Votre adresse e-mail renseignée: Voulez-vous dire: Non Ecoles fréquentées par Michèle 1966 - 1971: 1972 - 1977: 1977 - 1981: 1980 - 1981: Michèle sur Trombi 15 contacts 1 expérience vécue 2 photos Une fois inscrit(e), vous pourrez gratuitement: Voir le profil des membres Regarder les photos et les photos de classe Voir plus d'informations Michèle Gay à Villerest (Loire) Michèle Gay auparavant dans l'établissement Loire de Villerest. également de Roanne Scolarité suivie parmi les établissements suivants: de 1966 à 1971 à la lie avec Martine Besson et d'autres élèves et de 1980 à 1981 à Pigier. Entrez en contact avec Michèle Gay, regardez ses photos et bien plus encore. Michèle Gay > 12 autres abonnés portant le même nom Quelques camarades de classe de Michèle Gay la lie ( 1966 - 1971) Jean de la Fontaine ( 1972 - 1977) Jean Puy ( 1977 - 1981) Michèle a trouvé 62 autres camarades. Souhaitez-vous en savoir plus sur Michèle? Michèle Gay (Michèle Just) - Roanne, Villerest. Non
Parfumeure chez Symrise, Alexandra Carlin s'est confiée à Parfumista. Dans cette interview il est question d'art, de légumes, de carnets de voyage et de bougies parfumées. Rencontre avec une créatrice sensible et enjouée, collectionneuse d'images et de mots. ci-dessus: Alexandra avec David Benedek des parfums BDK pour le lancement de Velvet Tonka 1/ Bonjour Alexandra, pouvez-vous nous raconter comment le parfum est entré dans votre vie? Assez tard en fait! C'était peu de temps avant de passer mon baccalauréat littéraire. Michèle gay parfumerie culinaire de soissons. J'ai entendu pour la première fois de ma vie un parfumeur parler de son métier à la radio et c'est à ce moment-là que j'ai compris qu'un créateur se cachait derrière chaque fragrance. Ça a été le déclic, j'ai changé de voie non sans difficulté afin de rentrer à l'ISIPCA. Pour l'anecdote, ce parfumeur à la radio n'était autre que Maurice Roucel… qui est devenu mon mentor chez Symrise dix ans plus tard! 2/ Vous souvenez-vous de votre première création? Sûrement le parfum « Je de Hasard ».
Joyau unique et sensoriel, telle est la signification de J. U. S. Brigitte Wormser, une des trois créatrices nous raconte l'aventure et la démarche de cette marque de niche atypique. 1/ Bonjour Brigitte, pouvez-vous nous raconter votre premier souvenir olfactif? J'étais enfant, je passais les vacances de février avec mes grands-parents à Nice. C'était l'hiver, le temps du Carnaval et la saison du mimosa. Cette odeur florale verte, poudrée, riche, douce, miellée et amandée me transporte toujours dans mes souvenirs d'enfance. 2/ Comment l'aventure J. S a-t-elle commencé? J. S a commencé par un exercice de style. Thierry de Baschmakoff et son agence de design ont cherché à introduire dans la parfumerie de niche des concepts qui n'existaient pas ou peu: l'upcycling*, l'open-source** et le collaboratif. Quand Thierry nous a parlé de ce projet, Jean Baptiste Roux et moi-même lui avons dit: « c'est super, lançons J. S pour proposer une marque différente et décomplexée! Michèle gay parfumerie culinaire. ». Nous souhaitions provoquer l'étonnement dans l'industrie de la niche, qui est devenue si banalisée et académique.