Il s'inscrivit aussi dans de nombreux genres tels que les romans et les contes, mais il écrivit également de nombreux poèmes tels que « Le Peuple » et surtout « Les Odelettes » en 1834 dans lequel se…. « Une allée du luxembourg » gérard de nerval 557 mots | 3 pages Gérard de Nerval Gérard de Nerval, de son vrai nom Gérard Labrunie (1808-1855). Passe son enfance dans le Valois (Aisne), chez son grand oncle, (sa mère meurt quand il a 2 ans), qui l'inspira pour des œuvres. Durant le Faust de Goethe et s'introduit dans les rangs de la jeunesse romantique. Une allée du Luxembourg, Gérard de Nerval. Ses idées républicaines l'a conduit en prison. En 1836, il s'éprend de Jenny Colon, qui en épousera un autre. Son esprit commence à défaillir, il est sujet…. Commentaire Une allée du Luxembourg de De Nerval 460 mots | 2 pages Il s'agit ici d'un poème de Gérard de Nerval, Une allée du Luxembourg, écrit en 1832. Dans ce poème, De Nerval évoque le symbole qu'est la femme en poésie. Il serait donc intéressant d'étudier la manière donc il met en scène la femme et en quoi ce poème appelle à l'élégie.
Par la suite, le caractère fugitif est nettement mis en relief. En effet le début du troisième quatrain sonne le glas d'un espoir jugé insensé par le poète lui-même, le rêve du bonheur entrevu est chassé aussitôt, et l'évidence s'impose, aucun geste n'est tenté, aucune parole n'est prononcée. Tout ceci accentue l'idée d'un renoncement immédiat. Une allée du luxembourg analyse graphique. On relève enfin une dernière indication qui pourrait confirmer l'idée d'une rencontre. C'est l'emploi plus ou moins insolite des pronoms possessifs. ]
Le verbe « brille » lui est également associé. Cette rencontre amoureuse s'inscrit sous le signe du mouvement de la jeunesse. Elle renvoie cependant aussi à un temps de regret. Temps du regret Le temps qui passe, celui de la jeunesse, est symbolisé par le passage de cette jeune femme qui semble courir vers son bonheur tandis que le poème apparaît comme figé dans sa contemplation. Une allée du luxembourg analyse technique. Le syntagme « Vive et preste » traduit le mouvement, de la jeune fille comme de la vie qui semble se poursuivre tandis que lui demeure arrêté. Le temps du regret se focalise alors sur cet « adieu » lancé à la femme, tandis que le poète décline sa propre temporalité « Mais non, - ma jeunesse est finie... ». Cette rencontre joue en effet des temps, entre le pouvoir réaffirmé « la seule au monde », et cette jonction temporelle impossible « Dont le cœur au mien répondrait » puis, par retour de distorsion, « Qui venant dans ma nuit profonde, / D'un seul regard l'éclairerait », avec un verbe au conditionnel renvoyant au passé, à ce qui aurait pu se produire.