Il mandate l'économe diocésain pour agir en son nom et selon ses directives. Ses membres sont nommés pour cinq ans. Abbé André MAIGNÉ, vicaire général émérite Abbé Marc DERREY, vicaire général, secrétaire Abbé David CENZON, administrateur Mme Isabelle de PINS, avocate M Jean-Odet VANCHE, notaire Commissaire aux comptes: M. Conseil presbytéral - Diocèse d’Angers - L’Eglise catholique en Maine-et-Loire. Murielle Bacqué Collège des consulteurs Composé de membres du Conseil presbytéral, cette instance ne siège que pour des cas particuliers, affaires financières notamment, où son accord est nécessaire. En cas de « vacance » du siège épiscopal, le collège des consulteurs élit un administrateur diocésain, chargé de régler les affaires courantes dans l'attente d'un nouvel Archevêque. Cette attribution (élection de l'administrateur diocésain) est importante. C'est pourquoi le mandat du Collège des Consulteurs, qui est normalement de cinq ans, est prolongé au-delà de cette période tant qu'un nouveau Collège n'est pas constitué. Le collège a été renouvelé le 20 janvier 2021 pour 5 ans et est composé de: Abbé David CENZON Abbé Marc DERREY Abbé François DUCASSE Abbé Jacques FAURÉ Abbé Jean-Claude LAGOUANELLE Abbé Rodrigue NGUEKAM FIANGUEU Conseil diocésain de Pastorale Représentatif de l'ensemble des chrétiens du diocèse, ce Conseil se réunit trois fois par an autour de l'Archevêque.
Il en va de même dans le statut des équipes d'animation pastorales (EAP) du diocèse de Metz (5). Certes, il existe ici ou là des EAP dont certains membres laïcs sont élus par une assemblée paroissiale. Mais ces exemples sont des exceptions dans un mode de gouvernance qui reste clérical. C'est bien la charge de gouvernement réservée à un homme célibataire, fût-il ordonné, qui est incompréhensible et inacceptable aujourd'hui. Il est temps, pour laisser place à l'expérimentation d'une gouvernance partagée, que la théologie et le droit canonique évoluent pour que des membres laïcs du conseil pastoral soient élus, que le conseil pastoral se réunisse plus souvent qu'une fois par an, et que l'avis du conseil ne soit pas que consultatif. Conseil presbytéral catholique. À cet égard, l'équipe sacerdotale nouvelle de la paroisse Saint-Hippolyte à Paris dans les années 1970-1990 a représenté un modèle proche du conseil presbytéral protestant, tout en maintenant un caractère catholique. Tous élus Tous ses membres laïcs étaient élus, se réunissaient avec les prêtres chaque semaine et prenaient en commun toute décision en matière pastorale et administrative par consensus, exceptionnellement en votant.
Il est renouvelé par moitié tous les trois ans. Ses membres de droit sont le vicaire général et le secrétaire général du Conseil Presbytéral. Membres élus: – Un délégué des prêtres de paroisse, Abbé Alain QUIERZY – Un délégué des diacres permanents, M. L’Eglise peut elle confier au seul prêtre les charges d’enseignement – sanctification – gouvernement ? – Groupe de catéchuménat de la paroisse des Lilas (93). Christophe TOLLON – Des délégués des religieuses et religieux, Sr Joséphine – Des délégués des Secteurs pastoraux, Mmes Hélène NOUVELLON (Rivière Basse), Anne-Laure ARFEUIL (Lomagne), Anne-Marie CHABROL (Save Gimone), Alix de la TOUCHE (Astarac), Marie MANAUD (Auch Fezensac), Claudette MENDOUS (Condomois) – Des délégués des mouvements et services, Mmes Chantal HAUTIER (MCR), Claire LAPLANE (Catéchèse), Patricia ROLANDO (Spiritualité).
Cependant, le curé y restait affecté par l'évêque, ce qui maintenait la coexistence salutaire de deux légitimités: l'élection démocratique des membres élus et l'affectation par l'évêque du prêtre ordonné, sans dépendance mutuelle. Remis en question à la fin des années 1990 pour revenir à un CPP conforme à l'ordonnance du diocèse, ce modèle devrait pourtant nous inspirer pour refonder radicalement la gouvernance des paroisses catholiques, combattre le cléricalisme, et enfin partager réellement le pouvoir avec les femmes. ‐—————————————– À lire aussi « Le Synode doit devenir un mode de fonctionnement permanent pour l'Église » (1) Selon le site de l'Église protestante unie de France: » (2) Baptême eucharistie ministères, commission Foi et constitution du Conseil œcuménique des Églises, Lima, 1982, § 315. Conseil presbytéral catholique sur. (3) Code de droit canonique (1983), chap. 5 « Le Conseil pastoral », art. 511 à 514; chap. 6 « Les Curés et les Vicaires paroissiaux », art. 536. (4) Cardinal Lustiger, Ordonnance mettant en place les Conseils pastoraux paroissiaux, Paris Notre Dame, n° 191, 12 novembre 1987.
