De bonnes conditions d'implantation, déterminantes pour la suite, restent donc à privilégier. La densité de semis, facteur essentiel à adapter Un semis décalé impacte également les conditions de levée de la culture. Échaudage blé 2012.html. Des pertes plus élevées peuvent être observées dans les conditions froides et humides de cette période, et la capacité de tallage du blé peut être altérée. Pour assurer un nombre décent de plantes par m², une augmentation de la densité de semis est préférable: En bonnes conditions (limons profonds et ressuyés): 350 à 400 gr/m² En conditions difficiles (parcelles superficielles ou hydromorphes): 400 à 420 gr/m²
ven. 21 juin 2019 à 18:48 • • Terre-net Média La moisson 2019 est désormais lancée dans le sud et l'ouest de la France notamment. Pour le reste du pays, les agriculteurs sont dans les starting-blocks. Comment s'annonce cette campagne? Les cultures sont-elles prometteuses? Trois agriculteurs du Gard, de Charente-Maritime et de la Marne témoignent. La moisson 2019 est bel et bien lancée! (©Terre-net Média) L es orges d'hiver, même les blés par endroit, « blondissent » dans les campagnes françaises et les premières moissonneuses-batteuses sont de sortie. Et oui, la moisson 2019 a bel et bien démarré depuis quelques jours. Un début de moisson à des dates « habituelles » dans le Sud Le 7 juin exactement, dans une parcelle de pois fourrager, pour Yannick Herrlé, entrepreneur de travaux agricoles sillonnant les départements du Gard et de la Lozère. Semis de blé tendre décalés : quel impact sur le comportement variétal ?. Depuis mercredi, il a aussi attaqué la récolte de blé dur dans le Gard. Des dates « assez habituelles » pour la région. D'après cet entrepreneur, la campagne 2019 s'annonce mitigée niveau rendement: « les semis de blé dur (généralement autour du 15-30 octobre ont été perturbés cette campagne par les pluies [... ].
lun. 29 juin 2015 à 17:42 • Afp Les envolées caniculaires du mercure attendues cette semaine menacent d'altérer la récolte de blé, dont la France compte parmi les cinq grands producteurs mondiaux. Échaudage blé 2013 relatif. Les producteurs redoutent un phénomène d'échaudage. (©Terre-net Média) D epuis l'annonce de 40°C et plus à partir de mercredi, qui suscite une alerte sanitaire déclenchée par les autorités, le marché s'est lui aussi mis en état d'urgence avec un bond de 15 euros par tonne entre vendredi et lundi, remarque l'Association des producteurs de blé (Agpb). « On ne va pas crier avant d'avoir mal », lâche Arnaud Rousseau, agriculteur en Seine-et-Marne au sud de Paris, où l'absence de précipitations sérieuses depuis deux mois commence par ailleurs à se faire sentir. « Mais on a déjà des températures élevées depuis un certain temps, alors une semaine caniculaire quand on arrive au stade de maturation du grain, c'est au minimum une perte de rendement ». Les producteurs, anxieux, redoutent un phénomène d'échaudage, minutieusement décrit par l'historien du climat Emmanuel Le Roy Ladurie comme un des éléments déclencheurs de la Révolution française.
Accueil Gestion et Management Gestion économique Publié le 11 juin 2020 Mis à jour le 19 juin 2020 à 08:51 Les surfaces en cultures de printemps (orge de printemps, maïs, tournesol) ont augmenté, alors que la sole de blé est en nette baisse. A défaut de certitudes sur les prix à venir, on s'attend à une probable diminution des volumes, en lien avec la baisse des surfaces observées principalement en blé. 185, 50€/t le cours du blé tendre (Rendu Rouen) au 9 juin, 163€/t pour l'orge fourragère et 370, 75€/t (FOB Moselle) pour le colza: telles sont les cotations relevées début juin. Les prix sont plutôt bien orientés. Mais rien ne présage de l'avenir. Au cours d'une même année, ils peuvent connaître d'importantes variations. En août 2018, le blé tendre était coté à 209€/t. En mai 2019, il était descendu à 170€ (- 39€). L'évolution est plus saisissante encore pour le colza. Échaudage blé 2012 relatif. De 412€/t en janvier, il est tombé deux mois plus tard à 365 (- 47€). « Attention, les cours connaissent généralement une plus grande volatilité juste avant la récolte », prévient Nathan Cordier, responsable de l'analyse de marché chez Agritel, société experte en stratégies des marchés agricoles.