Nouveau gouvernement également en France, où Élisabeth Borne et son équipe se réunissent aujourd'hui pour la première fois en Conseil des ministres. Les Échos dressent la liste des "urgences et des défis" qui attendent ce nouveau gouvernement. Là encore, le pouvoir d'achat, la transition écologique, mais aussi l'emploi et les retraites. Le quotidien économique propose également un portrait de Pap Ndiaye, le nouveau ministre de l'Éducation, venu de la gauche culturelle, et présenté comme " la surprise de ce nouvel exécutif. Pap Ndiaye, qui aura fort à faire pour redonner de l'attrait au métier d'enseignant", selon Libération, qui évoque le "classe-tête" qui attend le nouveau patron de l'Éducation nationale, confronté à la baisse inquiétante du nombre de candidats au métier d'enseignant. Video vidéo borne movie. L'arrivée de Pap Ndiaye rue de Grenelle, aux côtés de ministres venus de la droite, laisse sceptique Le Figaro, pas très convaincu non plus, d'ailleurs, par le maintien à la Justice d'Éric Dupond-Moretti.
Marine Le Pen était l'invitée de la matinale de France Inter ce mercredi 18 mai. Sans surprise, l'ancienne candidate du Rassemblement National à l'élection présidentielle a été interrogée sur la nomination d'Elisabeth Borne à Matignon. Elle s'est montrée très sévère avec la remplaçante de Jean Castex. Comme à son habitude, Marine Le Pen n'a pas mâché ses mots. Présente sur les ondes de France Inter ce mercredi 18 mai, l'ancienne candidate du Rassemblement National à la présidentielle a été invitée à donner son avis sur la nomination d'Elisabeth Borne à Matignon. Video vidéo borne video. " Vous félicitez-vous néanmoins que pour la deuxième fois seulement de l'histoire de la Ve République, plus de trente ans après Edith Cresson, une femme soit nommée à ce poste? ", lui a demandé Nicolas Demorand. " Je me féliciterai qu'une femme soit nommée à ce poste le jour où ça ne sera plus une information majeure ", a-t-elle répondu cash. Et d'ajouter au sujet de la nouvelle Première ministre: " La réalité, c'est que ça ne cache pas la politique que va mettre en oeuvre Emmanuel Macron par l'intermédiaire de Mme.
Elisabeth Borne est candidate aux législatives dans le Calvados, la preuve pour Stanislas Guerini que c'est une "militante engagée". VIDEO. Accusé de viols par deux femmes, le ministre Damien Abad se dit "innocent" et n'envisage pas de démissionner. "Elle n'a pas hésité trois secondes" à se "soumettre aux suffrages des Français", selon lui. "Moi je crois à la légitimité, et il n'y a pas de plus belle façon que d'aller la conquérir" en se portant candidat à une élection, affirme Stanislas Guerini. Il assure également que ce sera au président de la République, Emmanuel Macron, de décider si Elisabeth Borne peut rester Première ministre ou non en cas de défaite.