Hong Eui-jeong a créé une œuvre ambitieuse, dont la distribution et l'esthétique ne sont que deux aspects d'une histoire qui offre un sous-texte social riche, mais aussi sombre. (Rouven Linnarz) Sous le ciel ouvert (Miwa Nishikawa, Japon) Miwa Nishikawa réalise un film à la fois sensible, réaliste, pointu, drôle et quelque peu romantique, combinant tous les éléments susmentionnés de la manière la plus élaborée. Le réalisme vient de la façon dont la vie actuelle des yakuzas, et en particulier de ceux qui ont réussi à vieillir, est présentée, avec Mikami, mais plus encore son ancien patron, soulignant ce commentaire de la manière la plus réaliste, mais aussi dramatique. TOP 5 des meilleurs films mexicains de tous les temps. (Panos Kotzathanasis) » Project Dreams: Comment construire le hangar de Mazinger Z » est un film très divertissant qui montre comment même les rêves les plus absurdes peuvent devenir réalité, en particulier lorsqu'ils sont conçus au Japon. (Panos Kotzathanasis) L'article continue à la page suivante Page 1 sur 3
The Strangers (2016) Les précédents films de Na-Hong Jin ( The Chaser, The Murderer) ont toujours su trouver un public varié, mais The Strangers pourrait en perdre quelques-uns en route. S'il prend une bonne demi-heure à se mettre en place, le long-métrage décolle à un niveau rarement atteint dans le cinéma coréen. L'action pure laisse place à un patchwork des genres déstabilisant. Le tout commence comme une enquête sérieuse pour se transformer en un film surnaturel, où bouillonnent les mythes et légendes des pays asiatiques. Le tout est enrobé dans un soupçon de religion. Une proposition de cinéma visuellement ébouriffante à laquelle on pense longtemps après visionnage. Une expérience mystique, que tous les amateurs de films asiatiques se doivent d'avoir vus. Kairo (2001) Kairo est sans doute le plus grand film de Kiyoshi Kurosawa. Les meilleurs films asiatiques de tous les temps. Il se démarque lui aussi par la simplicité de son récit tout en capturant l'essence d'une époque. Avant son suicide a priori inexplicable, un informaticien laisse une disquette contenant un virus d'un nouveau genre.
Petite production oblige, les effets spéciaux sont réduits à leur minimum, mais l'utilisation du maquillage vieillit mieux que les effets numériques et promet encore quelques scènes bien crispantes.