Q: Mon mari est travesti, ce que je connaissais lorsque nous étions fiancés, il y a 20 ans. Un jour, je peignais mes ongles et pour les coups de pied, je peignais aussi ses ongles. Il aimait ça, alors j'ai continué à les peindre pour lui. Viennent ensuite le maquillage, puis le tuyau de culotte et, après notre mariage, l'habillage à grande échelle, mais seulement à la maison. Je n'ai vraiment jamais eu de problème avec cela car nous portions des vêtements de la même taille et je pouvais toujours justifier tout achat en prétendant que je les achetais pour lui. LA MAISON TRAVESTIE:Y'A UN TRUC,C'EST SUR - Le Soir. Nous avions également convenu que s'il devait s'habiller comme une femme, il pouvait faire toutes les tâches ménagères pendant qu'il était habillé. Maintenant que nos quatre enfants sont adolescents, cependant, il ne peut pas s'habiller aussi souvent, mais quand il le fait, il va à l'extrême. Il a une collection complète de perruques et de chaussures; il se rase les jambes et les aisselles et a quelque peu éclairci ses sourcils. Il se change complètement et vous ne sauriez pas qu'il est un homme.
Ma conclusion après avoir effectué ce rendez-vous était que peu importe les difficultés que m'imposaient mes clients, qu'à partir du moment où il y a une vraie motivation de leurs parts, je devais accepter leurs demandes. Et quelle joie de les rendre heureux… Chaque mardi, une vidéo pour mieux vous connaître et booster votre vie Un cadeau gratuit pour vous Mes conseils font sens pour vous! Alors téléchargez gratuitement un de mes livres qui va améliorer votre vie, vos relations et votre carrière. Choisissez votre livre gratuit Articles associés
Le jour du rendez-vous, je me demandais si Sophie allait arriver en tenue masculine ou féminine. J'ai été agréablement surpris en voyant une femme de 50 ans environ, élégante en robe jaune pastel, maquillée, coiffée d'une perruque discrète. Je me suis détendu, maîtrisant mes émotions (merci mes compétences développées dans le cadre des formations que je dispense sur l'intelligence émotionnelle) car croyez-moi, cette demande n'est pas ma zone de confort. Sophie est un homme qui se sent femme depuis tout petit, d'une génération où l'intolérance était majoritaire pour les personnes comme elle. Je me mettais à sa place et ressentais cette profonde tristesse mais aussi cet espoir que je suscitais en elle. L'objectif étant de refaire sa garde-robe femme, nous sommes partis en magasins. Ce fut une expérience extraordinaire car, au fur et à mesure que nous avons essayé les tenues, je sentais sa confiance et une joie sincère apparaître. J'essayais de rester dans ce qui me semblait un look portable au quotidien afin, car c'est le risque, de ne pas tomber dans la vulgarité.