Par avec AFP Publié le 22/05/2022 à 17h00 Connue pour ses tags et pochoir de femmes accompagné de slogans poétique, l'artiste Miss. Tic est décédée à 66 ans Miss. Tic, figure parisienne du street art connue pour ses silhouettes de femmes brunes, sexy et poétiques est décédée dimanche de maladie à l'âge de 66 ans, a annoncé sa famille. Née d'un père immigré tunisien et d'une mère normande, Radhia Novat, de son vrai nom, commence à imprimer son art en 1985. Elle l'affiche dans les rues de la Butte Montmartre, du Marais, de Montorgueil et de la Butte-aux-Cailles après un séjour aux États-Unis. « J'aimais cette idée de l'art dans la rue », expliquait en 2011 cette plasticienne qui accompagnait ses pochoirs de légendes incisives comme « J'enfile l'art mur pour bombarder des mots cœurs ». Miss. Tic, dont le pseudonyme vient du personnage Miss Tick, la sorcière de la « Bande à Picsou » connaît de longues années de galère et d'ennuis avec la justice. Le tag et le pochoir étant considérés comme une détérioration de biens, elle est arrêtée en 1997.
Priorité À la question « Dans quelle mesure devenir propriétaire d'une habitation est pour vous une priorité? », un total de 80% des répondants disent que c'est une priorité ou que c'est important. Et pour quoi faire? « Assurer l'avenir de leur famille et le leur », constate M. Matte. La réponse la plus souvent citée est: « Agir en bon père de famille en mettant cette dernière à l'abri ». Il s'agit ensuite d'« assurer sa pension » et c'est également « un moyen d'investir son argent ». L'immobilier comme valeur refuge alors que l'épargne bancaire ne rapporte rien et que les placements boursiers sont secoués, c'est du classique, mais il se confirme. Parmi les Belges qui ont un projet immobilier en 2022, 45% le feront pour leur habitation principale et 46% en tant qu'investissement. Mais tout n'est pas rose pour autant. Il reste de nombreux obstacles avant de se lancer dans un projet. Le premier, c'est « le prix des biens sur le marché immobilier, trop élevé ». Viennent ensuite les ressources propres (capital de départ, garanties), puis les revenus.
Ils incarnent Charlotte et Simon, qui débutent une liaison tandis que Simon est marié. Il est délicat, sensible tandis qu'elle paraît plus décontractée, légère. Ils ne veulent pas s'attacher et ne se promettent rien. Mais l'arrivée d'un troisième personnage va remettre en question cette liaison passagère, qui est vouée à ne pas durer. Comme toujours chez Emmanuel Mouret, il est question d'amour, de fidélité, de sentiments. Le film est savoureux. Quand il se termine, on est déçu de quitter Simon et Charlotte, ces amants auxquels on s'est attaché. Tous les articles sur le festival de Cannes 2022