L'Amérique du Sud est un continent beaucoup plus petit que les autres endroits que nous avons vus auparavant; cela représente un avantage équitable pour tous les bénévoles qui veulent offrir leurs services dans cette partie du monde. C'est un avantage car la plupart des pays de cette région utilisent l'espagnol comme langue nationale. La plus grande exception est le Brésil, qui utilise le portugais comme langue nationale. Il est important de reconnaître ces langues, car vous devrez apprendre les salutations en Amérique du Sud. Utilisez Babel pour apprendre l'espagnol ou le portugais! L'étiquette sociale Si vous faites du bénévolat en Amérique du Sud, vous serez le bienvenu si vous apprenez à dire bonjour en espagnol. Vous devez indiquer l'heure appropriée de la journée. C'est "Good Morning" pour bonjour, "Good Afternoon" qui signifie bonjour, ou "Good Night" pour bonjour. Si vous êtes au Brésil, vous devez apprendre à parler portugais. C'est "Hello" pour Hello, "Good Morning" pour une bonne journée et "Good Afternoon" pour un bon après-midi.
En ce qui concerne les salutations entre hommes et femmes, attendez-vous à ce que la femme vous tende la main. Les salutations entre femmes et partenaires peuvent varier selon les pays. Par exemple, au Chili, les femmes frappent généralement leur avant-bras droit ou leur épaule droite. Au Brésil, les femmes s'embrassent en commençant par la joue gauche puis en alternant les joues. Pour éviter d'être pris au dépourvu, il y a quelques choses qu'un volontaire doit se rappeler pendant son séjour en Amérique du Sud. D'abord, essayez de faire référence aux personnes dans leur titre professionnel s'ils en ont un. En espagnol, vous direz "Docteur" pour un docteur ou un doctorat. De même, vous direz « Ingénieur » pour un ingénieur, ou « Architecte » pour un architecte et « Avocat » qui signifie avocat. Utiliser la bonne salutation De plus, afin de ne pas offenser qui que ce soit, utilisez leurs noms de famille pour vous adresser à d'autres personnes que vous connaissez peut-être, même si le système peut être déroutant.
Il faudra étudier chaque profil un à un. Si c'est votre première expérience, vous n'avez pas vraiment droit à l'erreur pour que ces vacances ne soient pas un cauchemar. Imaginez-vous dans la Patagonie sauvage chez un gaucho argentin qui vit seul avec ses chevaux et qui ne parle pas votre langue. Pour les aventuriers, ça pourrait être une belle expérience, mais si vous tenez au minimum de confort, vous devez faire attention au profil de votre hébergeur. Consultez la description de sa ferme ou de son domaine. Renseignez-vous sur sa famille et aussi sur la langue qu'il parle. Pour ce woofing en Amérique du Sud, vous pourrez apprendre à nourrir et élever des chevaux au Chili, à récolter du miel au Pérou, à traire des vaches en Bolivie ou à construire des maisons dans des régions reculées du Brésil. A vous, d'élaborer votre itinéraire en fonction de vos envies de découverte. Certes, vous allez travailler pendant ce séjour, mais vous aurez du temps libre. D'ailleurs, il faut déterminer à l'avance avec les hôtes le volume d'heures de travail.
Pour ce faire, on peut vous demander une cotisation pour voir la liste des pays qui peuvent vous héberger. On vous demandera également de prendre une assurance qui peut couvrir les activités du woofing. C'est quoi le Woofing? Le woofing: pas de rémunération Le Woofeur, même s'il travaille dans la ferme, n'est pas un salarié. D'ailleurs, il ne pourra pas remplacer un employé actif de l'exploitation agricole. On peut mettre cette activité au même rang que le bénévolat et l'entraide. De ce fait, vous ne pourrez espérer toucher une rémunération, que ce soit en nature ou en espèce. En échange, l'hôte vous donnera un hébergement et des repas. Même si vous ne travaillez que la matinée, il vous donnera à manger le soir. De ce service, il ne pourra pas non plus vous demander aucun euro. Le woofeur sera reçu comme un ami à la maison. Pourquoi opter pour ce mode de voyage? Pour la plupart des woofers, c'est la soif de découverte qui les pousse à opter pour ce mode de voyage. Il n'y a pas que la région qu'il y a à explorer, c'est le mode de vie en lui-même qui est une découverte.
Desafeccion Populistes de gauche et de droite se partagent le pouvoir dans le sous-continent où la démocratie à l'américaine ne fait plus rêver Les faits - Vingt-huit ans après sa création à Miami, les Etats-Unis accueillent le 9 e sommet des Amériques, du 6 au 10 juin à Los Angeles, autour du thème « Contruire un avenir durable, résilient et équitable ». Mais l'événement est menacé par de nombreuses défections après la décision de Washington de ne pas inviter le Venezuela, Cuba et le Nicaragua dont les régimes ne respectent pas les droits de l'homme. Qu'Andres Manuel Lopez Obrador (AMLO) se rende ou non au sommet des Amériques organisé du 6 au 10 juin à Los Angeles sous le signe de la démocratie et de l'intégration régionale importe peu. Le mal est fait! Le président du Mexique, première puissance du sous-continent américain, qui entretenait encore le flou sur sa venue, au début de la semaine, si Joe Biden ne trouvait pas un moyen d'associer d'une manière ou d'une autre Cuba, le Venezuela et le Nicaragua, ne fait que confirmer la perte d'influence des Etats-Unis dans la région.