Cette machine de soudage par friction malaxage Stirweld est basée sur un centre d'usinage DOOSAN DNM 750L. Les caractéristiques de la machine D11-01 FSW Stirweld La machine FSW D11-01 vous permet de souder tous types d'applications, tels-que des plaques froides pour l'e-mobilité, des panneaux raidis ou des plaques froides usinées grâce à sa force de poussée de 11kN, sa vitesse de rotation de 12 000 rpm et sa table de 2160×760 mm. Pour aller plus loin, Stirweld vous offre la possibilité d'installer un changeur d'outil automatique à votre machine afin de pouvoir alterner entre usinage et soudage en un instant. De plus, il est possible d'y ajouter un 4 ème axe. Comme tous les produits Stirweld, la machine de soudage par friction malaxage D11-01 nécessite peu de maintenance et est très durable. Pourquoi choisir la solution FSW complète de Stirweld? Avec plus de 15 années d'expérience dans le FSW, Stirweld vous accompagne tout au long de votre processus industriel. Nos équipes possèdent des connaissances solides en termes d'usinage et de machines de soudage, ce qui leur permet de vous offrir le meilleur compromis entre modularité et efficacité à travers ces deux machines FSW.
Page d'accueil Produits et prestations Technologies de procédés Soudage par friction Le soudage par friction en rotation fait partie des procédés de soudage par pression. Cette technologie permet d'assembler des matériaux identiques ou différents. KUKA a établi le soudage par friction en rotation en tant que procédé industriel d'assemblage en 1966. Qu'est-ce que le soudage par friction en rotation? Le soudage par friction est un procédé d'assemblage créant des raccords lisses d'une grande intégrité sur toute la surface. La rotation d'une pièce par rapport à une autre alors qu'elle est sous pression crée une friction générant de la chaleur entre les deux surfaces en contact et plastifiant ainsi le matériau. La force de compression génère un assemblage homogène entre les matériaux initiaux. Aucun matériau additionnel, flux de soudure ou gaz de protection n'est nécessaire pour le soudage par friction. Le processus est contrôlé par une machine, peut être répété à 100%, dispose d'un contrôle complet lors du processus et garantit qualité et sécurité.
Souder des matériaux non soudables jusqu'ici avec le FSW Le développement intensif du FSW depuis plusieurs années a permis le soudage de matériaux jusqu'alors considérés comme difficilement soudables, voire non soudables, tels que certains alliages d'aluminium à hautes performances des séries 2xxx et 7xxx. Comme il s'agit d'un procédé de soudage en phase solide, l'impact thermique et la dégradation des propriétés mécaniques des métaux de base sont limités. Les matériaux soudables par ce procédé sont: l'aluminium et ses alliages, le cuivre et ses alliages le magnésium et ses alliages, sous certaines conditions, les aciers et le titane. Il est également possible de réaliser des liaisons de matériaux dissemblables tels que Aluminium / Aluminium de différentes séries, Aluminium / Acier, Aluminium / Cuivre… 3. Remplacer un procédé de soudage par fusion? Si, en recherche et développement, ce procédé est maintenant bien connu et maîtrisé, il peine à entrer massivement dans notre industrie. En effet, comme d'autres évolutions technologiques, le FSW est amené à se heurter à certaines difficultés pour trouver la meilleure façon de l'introduire au sein des PME et des ETI.
Un prétraitement et un post-traitement ne sont nécessaires que pour quelques métaux non ferreux spécifiques et certains aciers alliés. Très productif avec un temps de cycle réduit. Des métaux différents peuvent être soudés. Le processus est écologique. Pas de fumée, scories ou consommables tels que gaz, flux ou matériau de remplissage. Les composants de forme tels que hexagonaux, carrés, elliptiques, etc. peuvent être soudés. Faible consommation d'énergie par rapport aux autres procédés de soudage. La surveillance des soudures fournit un contrôle de qualité du processus à 100%.
Cet outillage mis en rotation rapide vient dans un premier temps frotter au niveau du plan de joint des deux pièces à assembler, qui ont été préalablement mises en contact. Ceci provoque un certain « ramollissement » des matériaux en présence, qui deviennent pâteux. L'outil pénètre alors dans le plan de joint et mélange intimement les matériaux lors d'une opération qui s'apparente au forgeage ou à l'extrusion. L'assemblage complet est obtenu lors de la progression de l'outil, qui parcourt progressivement toute la zone qui doit être soudée. Il s'agit d'un soudage « à l'état solide » qui ne nécessite ni métal d'apport, ni flux ou gaz de protection; le procédé est purement mécanique, il n'y a aucune émission d'effluents ni aucune fumée. Comme il n'y a pas de fusion, les déformations des éléments sont faibles et les problèmes liés au passage du métal à l'état liquide, tels que soufflures ou inclusions, sont fortement diminués, voire supprimés. On peut souder ainsi des matériaux difficiles à souder par les procédés traditionnels, comme certains alliages d'aluminium, et les caractéristiques mécaniques des joints sont supérieures à celles que l'on obtient par les procédés mettant en œuvre la fusion.
Les machines à souder par friction déjà utilisées pour l'assemblage des métaux conviennent aussi pour le bois mais on peut utiliser des outils plus simples comme des perceuses, par exemple pour mettre en place les chevilles destinées aux éléments d'ameublement. Il y a toutefois une limitation, les joints de bois soudés ne résistent pas dans les milieux humides. Sachant que 100 000 tonnes de colles d'origine pétrochimique sont consommées chaque année en France, dont une bonne part dans l'industrie du bois, on mesure l'intérêt de ce procédé pour diminuer la consommation de matières premières tout en évitant les risques de pollution dûs aux composés volatils et/ou toxiques présents dans ces produits. Voir aussi [ modifier | modifier le wikicode] < Conception d'un assemblage soudé — Énergie de soudage >