La date limite de souscription de la déclaration n° 2042 et de ses annexes est fixée au mardi 20 mai à minuit. Pour les déclarations souscrites par internet, cette date limite est reportée, selon le département de domiciliation, aux mardi 27 mai, 3 juin ou 10 juin minuit. Démarrage de la campagne mercredi 9 avril L'envoi par la Poste des déclarations papier au domicile des contribuables commencera mercredi 9 avril 2014. Le service de la déclaration en ligne sur le site des impôts ouvrira une semaine plus tard, mercredi 16 avril 2014. Arrêt de la campagne mardi 10 juin La date limite de dépôt des déclarations papier est fixée au mardi 20 mai 2014. Les contribuables qui continuent de déclarer leurs revenus au moyen du formulaire envoyé par l'administration auront une semaine de moins qu'en 2013 pour s'exécuter. Impôts 2022 : formulaire de déclaration 2042 en ligne sur impots.gouv. Les déclarants en ligne bénéficieront d'un délai supplémentaire pour télédéclarer, variable selon le lieu où ils résident. Ils auront jusqu'au mardi 27 mai s'ils vivent dans les départements 01 à 19, jusqu'au mardi 3 juin dans les départements 20 à 49, et jusqu'au mardi 10 juin pour les départements 50 à 974/976 (La Réunion/Mayotte).
Prolongation jusqu'au 30 juin pour les non-résidents Les non-résidents en France devront souscrire leur déclaration, en ligne ou papier, avant lundi 16 juin à minuit s'ils résident en Europe, dans un pays du littoral méditérannéen, en Amérique du Nord ou en Afrique, et avant lundi 30 juin à minuit s'ils résident dans un autre pays. Paierez-vous plus d'impôts cette année? Calculez sans attendre vos impôts 2014!
La seconde exposition du musée de la Publicité, intitulée « L'Art dans la Pub », invite le public à découvrir la publicité « à référence d'art », sujet polémique sur lequel défenseurs et détracteurs de la légitimité des publicitaires à utiliser des œuvres du patrimoine à des fins commerciales se confrontent. Dans sa grande variété, la production publicitaire actuelle fait couramment appel au domaine artistique qu'il s'agisse des processus de création, de l'œuvre d'art à proprement parler ou de la renommée d'un artiste. Cette utilisation de l'art par les publicitaires n'est ni une publicité pour les institutions culturelles, ni une production d'artistes de renom, mais apparaît comme un mode de communication spécifique. De la simple reproduction, aux pastiches les plus élaborés, du jeu de mot au clin d'œil érudit, cette production révèle une critique d'art à la fois irrévérencieuse, drôle et effrontée, judicieuse, intelligente ou pertinente. Une sélection des collections permanentes du musée de la Publicité, permet de découvrir les différents types d'utilisation du patrimoine et cela, afin de mettre en lumière les causes, les intérêts et les cibles visées.
Son activité, ouvertement commerciale, est démonétisée sur le plan esthétique, toujours au nom de l'essence. Un critique d'art n'est-il pas allé jusqu'à qualifier l'image publicitaire de « prostituée »? Mais l'art lié à une cause, à un certain type de mécénat n'est-il pas prostitué? Que penser des portraitistes obligés de flatter leurs modèles et qui n'en ont pas moins réalisé des tableaux tenus pour des chefs-d'œuvre? La valeur « artistique » conférée à une œuvre tient également à son caractère unique. L'artiste qui utilise la lithographie ou la gravure travaille pour le nombre, tout en limitant la quantité d'exemplaires mise sur le marché. Les techniques employées sont alors considérées comme des prolongements de la peinture et ne sont pas considérées comme de simples reproductions, dans la mesure où le nombre d'exemplaires en circulation reste plus près de l'exemplaire unique que du grand nombre. Or la publicité, elle, est placée sous le signe de la quantité. L'œuvre d'art est une par rapport au zéro de l'origine – le zéro est ici comme une frontière entre l'infini et le un – et chaque exemplaire d'un tirage limité constitue une unité supplémentaire, le numéro l'atteste, la signature l'authentifie.
Les grandes marques de l'époque telles que Chanel ou Coca-Cola, par exemple, commandent alors des publicités à des artistes reconnus. Andy Warhol, pionnier de la sérigraphie, est l'un de ces grands noms de l'art à avoir réalisé des œuvres qui ont ensuite été diffusées par des entreprises. Andy WARHOL, Green Coca-Cola Bottles, 1962 L'alignement de bouteilles similaires et pourtant différentes les unes des autres offre au public un sentiment de profusion. Dans un de ses ouvrages, Andy Warhol explique que tout le monde peut s'offrir une bouteille de Coca-Cola, que ce soit le simple sans-abri ou le président. Il place ainsi l'objet au sein de la société comme un symbole d'égalité et une exception à la hiérarchie sociale. Le fait de faire appel à des artistes, graphistes ou réalisateurs célèbres et reconnus donne une identité à un produit. On l'identifie, on l'associe à la personne qui l'a réalisée ou à la marque et cela va influer sur le choix du consommateur. Par ailleurs, une image ou une vidéo est plus visuelle, et donc plus facilement reconnaissable, qu'un texte et c'est en cela que l'on peut dire que l'artiste va donner une identité à un produit.
La publicité n'apparaît pas alors comme le simple reflet de la société, elle est également un moteur en ce qu'elle s'appuie sur la culture d'un groupe pour l'étendre au plus grand nombre. Date de parution 13/05/2000 Editeur ISBN 2-86227-245-0 EAN 9782862272450 Présentation Broché Nb. de pages 143 pages Poids 0. 735 Kg Dimensions 23, 1 cm × 27, 5 cm × 1, 1 cm Catalogue de l'exposition présentée au Musée de la publicité, Paris, du 4 mai au 27 août, par l'UCAD (Union centrale des arts décoratifs)
Lors de son séjour à Paris, il découvre Marcel Duchamp et les cubistes, deux influences qui le marqueront tout […] Lire la suite Voir aussi ARTS GRAPHIQUES CARACTÈRE imprimerie DIFFUSION DE L' INFORMATION LITHOGRAPHIE PEINTURE DU XXe ET DU DÉBUT DU XXIeSIÈCLE de 1939 à nos jours SURRÉALISME & ART Recevez les offres exclusives Universalis