on peut proverbe africain; les enfants l'aspect le plus important de la santé est: suisje heureux ou pas heureux? si je ne celuilà t' aime bien qui te fait pleurer. proverbe africain je t'aime Votez Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu et les annonces, d'offrir des fonctionnalités relatives aux médias sociaux et d'analyser notre trafic. Nous partageons également des informations sur l'utilisation de notre site avec nos partenaires de médias sociaux, de publicité et d'analyse, qui peuvent combiner celles-ci avec d'autres informations que vous leur avez fournies ou qu'ils ont collectées lors de votre utilisation de leurs services. Vous consentez à nos cookies si vous continuez à utiliser notre site Web. Ok Configurer vos cookies
Le Live d'Anaé et Jeny - Je t'aime etc S03 - YouTube
L'Afrique est sans aucun doute l'un des continents les plus romantiques de la planète. Des plages de Zanzibar aux vignobles du Cap, des dunes de sable du Maroc aux interminables plaines giboyeuses du Kenya, il y a de la magie en Afrique qui donne vie à l'amour. Savoir comment exprimer cet amour est la clé, donc dans cet article, nous regardons comment dire "Je t'aime" dans quelques-unes des langues les plus importantes d'Afrique. De cette façon, vous pouvez ajouter une touche d'authenticité à des moments spéciaux avec votre bien-aimé (que ce soit un chouchou ou une partie d'une proposition de mariage élaborée). Bien sûr, "Je t'aime" n'est pas seulement pour les partenaires et les conjoints. La plupart des phrases suivantes conviennent également comme expressions d'affection entre les familles et les amis. Note: L'Afrique est le deuxième continent le plus peuplé de la planète et, à ce titre, il y a entre 1 500 et 2 000 langues parlées à l'intérieur de ses frontières. Évidemment, il est impossible d'énumérer toutes ces langues ici, alors nous avons choisi les langues officielles de chaque pays et, dans certains cas, la langue autochtone la plus parlée.
« Cela fera bientôt deux ans que ma femme et moi réfléchissons à notre départ de la France pour retourner à Cotonou ou dans une capitale africaine. La raison principale de notre déménagement, c'est que nous en avons assez de vivre dans un pays où un tiers de la population active travaille dans la fonction publique. » C'est ainsi que commence ce texte d'une jeune diplomé africain sur lequel je suis tombé récemment au détour d'un mur Facebook. Ce jeune homme diplomé d'une grande école française, et à qui je pourrais m'identifier, explique simplement en quoi la France ne lui correspond plus et pourquoi il a décidé de plier baggage pour retourner en Afrique. Bien que je ne partage pas entièrement son opinion et on ses motivations (que je trouve un peu égoistes), je ne peux m'empêcher d'y reconnaitre le dilemme auquel est confronté la quasi-totalité des étrangers diplômés d'universités françaises. Ces dernières semaines, mon silence ne vous a pas échappé. En effet, je traverse l'une des période de ma vie où je dois faire les choix les plus difficiles.
J'y ai retrouvé exactement la même reproduction sociale que je pensait fuir en Afrique. Cette société où les élites vivent coupés du reste du monde, cette société où les Grandes Ecoles (j'y ai séjourné) ne servent qu'à perpétuer une espèce de « caste » n'ayant pour seule ambition qu'un emploi de cadre supérieur dans un grand groupe tandis qu'à l'autre extrème, les autres jeunes qui ont raté leur vie n'ont pas eu la chance de faire le duo Prépa+Grande Ecole ne rêvent que de fonction publique et de revendications sociales. Quand j'étais plus jeune, je rêvais de devenir comme Bill Gates. Mes modèles étaient américains. En arrivant en France, je pensais pouvoir y trouver des modèles à qui m'identifier, des personnes et des idées auxquelles je pouvais m'associer. Force est de constater qu'ils n'existent pas. Du moins, ils ne sont pas nombreux. La France appartient à l'aristocratie et aux énarques, qui eux même perpétuent l'immobilisme dans leurs anciennes colonies africaines. Colonies qui sont aussi indépendantes que je suis asiatique.