Tribune: Jérôme Perrin Président de la Société de Saint Vincent-de-Paul de Paris Dans sa recherche de nouveaux modes de gouvernance, l'Église catholique devrait « s'inspirer des autres Églises chrétiennes », considère Jérôme Perrin, de la Société de Saint-Vincent-de-Paul de Paris. Les retours d'expérience des conseils presbytéraux protestants pourraient nourrir notre démarche synodale, explique-t-il. Les différents conseils diocésain - Diocèse d'Auch. La Croix, Jérôme Perrin, le 22/03/2022 Le Synode sur la synodalité dans l'Église catholique devrait s'inspirer des autres Églises chrétiennes, car chacune porte un charisme ecclésial mais aussi un péché structurel. Dans l'Église catholique, le charisme est l'universalité, manifestée dans chaque paroisse par la nomination du curé par l'évêque, lequel est nommé par le pape, dans une filiation qui prévient l'auto-légitimation des communautés; mais le péché structurel est le cléricalisme qui entraîne l'abus de pouvoir. Dans les Églises orthodoxes, le charisme est l'unité spirituelle des Églises locales comme autant d'icônes du royaume de Dieu; mais le péché structurel est la dépendance de l'Église à l'empereur.
Horaires: 29 avril 2022 à 09 h
Rien ne s'affiche? Cliquez ici. Pour utiliser cette vidéo, lisez nos conditions. Interprété par la chanteuse Andy, personnage de fiction. Musique de Vincent Bosc. Paroles de Sébastien Brochot. Réalisé par Sébastien Brochot, préventeur-formateur au CRIAVS Île-de-France. Le CRIAVS Île-de-France est un service des Hôpitaux de Saint-Maurice dirigé par Dr Walter Albardier. + En savoir plus Une chanson parodique pour expliquer aux 15/25 ans la notion de consentement, en s'inspirant du style des années 80! À sa sortie, ce clip a été vue près de 4 millions sur les réseaux sociaux, en seulement quelques semaines. Il a été largement diffusé dans les médias, et à donner lieu à des dizaines de milliers de commentaires et de partage, surtout chez les adolescents et les jeunes adultes. Des paroles et une musique qui restent la tête: « Quand c'est oui, c'est oui. Quand c'est non, c'est non. Et quand on ne sait pas, on garde ses doigts pour soi. » Des affiches et dépliants reprenant le slogan de la campagne « Quand c'est oui, c'est oui.
« Quand c'est non c'est non » Auteur – compositeur: Jeanne Cherhal Éditeur: Les Editions TIBIA (p): Universal Music France – Barclay Entourée des Françoises (Camille, La Grande Sophie, Emily Loizeau, Olivia Ruiz et Rosemary Standley) pour le titre « Quand c'est non c'est non », Jeanne Cherhal clame haut et fort le droit de refuser les avances des mâles non désirées. La chanson met en place un dispositif énonciatif complexe. Les chanteuses françaises, Rosemary Standley, Emily Loizeau, Camille, La Grande Sophie, Olivia Ruiz et Jeanne Cherhal, réunies dans le groupe « Les Françoises », sur la scène de la 34 e édition du festival rock-pop « Le printemps de Bourges », le 18 avril 2010.
À six heures, en sortant de l'usine Dans une piaule, j'ai posé ma gamelle J'ai mis un petit chouïa de brillantine Tout en me peignant les vermicelles J'ai mis une étrangleuse à rayures Sur une limace à carreaux lilas Puis j'ai filé au bistrot à Jules Un petit coup de ronfleur à ma nana J'y ai dit "viens gambiller, ma Ginette On va se payer une tranche de bonheur Viens comme ça avec tes belles mirettes Et tes lèvres qui sentent bon les fleurs" Elle m'a dit "non!
Que Jeanne Cherhal, par la plume de Laurence Equilbey, fasse chanter à un chœur de femmes un pastiche de chansons polyphoniques de la Renaissance n'est pas anodin! C'est une belle manière de montrer le chemin parcouru depuis une époque où les femmes étaient presque systématiquement écartées de la fonction de compositrice. En effet, pendant la Renaissance, « l'apprentissage de l'écriture polyphonique se faisait dans les écoles des cathédrales dont les filles étaient exclues ». Les femmes, pour l'immense majorité d'entre elles, étaient vouées à la vie domestique, « au mariage, à la maternité et à l'intendance de la maison ». Quelques rares femmes issues de la noblesse ont pu malgré tout entrer dans la postérité. Telle « Maddalena Casulana (vers 1544-1590), musicienne professionnelle, […] première femme à se considérer comme compositrice et […] à avoir publié sa musique en 1566, à l'âge de 26 ans ». Quand on sait que le XVI e siècle voit les premiers livres de Petrucci paraître en 1501, « il a donc fallu 65 ans pour qu'une femme profite de cette nouveauté technologique, c'est à la fois beaucoup et peu si l'on considère les mentalités de l'époque ».