La vie des Bretons sous de multiples facettes « Au XIXe siècle, la Bretagne reste une terre préservée face au développement industriel des villes. Paul Gauguin ne s'y trompe pas en déclarant à son ami Émile Schuffenecker: ''J'aime la Bretagne: j'y trouve le sauvage, le primitif'' ». En quête d'authenticité et de culture séculaire, Paul Gauguin et son groupe déclinent à Pont-Aven la vie des Bretons sous de multiples facettes. Que j’aime ce Merle d’Amérique ! | Les Quatre Saisons. « Les femmes bretonnes n'y échappent pas, plus disposées que les hommes à poser pour les artistes ». Un deuxième billet de loterie d'Émile Bernard Si le musée possédait déjà un billet de loterie d'Émile Bernard, il vient d'en acquérir un deuxième qu'il expose également dans le cadre de « Variation sur la ligne ». « En 1890, le père d'Émile Bernard lui coupe les vivres et pour essayer de remplir les caisses le peintre crée un billet de loterie avec en lot un de ses tableaux ». Il s'agit de gravure sur bois, numéroté 59. « Très synthétistes, ces images sont imprimées de manière rudimentaire, par pression de la main ou d'une cuillère sur la feuille, et parfois rehaussées d'aquarelle ».
Les Cardinaux à poitrine rose s'acclimatent à cet endroit On les sent plus confortables. D'ailleurs, ils sont maintenant trois, deux mâles et une femelle. Les bavettes roses des mâles diffèrent l'une de l'autre. Lire la suite Le chat aime l'herbe longue Il s'y faufile et l'habite. Bien sûr, je ne pourrais imaginer qu'il aimerait la vie en ville. Lire la suite
Sortlist a remarqué une disparité entre les réponses des hommes et des femmes: « Le metaverse représente un moyen d'échapper au monde réel pour les femmes (58%), alors qu'il représente l'avenir pour les hommes (53%) ». L'étude pointe également du doigt la méfiance des utilisateurs au sujet du metaverse. En effet, « plus de la moitié des utilisateurs que nous avons interrogés disent qu'ils ne feraient pas confiance à ce concept des mondes virtuels », souligne l'entreprise. 54% des sondés assurent qu'ils n'accordent pas leur confiance à un monde virtuel. La méfiance est moins marquée chez les utilisateurs plus jeunes. 53% des 25-34 ans font confiance aux univers numériques, contre seulement 12% des plus de 54 ans. Comme le souligne Sortlist, « les utilisateurs plus âgés sont les plus informés sur ce qu'est le metaverse, ils sont aussi les plus sceptiques. J aime les panorama des. Les utilisateurs plus jeunes semblent être plus optimistes bien qu'ils en savent moins ». Pour expliquer la méfiance des usagers, l'étude pointe du doigt les risques en matière de cybersécurité.
Lire aussi: Article réservé à nos abonnés Humour: Blanche Gardin, le rire à cru On l'aura compris, Tout le monde aime Jeanne se plaît au mélange des genres, au mariage de la fantaisie et de la gravité. La réalisatrice a le don de l'équilibre, qui sait faire tanguer son histoire, tenir ses personnages sur un pied au point qu'on ne sait plus, nous-mêmes, sur lequel danser. L'incertitude est jouissive, diablement cultivée par Blanche Gardin et Laurent Lafitte, qui trouvent ici un champ rêvé, conçu pour eux, de quoi construire un irrésistible duo. Car, à Lisbonne, Jeanne croisera Jean, qui lui collera aux basques. Elle est en dépression et refuse de l'admettre. J aime les panorama 2017. Il est un ancien dépressif assumé et soucieux d'aider. Bien que, au moment de leur rencontre fortuite dans un aéroport, l'évidence ne saute pas aux yeux, ces deux-là sont faits pour s'entendre. Le film s'appliquera, du moins, à les y conduire sur un pas de deux légèrement discordant, qui fait toute la saveur de cette comédie (sentimentale).
Culture Festival de Cannes 2022 Le premier long-métrage de Céline Devaux marie fantaisie et gravité autour des tourments d'une ingénieure en pleine remise en cause. Article réservé aux abonnés SEMAINE DE LA CRITIQUE Femme de qualité, Jeanne (Blanche Gardin) agit pour le bien d'autrui. Elle en a fait une règle de vie et sa profession en devenant ingénieure au service de la planète. A cette heure, elle s'apprête à connaître son heure de gloire grâce à une colonne révolutionnaire de récupération et de recyclage des plastiques destinée aux océans, dont elle est la conceptrice. Le jour J est arrivé, l'événement, suivi par les télévisions et les badauds: la colonne est enfin installée. Elle se dresse au large, sous les applaudissements, puis, deux ou trois clignements de paupières plus tard, s'effondre. Cameroun > Bataille au sommet: La guerre de l’opinion publique refait surface – Panorama papers. Jeanne aussi. La première ne s'en relèvera pas. Pour la seconde, il faudra du temps. Le ton est donné, le film lancé, qui va suivre la dépression de Jeanne en y insufflant une bonne dose d'humour.