Sa carrière militaire le haussera dans les niveaux supérieurs de l'échelle sociale. Il recouvrera son titre de marquis. Maxime de Traille: Comte né vers 1792. Son épouse présumée est Cécile Beauvisage née en 1820. Marquis de Ronquerolles: Issu d'une famille noble de Bourgogne, le marquis de Ronquerolles est un homme politique. Ses deux enfants sont morts en bas âge. Il a deux sœurs, dont une, Léontine qui épouse successivement le général Gaubert et le comte de Sérizy et la deuxième qui épouse le marquis du Rouvre d'où une fille qui épouse Laginsky. 1) Source analyse/histoire: Préface, tirée du tome XII, recueillie d'après le texte intégral des œuvres de la Comédie Humaine publié par France Loisirs 1985 sous la caution de la Société des Amis d'Honoré de Balzac. 2) Source généalogie des personnages: Félicien Marceau « Balzac et son monde chez Gallimard » 3) Notes complémentaires: Encyclopédie universelle Wikipédia.
Jean Giraudoux a tiré de La Duchesse de Langeais un beau film, un peu lent, solennel, infidèle. Il faut s'incliner toutefois devant ces admirateurs considérables. L'histoire Lors d'une expédition française faite en Espagne pour rétablir l'autorité du roi Ferdinand VII, le général français de Montriveau retrouve la femme qu'il aime cachée au fond d'un couvent sous le nom de sœur Thérèse. La raison de cet isolement est liée aux sentiments de ces deux personnages. Cette histoire commence dans le faste, le grandiose des châteaux et des palais aristocratiques du faubourg Saint-Germain de Paris. Au commencement de la vie éphémère que mena le faubourg Saint-Germain pendant la Restauration, Antoinette de Langeais fut passagèrement le type le plus complet de la nature à la fois supérieure et faible, grande et petite, de ce que l'on appelle la « noblesse ». Belle et artificielle, se mettant orgueilleusement au-dessus du monde, à l'abri de son nom, cette Précieuse dotée de sentiments qu'elle veut élevés pour le Monde mais qui, en réalité, ne sont qu'une façade, est un monstre d'égoïsme, froide, calculatrice et dénuée de cœur.
Née Navarreins, famille ducale, qui, depuis Louis XIV, avait pour principe de ne point abdiquer son titre dans ses alliances, Antoinette épousa à l'âge de 18 ans le fils aîné du duc de Langeais. En 1818, Monsieur le duc de Langeais commandait une division militaire et la duchesse avait, près d'une princesse, une place qui l'autorisait à rester à Paris. De par leur position sociale, le duc et la duchesse vivaient donc séparés, de fait et de cœur, à l'insu du monde. Ce mariage de convention, unissait deux personnalités contradictoires. Leur désunion fut sitôt consommée. Le duc de Langeais, se livra à ses activités et à ses plaisirs de garçon et laissa sa femme libre de suivre les siens. Reine de la mode, elle pouvait à son aise se moquer des hommes, des passions, les exciter, recueillir les hommages dont se nourrit toute nature féminine, et rester maîtresse d'elle-même. Son existence exclusivement remplie par le bal, par des amusements ennuyeux, par des passions éphémères nées et mortes pendant une soirée se donne comme nouveau défi de s'attacher les bons sentiments d'Armand et de déployer pour lui toutes ses coquetteries afin de mieux se jouer du coeur de ce grand homme.
Enfin, l'interdiction ferme de la duchesse, extrêmement brève et incisive, ne souffre aucune contestation: mais ici, point (vers 6). - plus rarement, ce sont des injures lorsque la duchesse traite le discours et l'attitude de Montriveau de très ridicule, parfaitement ridicule (ligne 7). La répétition de l'insulte ne la rend que plus vexatoire, d'autant qu'intensifiée par un superlatif absolu et un adverbe. - enfin, et d'une manière plus générale, l'échange doit son intensité aux formes hyperboliques, notamment sous forme de superlatifs: la duchesse parle ainsi d'un point très capital (ligne de son plus grand tort (ligne 12) et de sa plus légère promesse (ligne 13). ] La Duchesse de Langeais est le titre d'un roman publié dans un premier temps en mars 1834, sous le titre Ne touchez pas la hache. Reparu en 1839 sous son titre actuel, il est finalement intégré dans la Comédie humaine en 1843. Dédié à Franz Liszt, c'est le portrait d'une coquette représentative des nobles familles du faubourg Saint-Germain qui tiennent leur fortune de leurs terres et vivent sur le mythe d'une naissance supérieure.
La lassitude est également source de souffrance dans le roman de Cohen. Les trois romanciers se rejoignent dans le fait qu'un amour passionnel est impossible ou ne peut dans tous les cas durer éternellement. Le regard négatif sur les relations amoureuses de ces auteurs pourrait en partie s'expliquer par leur mouvement littéraire, comme le romantisme pour Balzac, et le contexte historique, qui étaient des périodes d'après-guerres pour Proust et Cohen. Commentaire Les intrigues amoureuses sont sans doute celles les plus prisées des romanciers pour leurs potentiels dramatiques et mouvementés qui peuvent aussi bien être heureux que tragiques. Dans son roman de la Comédie humaine La Duchesse de Langelais, Balzac fait le portrait d'une aristocrate représentative des nobles familles du faubourg Saint-Germain. Antoinette de Langelais aime séduire les hommes pour satisfaire son orgueil, et a ainsi charmé Armand de Montriveau. Le général de l'armée de Bonaparte, tombé fou amoureux de la duchesse, lui rend un jour visite avec la ferme intention de la faire céder à son désir.
Sorties du couvent, deux amies issues de la noblesse prennent des chemins très différents. Dans leur correspondance, elles partagent leurs pensées les plus intimes. Louise décrit sa quête de mariage d'amour tandis que Renée accepte un mariage de convenance. Profondément moderne, ce roman épistolaire met en vis-à-vis deux visions du monde, deux chemins vers une seule destination: le bonheur. À retenir:.