Cette hausse est très marquée dans les athénées: 9. 034 inscrits en 2005 pour 12. 127 l'an dernier. Le cours de morale chute de 1, 5% (22, 5%) en dix ans. Pour ajouter un commentaire, veuillez s'authentifier à partir de la zone Connexion située à droite.
Plutôt un vrai cours de religion, donné par quelqu'un de formé, que des discours simplistes tenus dans des arrière-salles de café », plaide Etienne Michel. Nombre de familles musulmanes inscrivent leur(s) enfant(s) dans des écoles de l'enseignement officiel, où les cours de religion islamique sont dispensés. Un débat sur l'opportunité d'instaurer un tronc commun de cours dits « philosophiques » dès l'enseignement fondamental fera l'objet d'auditions dès mardi, en commission de l'Education du parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Côté laïc, le CEDEP (Centre d'étude et de défense de l'école publique), favorable à la création d'un cours commun de philosophie, y sera entendu de même que, côté chrétien, la CSC (syndicat), l'UFAPEC (parents) et le SeGEC (pouvoir organisateur). Le directeur du SeGEC a également insisté sur la nécessité d'une évaluation formelle des enseignants, pour objectiver les évaluations « informelles, diffuses, permanentes, par l'intermédiaire du regard des élèves, de la direction, des parents, des autres enseignants ».
L'enseignement catholique a demandé samedi de pouvoir à nouveau dispenser des cours de religion islamique, dans une perspective de dialogue inter-convictionnel à l'école. « Est-il juste, lorsqu'une majorité des élèves qui fréquentent une école catholique est de confession musulmane, de ne pas offrir le choix de suivre un cours de cette confession », a demandé Etienne Michel, directeur du SeGEC (Secrétariat général de l'enseignement catholique), au terme d'un congrès sur les perspectives de l'enseignement catholique pour les dix prochaines années. Actuellement, une seule école catholique d'enseignement fondamental à Cheratte (province de Liège) bénéficie d'une dérogation pour pouvoir dispenser un tel cours, que le cadre légal exclut de l'enseignement catholique depuis plus d'une dizaine d'années. « Comment construire un vrai dialogue inter-convictionnel dans les écoles, sachant que la relégation du religieux dans la sphère privée n'offre aucune solution à l'égard des risques de dérive fondamentaliste?
Elle leur permet d'améliorer leur connaissance des réalités auxquelles font face les détenus qu'ils accompagnent, et de développer de nouvelles techniques de dialogue. Cette initiative est le fruit d'une collaboration entre l'Exécutif des Musulmans de Belgique (EMB), le Vice-Président du Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, et Ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et des Médias, Jean-Claude Marcourt, ainsi que le cabinet de la Ministre Isabelle Simonis, en charge de la Promotion sociale et de l'Egalité des chances. Elles font suite aux travaux de la 'Commission chargée de faire des propositions en vue d'un islam de Belgique en Fédération Wallonie-Bruxelles', à laquelle l'EMB a activement participé. Son rapport a proposé plusieurs axes d'engagement pour la formation des cadres musulmans, afin de favoriser un islam de Belgique, « adapté au contexte démocratique belge et européen, respectueux de ses lois et de ses valeurs, et notamment la séparation Église/État, l'égalité homme/femme, la liberté d'expression, le rejet de toute forme de radicalisme violent ».
Je le recommande vivement et espère sincèrement que vous ferez le choix de lui faire confiance, vous ne le regretterez pas un seul instant! Commentaire de LEÏLA