de la banque centrale américaine (Réserve fédérale, Fed), Jerome Powell, qui avait écarté un durcissement encore plus marqué de la politique monétaire de la Fed et une hausse des taux de 0, 75 point de pourcentage lors de sa prochaine réunion, le marché s'inquiète désormais des perspectives économiques qui s'assombrissent au niveau mondial.
On n'apostrophe pas de cette manière des personnes respectables ( Aux voix! aux voix! ) M. - J'ai cité un fait; j'ai dit qu'il est scandaleux que la Chambre des pairs, un des trois pouvoirs de l'Etat, n'ait pas pu discuter contradictoirement le budget; voila un scandale qui portera ses fruits... ( Murmures). M. LE CHANCELIER. - Monsieur de Boissy, je dois saisir cette occasion pour vous avertir que vous n'êtes pas la Chambre des pairs tout entière, et que vous ne pouvez pas, par conséquent, parce qu'on ne vous a pas répondu, dire que la Chambre des pairs n'a pas reçu de réponse. M. - Je maintiens ce que j'ai dit à la Chambre, qu'il y a eu discussion, mais non pas discussion contradictoire. Je répète qu'il était de la dignité de la Chambre de demander une réponse adressée non pas à moi (je me mets tout à fait en dehors, plus tard je me mettrai en avant), mais à la Chambre, sur le fait honteux que j'ai cité à savoir que nos soldats sont traînés dans des charrettes, sur de la paille fraîche, comme des animaux.